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Le CINÉMA est un thème largement abordé à la radio et à la télévision collection d’entretiens, débats, documentaires sur l’histoire du cinéma, analyses de films, diffusion de longs et courts métrages et adaptations de films à la radio en sont quelques exemples. Etudiants, chercheurs et cinéphiles ont la possibilité de se constituer une culture cinématographique et d’entreprendre des travaux de recherches avec les fonds disponibles à l’INAthèque qui possède de nombreux documents à ce sujet aussi bien audiovisuels télévision, radio, web qu’écrits périodiques, monographiques. Toutes les émissions citées dans ce guide sont consultables dans les centres de consultation de l’INAthèque. Le guide est téléchargeable ici >> Guide réalisé par Mia Lebrun, étudiante en Master 1 études cinématographiques et audiovisuelles à Paris 3. L’INA FAIT SON CINÉMA L’histoire du cinéma nous est contée à l’Ina depuis ses origines. Que le support soit audiovisuel ou écrit, il y a différentes manières de la transmettre. Cinéastes et cinéphiles se sont réunis et ont contribué à médiatiser l’histoire du cinéma pour en garder la mémoire. de l’histoire du cinéma français à l’histoire mondiale du cinéma, en passant par une histoire technique et esthétique, de nombreuses émissions ont cherché à laisser des traces de cette histoire sous un angle d’approche différent. Entre entretiens, archives commentées, longs et courts métrages, récits personnels, voilà comment a été racontée l’histoire du cinéma. 1 – Émissions autour de l’histoire du cinéma A la télévision Signes de vie L’imprimerie de la vie, 1ère chaîne, réa Pierre Viallet, aut Marcel Lherbier, magazine, 50 min Dans L’Imprimerie de la vie, Marcel Lherbier raconte la naissance du cinéma et comment il s’est développé pour devenir un art à part entière. Il commente des extraits de films des frères Lumière, de Méliès, Fritz Lang, Chaplin et d’Eisenstein et insiste sur le pouvoir des images en utilisant des archives des actualités de la guerre de 14-18. Sont également utilisées des images de Georges Clemenceau, d’André Malraux et de François Mauriac L’Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait, 3ème chaîne de l’ORTF, réa Armand Panigel, 1974-1981, série documentaire, 13 émissions, 1h Série de documentaires sur l’histoire du cinéma français depuis ses origines à la Nouvelle Vague. Document très riche composé d’interviews de cinéastes ainsi que divers extraits de films. Exemples Tu n’as rien vu à Hiroshima 1956-1961, ; L’âge d’or du film muet 1915-1928, Encyclopédie audiovisuelle du cinéma Le cinéma Français, FR3, réa Claude Jean Philippe, 1978-1979, 40 épisodes en 2 saisons, 26 minutes Cette émission retrace l’histoire du cinéma français avec des documents d’époque, des bandes d’actualité, des extraits de films etc. Cette histoire du cinéma nous est racontée en voix off par Jean Rochefort. La Lucarne du siècle, Océaniques, FR3, réa Noël Burch, 1989, 6 émissions, 26 minutes Collection documentaire à base d’archives, en 6 émissions qui retrace les débuts du cinéma dans divers pays la Grande Bretagne, la France, l’URSS, les Etats Unis, le Danemark, l’Allemagne Cent ans de cinéma, Génération trois, France 3, Philippe Kimmerling, magazine, 1h30 Marie-Laure Augry fête le centenaire du cinéma avec son invité Claude Jean Philippe, réalisateur d’émissions télévisées et auteur de livres sur la cinéma. Entourés d’élèves d’un lycée de Melun, Claude-Jean Philippe y raconte ses premiers souvenirs de cinéma et explique l’invention du cinéma par les frères Lumière en répondant aux questions des lycéens. S’ensuit l’archive d’une interview de Jean Renoir et d’Henri Langlois sur le cinéma des frères Lumière. La Grande aventure de la presse filmée, Les Dossiers de l’histoire, France 3, réa Serge Viallet, 2001, 4 émissions, 26 minutes Série documentaire en 4 épisodes, racontant l’épopée de la presse filmée cinématographique, grâce aux images cinématographiques et au témoignage des acteurs. Des interviews d’historiens et spécialistes enrichissent ce programme. Un Film & son époque, Jeudi arts & culture, ARTE et France 5, pro Serge July, Marie Genin, 2003-2020, 40 émissions, 52 minutes Série documentaire abordant dans chacun de ses volets un film emblématique d’une époque, d’une société. Serge July et Marie Genin revisitent des classiques du cinéma en revenant sur leur genèse et le contexte dans lequel le film a été réalisé et produit. Des commentaires sur extraits de films, images d’archives et photographies alternent avec des interviews. Exemples Il était une fois… La Haine, interview de Mathieu Kassovitz et Costa Gavras en alternance avec des commentaires sur images du film et archives Empreintes la collection documentaire, France 5, pré Annick Cojean, 2007-2013, 120 émissions dont 25 émissions consacrées au cinéma, tranche horaire, 52 minutes Cette collection documentaire présentée par Annick Cojean s’attache à mettre en mémoire des personnalités qui ont marqué notre époque, en tissant divers portraits. Chaque émission est consacrée à une personnalité et plusieurs émissions ont pour thème des personnalités du cinéma Ex Fabrice Luchini, Vincent Lindon, Georges Lautner…. Construite sur un principe de dialogue, cette collection a un objectif de rencontre. Les documents utilisés sont autant d’archives que de multiples entretiens. 100 ans de cinéma, Court circuit, Spécial Henrich Sabl et les marionnettes animées, ARTE, réa Heinrich Sabl court métrage animé, 2min Court métrage d’animation diffusé dans une tranche horaire consacrée au cinéma d’animation Est allemand mais surtout au réalisateur Heinrich Sabl dans un Spécial Heinrich Sabl et les marionnettes animées dans lequel on peut voir une brève approche de l’histoire du cinéma avec des références connues des cinéphiles. On y voit par exemple les escaliers d’Odessa. La première de ce film a eu lieu dans le cadre de la compétition internationale de la Berlinale en 1995. Histoires de cinéma, ARTE, réa Florence Platarets, réa Xavier Villetard, auto Frédéric Bonnaud, 2015-2018, documentaire, série, 4 émissions, 52 minutes Résumé producteur [Source Arte] Lancée à l’occasion du Festival de Cannes, la collection documentaire Histoires de cinéma traverse les genres et les époques pour inviter à revoir les films sous un autre angle qui lie cinéma et littérature mais aussi cinéma et sexe, cinéma et pouvoir, faits divers etc. Cinékino, ARTE, réa Laurent Heynemann, 2017-2018, documentaire, série, 10 épisodes, 26 min Cinékino fait une histoire du cinéma centrée sur des moments importants du cinéma européen. Pays après pays et de manière éclectique, ce programme parcourt 120 ans de cinéma européen en 10 épisodes. Terres de cinéma , ARTE, Jean Froment, Vincent Trisolini, Fanny Tondre, Alice Doyard, 2017-2019, 43 minutes, documentaire, série, 5 émissions Résumé producteur [Source Bulletin de presse et document d’accompagnement Arte] De la Nouvelle Zélande du Seigneur des anneaux à l’Ecosse de Harry Potter, en passant par la Chine de Tigres et dragons et le Paris dAmélie Poulain, la série Terres de cinéma parcourt les paysages saisissants et les lieux de tournages spectaculaires de cinq des plus grands succès du cinéma. … A la radio Contrepoint cinéma muet, parlant, cinémascope, Documents, Paris Inter, pro Simone Dubreuilh, documentaire, 20 min Une émission consacrée à l’histoire du cinéma et de ses inventions techniques couleur, son, stéréoscopie, écran large etc.. Plusieurs cinéastes célèbres donnent leur avis sur l’évolution du cinéma. Une archive de la voix de Méliès est utilisée. Il y raconte sa rencontre avec les frères Lumière ainsi que la façon dont il a vécu la première projection du cinématographe. Les 5 cinéastes Fred Orain, Abel Gance, Léon Poirier, Alexandre Astruc et Jean-Pierre Melville interviennent ensuite pour discuter de la façon dont ils perçoivent l’évolution du cinéma, s’il sera un art du relief, quelle place aura la mise en scène etc. Les Chemins de la connaissance, France Culture 1977-2019 Plus de 60 documents consacrés au cinéma Série documentaire consacrée à l’histoire de l’intelligence, de la recherche et des sensibilités humaines », Les Chemins de la connaissance développe un thème chaque semaine en le déclinant en plusieurs numéros. Chaque émission est constituée d’entretiens et d’extraits d’archives. Thèmes autour du cinéma Cinéma et ethnologie juin 1979, Le désir d’Orient le cinéma colonial 04/01/1996, Le Festival de Cannes mai 2002, Roman policier et cinéma juillet 2007, Histoire de l’histoire du cinéma octobre 2007, etc. Une Histoire du cinéma français, Les Nuits de France Culture, France Culture, pro Phillipe Esnault, Arnaud Laporte, 1995, 5 émissions, 2 heures Philippe Esnault raconte l’histoire du cinéma, depuis les techniques de reproduction du mouvement, qui précèdent la naissance du cinématographe, jusqu’aux grosses productions des années 70 en passant par le rôle joué par les frères Pathé dans l’industrie du cinéma, le fonctionnement des premiers cinémas, l’arrivée du parlant, la censure, la politique des auteurs, la Nouvelle vague, etc. Histoire de l’histoire du cinéma, Les Chemins de la connaissance, France Culture, pro Gabrielle Hachard, 2000, documentaire, série, 5 épisodes, 30 min. Comment a-t-on raconté le cinéma et dans quel but ? Comment le cinéma en tant que discipline a-t-il évolué ? Ce sont les questions que pose Gabrielle Hachard dans son émission consacrée au cinéma. Gabrielle Hachard Par-delà la chronologie et l’énumération des chefs-d’oeuvre une histoire technologique du cinéma, économique ou bien sociologique a vu le jour. Pour examiner les conséquences de ces nouvelles lectures, nous prendrons successivement l’exemple de la naissance du cinéma, du cinéma allemand et de la Nouvelle Vague.… » Une Histoire du cinéma, Les nuits de France Culture, pro Jean Douchet, été 2007, série, 25 épisodes, 30min Série d’émissions simples par réalisateurs, produites et présentées par Jean Douchet, spécialiste du cinéma. Exemple d’émissions Les frères Lumière, Méliès Griffith Chaplin, Keaton Sjöstrom, Stiller Von Stroheim ; Eisenstein, Vertov Murnau ; Fritz Lang ; Dreyer ; Joseph von Sternberg Alfred Hitchcock Lubitsch, Pagnol, Guitry Jean Renoir ; John Ford Orson Welles ; Misogushi ; Yasujiro Ozu ; Rossellini Robert Bresson, Ingmar Bergman Luis Bunuel ; Vincente Minnelli, Max Ophuls ; Nicholas Ray Stanley Kubrick ; Jean Luc Godard ; Et tant d’autres ZOOM SUR Les Archives Sonores du Cinéma Français Fonds clos, audio, constitué essentiellement d’entretiens, rushes non diffusés, avec des personnalités du cinéma français, enregistrés et collectés par Philippe Esnault 1930-2008, producteur à France Culture depuis 1962 Connaître le cinéma, Cinémagazine, Cinéromans, A Voix Nue, Salle de rédaction, Heure de culture française…., historien du cinéma, cinéaste et écrivain. Ces entretiens ont été en particulier utilisés pour la série d’émissions d’été Cinéromans de Philippe Esnault, diffusée du 16 au 27 août 1982 sur France Culture. Bande 35 mm – enregistrement d’un concert diffusé à la radio – photographe Louis Joyeux INA Ce fonds inédit, en cours d’inventaire et traitement, est constitué de 207 documents, 342 heures. Il couvre la période 1948-1995. Philippe Esnault interroge des personnalités emblématiques du cinéma français sur l’ensemble de leur parcours personnel et professionnel. Les entretiens durent 1H30 en moyenne des entretiens très longs avec René Clément 11H, Jean Dréville 6H, Alberto Cavalcanti 3H, Jean Mitry 9H30, Claude Heymann 5H, Claude Autant-Lara 9H, Yves Allégret 6H30, René Clair 4H, Jean Delannoy 7H, Raoul Ploquin 9H30, Jean-Paul Le Chanois 10H…. On trouve aussi des extraits de films, chansons, journaux d’actualité, documentaires. Philippe Esnault, photographe Dominique Gonot INA Philippe Esnault tente d’organiser la mémoire du cinéma français avec les derniers témoins des différents courants cinématographiques, depuis l’apogée du muet jusqu’à la Nouvelle Vague. Ce fonds est un témoignage sur l’histoire du cinéma français depuis ses débuts en 1895, le cinéma muet des années 20 ou l’Impressionnisme français, les films historiques muets, les débuts du parlant, l’âge classique de 1930 à 1945, le cinéma français sous l’Occupation ou l’âge d’or, et enfin le cinéma d’après-guerre. Il propose un éclairage sur l’histoire des studios La Paramount à Saint Maurice, Pathé-Frères à Joinville, La Victorine à Nice, Les Studios d’Epinay…. Le rôle économique et idéologique des sociétés de productions comme la Continental-Films, la Tobis-Klangfilm …Le rôle du COIC, Comité d’organisation de l’industrie cinématographique, sous Vichy ancêtre du CLC et du CNC Il évoque les conditions de tournage et de doublage Il offre des témoignages sur des personnages-clés tels que Prévert, L’Herbier, Gance, Feyder, Cocteau, Langlois, Gabin, Morgan, Arletty, Jouvet, Raimu, Fernandel… Tous les métiers du cinéma sont représentés avec les voix des producteurs, directeurs de la photographie, caméramans, scénaristes, comédiens, assistants, critiques de cinéma, bruiteurs, monteurs, décorateurs, documentaristes… Il est le reflet des évolutions techniques et artistiques depuis les débuts du cinéma Voir aussi le fonds L’Image et la mémoire, déposé à la BnF Dans les sources écrites La Revue du cinéma, dir. de publication Aron Robert, Jean Georges Auriol, Denise Tual, périodique, Gallimard, Librairie José Corti, – Cette revue constitue un modèle pour de nombreuses revues critiques en traitant le cinéma comme un art à part entière au même titre que la littérature ou le théâtre, ce qui était peu le cas auparavant. Histoire du cinéma Tome 1 Vie et mort du cinématographe », de 1895 à 1930, paru en 1961 ; Tome 2 L’étape du film parlant » de 1927 à 1962 » ; paru en 1963 , collection 7ème art, monographie, Pierre Leprohon, Editions du cerf, 288 pages Pierre Leprohon explique comment le cinéma est progressivement né, évoquant ses débuts puis les premières techniques cinématographiques, l’arrivée du parlant, etc. Histoire générale du cinéma 1. L’Invention du cinéma 1832-1897 ; 2. Les Pionniers du cinéma de Méliès à Pathé 1897-1909 ; 3. Le Cinéma devient un art 1909-1920, premier volume l’avant guerre ; 4. Le Cinéma devient un art 1909-1920, deuxième volume la première guerre mondiale ; 5. L’Art muet de 1919 à 1929 ; monographie, Georges Sadoul, collection Denoël, 1973 Considéré par l’éditeur Denoël comme une véritable Bible pour les cinéphiles, ce célèbre ouvrage de Georges Sadoul divisé en cinq tomes reprend des éléments clés de l’Histoire du cinéma. Dans le premier ouvrage, il fait l’histoire de la genèse du cinématographe en passant, entre autres, par les inventions de Muybridge, Edison, Marey, Reynaud. Dans le tome 2, il explique les trucages de Méliès, le mouvement américain par Blackton aux Etats-Unis, la naissance du dessin animé, l’arrivée du producteur Charles Pathé. Dans le tome 3, il montre comment l’Amérique prend la première place dans l’industrie du cinéma, remplaçant la France. Dans le tome 4, il explique comment le cinéma finit par être exploité dans le but de propagande politique et sociale, notamment avec Naissance d’une nation de Griffith. Il raconte aussi les débuts des cinéastes reconnus comme Abel Gance et Charlie Chaplin. Enfin, dans le tome 5, Georges Sadoul fait un vaste panorama du cinéma muet à travers l’Europe selon l’éditeur Denoël, en présentant des grands metteurs en scène de l’époque comme Jacques Feyder, Marcel Lherbier, Protanazov, Fisenten, Lubitsch et Fritz Lang. Cinema et Histoire du cinéma, Les Cahiers de la cinémathèque périodique Ce périodique rassemble des articles expliquant l’intime lien du cinéma à l’Histoire, comment on s’est servi du cinéma pour faire l’Histoire ; c’est à dire, les liens entre l’histoire et le cinéma, entre la propagande et le cinéma, la révolution française vue par le cinéma allemand, etc. Il y est aussi question de sémiologie du cinéma, de l’histoire du cinéma, de sa naissance avec les premiers films, des films de montage, de Méliès etc. Trois cents ans de cinéma, Les Cahiers du cinéma, la Cinémathèque française , périodique, Henri Langlois, 1986 Résumé éditeur Trois cents ans de cinéma – c’est le titre repris de l’un des nombreux articles d’Henri Langlois. … Toute son existence fut consacrée à une passion absolue et intransigeante sauver les films de la destruction, les sortir de l’oubli, les montrer pour tisser le fil de l’histoire du cinéma par-delà le temps et les frontières, établir un pont entre les pionniers et les cinéastes de demain. … Trois cents ans de cinéma reprend les plus importants de ses articles. De longueur et de nature très diverses, ils sont consacrés aussi bien à l’histoire du cinéma et aux vicissitudes de la Cinémathèque française, qu’à des écoles nationales ou à des personnalités marquantes du cinéma ». Les Grandes “écoles” esthétiques, Cinémaction, numéro 55, périodique Résumé éditeur Tout se passe comme si l’histoire du cinéma traversait, de temps en temps, des périodes d’intense ébriété créatrice au cours desquelles des cinéastes se retrouvent, provisoirement, autour d’un programme esthétique ou thématique. Objectif, presque toujours rompre des lances avec le cinéma de papa, des commerçants ou des gouvernements, de l’académisme et de la convention, pour proposer une nouvelle vision du cinéma, du monde et de la vie. … Trois petits tours et puis s’en vont la nouvelle école dure en général, sinon ce que durent les roses, du moins rarement plus de cinq, dix, quinze ans. … Ce numéro propose une présentation pédagogique de quinze de ces écoles pour l’édification des nouvelles générations et pour l’utilité des enseignants. … » De l’Histoire du cinéma. Méthode historique et histoire du cinéma, collection Armand Collin, monographie, Michèle Lagny, 1992, 298 pages Résumé éditeur Pourquoi et comment faire de l’histoire du cinéma ? C’est la question que traite cet ouvrage qui n’est ni un résumé d’histoire du cinéma, ni une tentative pour saisir l’histoire générale à travers les films. L’histoire du cinéma en effet est souvent peu considérée par les historiens, même lorsque ceux-ci utilisent les films comme documents historiques. Elle sait pourtant être rigoureuse quand elle adopte les principes, brièvement exposés ici, qui règlent la recherche en histoire. … » 2 – Causeries et débats autour du cinéma Les différentes crises qu’a subies le cinéma ont été le sujet de nombreux débats, notamment autour de la censure, de la concurrence avec la télévision, de celle d’internet et même de l’arrivée, aujourd’hui, de plate-formes de streaming comme Netflix. Des personnalités se réunissent et discutent du statut du cinéma, de son évolution et de son avenir. De plus, le cinéma est un art que l’on vit collectivement en étant assis les uns à côté des autres dans la même salle, mais que l’on reçoit individuellement en l’intériorisant et en faisant travailler sa mémoire sur les souvenirs évoqués par les images. Cela pose alors la question de l’appréciation de tel ou tel film, ce qui suscite des discussions autour des sorties cinématographiques de la semaine. A la télévision L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot, retour sur un film maudit, Le Ring, La Chaîne Info, pré Michel Field, magazine, débat, 41 minutes La collection Ring organise des débats sur les thèmes d’actualité du jour avec les meilleurs spécialistes et les grandes signatures de la presse. L’émission consacrée à l’Enfer d’Henri Georges Clouzot accueille Serge Bromberg, producteur et auteur du livre Les images inconnues du film inachevé d’ Clouzot Albin Michel ; Jacques Douy, décorateur de cinéma ; Serge Toubiana, directeur général de la cinémathèque française de 2003 à 2016 et Evangéline Barbaru, responsable de la rubrique cinéma pour les JT de TF1. Il est question du film inachevé de Clouzot que Serge Bromberg a étudié dans son documentaire L’Enfer d’Henri Georges Clouzot également consultable à l’INA thèque. Il est également question de d’autres films qui ont connu un moment difficile dans l’histoire du cinéma. Blow up Le web magazine cinéma d’Arte, ARTE, pro Luc Lagier, depuis le magazine, 4 minutes Luc Lagier, grand cinéphile, et aimant jouer avec le montage, réalise de courtes émissions dans lesquelles il présente en voix off un cinéaste ou une thématique, montant des scènes qui communiquent de manière très précise. Un regard ludique et décalé sur le cinéma » d’après le site web d’ARTE. Star Wars, le réveil de la force comment expliquer un tel engouement ?, Le Débat de France 24, France 24, pré Vanessa Burggraf, débat, 20 minutes Cette émission pose la question de l’engouement pour la saga Star Wars dont le 7ème épisode vient de sortir sur les écrans européens, avec comme invité Thomas Snegaroff, historien et directeur de recherche, auteur de Je suis ton père, la saga Star Wars l’Amérique et ses démons Naïve et Renan Cros, enseignant à l’université Paris Diderot, critique à Cinéma Teaser. Le Sexe au cinéma les mineurs et la loi, Les Témoins d’Outremer, France O, pré Sabine Quindou, magazine, débat, 52 minutes Résumé producteur [Source iMedia] Sabine Quindou donne la parole aux citoyens grâce à une plateforme numérique et à une application mobile dédiées, elle propose aussi aux invités présents en plateau de débattre et surtout de réagir à ces contributions venues des territoires d’Outre-mer. Dans ce numéro, Sabine Quindou reçoit dans une première partie Catherine Ruggeri, présidente suppléante de la commission de classification des films, Justine Altan, directrice de l’association e-enfance et Gilles-Marie Valet, pédopsychiatre, pour répondre aux questions des internautes sur la protection de l’enfance et de la jeunesse face aux scènes de sexe au cinéma et à la télévision. Cette émission est consacrée à étudier la façon dont on protège juridiquement les mineurs des scènes de sexes et de violence, et à savoir à quel âge l’enfant peut choqué par des scènes de ce genre. Hollywood e, Canal +, réa Didier Allouch, documentaire, 26 minutes Documentaire consacré à l’affaire Weinstein à l’automne 2017, aux témoignages d’actrices pour harcèlement sexuel, agressions sexuelles et viols dans la mouvance Metoo. Ce documentaire pose également la question de la place des femmes dans le cinéma et leur considération. Jane Fonda, Anne Hathaway et d’autres personnalités s’expriment sur cette actualité. A la radio Tribune de Paris, Chaine nationale 1946-1958, 123 documents reliés au cinéma Des professionnels, artistes et journalistes débattent sur des sujets problématisés. Exemples Le Film sur l’art trahit-il l’art ? 29/01/1952, Faut-il faire du cinéma pour les enfants ? 24/05/1949, Qui est l’auteur d’un film ? 20/02/1946, Le cinéma et l’éducation sexuelle 27/06/1951, Le cinéma instrument de culture populaire 19/07/1946, La télévision tuera-t-elle le cinéma ? Cinéma et morale ; le cinéma peut-il traiter tous les sujets ?, Tribune de Paris Les hommes, les événements, les idées à l’ordre du jour, Programme National, pro Armand Lanoux, Henri Jeanson, 1951, 17 minutes Débat entre les journalistes sur la diffusion de films et sur la necessité d’une censure. Pour qui censure-t-on ? Quel rôle doivent jouer les réalisateurs ? Tout le monde peut-il se rendre au cinéma ? Sont les questions sous-jacentes de ce débat. Faut-il faire des films pour les enfants ?, Tribune de Paris Les hommes, les événements, les idées à l’ordre du jour, Programme National, pro Paul Peronnet, 1949, 19 minutes Faut-il faire des films pour les enfants ? Paul Peronnet anime le débat, entouré de Pierre Laroche, scénariste, André Vigneau, réalisateur, Georges Altman, critique de cinéma André Carre, ancien secrétaire général du scoutisme français, André Basdevent, de la direction de la Jeunesse et des Sports. Il est question, entre autre, dans ce débat, du danger du cinéma pour la jeunesse, du rôle éducatif des films, de ce qu’aiment les enfants, des films joués par des enfants et de la rentabilité des films pour enfants. Qui est l’auteur d’un film ?, Tribune de Paris Les hommes, les événements, les idées à l’ordre du jour, Programme National, pre Paul Guimard, 19 minutes Paul Guimard mène le débat entre Marcel L’Herbier, Jean Gremillon, Henri Jeanson, Pierre Laroche et Claude Autant Lara sur la question “qui est l’auteur d’un film ?” Avec le développement du cinéma parlant, le scénariste prend un rôle important et peut disputer la paternité de l’oeuvre cinématographique au metteur en scène. Chaque invité donne son avis en s’appuyant sur des exemples de films Pépé le Moko, La vie de Bohème, Boule de suif; l’importance de l’industrie cinématographique dans un contexte de redressement économique de la France. Le Masque et la plume, Paris Inter, 1956 – , pro Pierre Bouteiller, Michel Polac, François Bastide, Martine Rabaudy, magazine, débat, 2202 notices “Le Masque et la plume”, dont 655 consacrées au cinéma Magazine hebdomadaire de la critique cinématographique, théâtrale ou littéraire créé en janvier 1956 et toujours à l’antenne. Chaque émission est enregistrée en public et traite d’un seul thème avec des journalistes invités qui font leurs critiques, pertinentes et souvent caustiques, sur l’actualité du domaine concerné. Le Masque et la Plume est présenté par François Régis Bastide et Michel Polac jusqu’en 1970 puis par François Régis Bastide seul jusqu’en 1982. Puis c’est Pierre Bouteiller qui lui succède jusqu’en octobre 1989, relayé alors par Jérôme Garcin. Quelques émissions spécifiques reçoivent parfois un auteur, un réalisateur, ou un acteur. Ces débats sont célèbres et ont été marqués notamment par les joutes oratoires du duo Jean Louis Bory – Georges Charensol autour d’une sélection de films récemment sortis en salle de cinéma. Faut-il sauver Le cinéma français ?, Le grand débat, France Culture, pro Patrice Gélinet, 1 heure Au sujet d’une possible crise du cinéma français, en regard à la baisse de la fréquentation des salles à cause de la télévision notamment. Cette émission traite de façon économique la possible crise du cinéma français, interrogeant l’offre du cinéma français par rapport au cinéma américain, la concurrence de la télévision, l’offre des producteurs et distributeurs indépendants, etc. Grand angle, France Culture 1984-1999 Magazine de reportages dont une vingtaine de sujets reliés au thème du cinéma, approché sous un angle sociopolitique. Thèmes Les Cinéastes du réel ou l’humilité du regard 18/03/1995, Y-a-t-il une crise du cinéma en France ? 03/09/1988, A quoi servent les impresari ? 27/05/1989, Le physique de l’emploi ou être figurant 19/03/1994, Le Cinéma documentaire et le monde arabe 06/07/1996, etc. Le Cinéma l’après midi, France Culture, pro Claire Vasse, 2003-2006, 137 documents, 50 minutes [Résumé producteur] Le Cinéma l’après-midi se propose de rendre compte de l’actualité du cinéma en donnant la parole à un petit club de cinéastes. Chaque samedi, trois ou quatre d’entre eux se retrouveront pour débattre de deux ou trois événements sorties de films, livres, festivals et, selon leur envie, présenter un coup de coeur de leur choix. Ni débat entre critiques, ni entretien avec un réalisateur sur son propre travail, l’enjeu est de susciter un regard différent sur le cinéma celui d’artistes eux-mêmes engagés dans une démarche de création et qui confrontent leurs visions. Le pari est que leur angle d’approche diffère de celui de la critique et que leur amour du cinéma s’exprime d’une autre manière que dans leurs films. Bien plus qu’à leur jugement, nous en appelons à leur complicité. Parler de ce qu’ils aiment avant tout et qu’à travers cet amour transparaisse le mouvement d’un esprit créatif, ce qui le touche, l’inspire. Membres du club Mathieu Amalric, Lucas Belvaux, Catherine Breillat, Emmanuel Finkiel, Nicole Garcia, Philippe Grandrieux, Tonie Marshall, Claude Miller et Marie Vermillard. Le Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou, Débat africain, Radio France Internationale, pro Madeleine Mukamabano, réa Stéphanie Villeneuve, pré Vincent Garrigues, pré Bérénice Balta, 50 minutes A l’issue du Festival de cinéma et de télévision de Ouagadougou, Fespaco, Mimi Dialo, comédienne et productrice ; Christian Lambert, à l’origine du Cinéma Numérique Ambulant CINA, qui porte des films au Niger, au Bénin et au Mali ainsi que Gaston Kaboré, réalisateur de l’institut de formation Imagine et professeur camerounais d’histoire et de sciences politiques débattent sur la production cinématographique africaine. Il est également question du festival panafricain Ouagadougou et de la victoire de Drum de Zola Maseko, réalisateur sud africain. Pendant les travaux, le cinéma reste ouvert, France Inter, pro Jean Baptiste Thoret, pro Stéphane Bou, 2012, magazine, 144 émissions 42 minutes Dans ce magazine, Stéphane Bou et Jean Baptiste Thoret débattent sur des sujets spécifiques de manière critique tout en faisant, à leur manière, une histoire ludique du cinéma. Des spécialistes viennent partager leurs connaissances sur un thème précis. Des extraits d’archives sonores alimentent le débat. Exemples d’émissions Sommes-nous tous des zombies ? ; Y a-t-il un meilleur film d’Hitchcock ? ; Savons nous écouter la musique de film ? ; De Blow up à Blow out, de quoi les images sont-elles coupables ? ; A quoi servent les nazis au cinéma ? ; Le cinéma porno fait-il encore bander ? Ciné-débat, Le sept neuf du dimanche, France Inter, pré Jean-Christophe Buisson, pré Fabienne Pascaud, Débat, 6 minutes Débat sur l’actualité cinématographique, présentation des films qui sont ou vont être prochainement à l’affiche. En partenariat avec Télérama et le Figaro magazine. 3 – Jeux télévisés Monsieur Cinéma, Antenne 2, 1967-1980, 390 documents Pierre Tchernia est le présentateur de ce jeu qui succède à Septième art, septième case et dont les candidats doivent faire valoir leur culture cinématographique en devinant des films et en répondant à des questions. Une personnalité du cinéma acteur, réalisateur, compositeur est présente à chaque numéro pour faire la promotion de son film à l’affiche. Mardi Cinéma, Antenne 2, pro Jacques Rouland, pro Pierre Tchernia 1982-1988, 323 documents Pierre Tchernia anime cette émission de divertissement composée de séquences de discussions entre les personnalités du cinéma invités sur le plateau, et, des séquences de jeu départageant des équipes représentées par les invités. Il s’agit de répondre à des questions et trouver le nom d’un film ou d’une personnalité à partir de documents filmés ou photographiques. 24 ½, France 5, 2003-2004, réa Sylvain Bergère, 51 minutes Quatre candidats sont soumis à 24 questions qui tournent autour de l’actualité du cinéma, sorties en salles, sorties DVD de films récents ou anciens. 24 ½ » est le chiffre se situant entre le nombre d’image par seconde du cinéma et de la télévision. Les 24 questions, inspirés par les bande-annonce, sont réparties en six questionnaires de quatre questions. La bande-annonce d’une sortie en salles ou en DVD d’un film récent ou plus ancien fournit la thématique de chaque questionnaire. Les questions portent sur le réalisateur, les acteurs, des extraits ou d’autres éléments du film choisi. Le niveau de difficulté est croissant pour chaque série de questions. Le jeu du comédien, TPS Star, 2009-2010, réa Wilfried Weller, 15 minutes [Résumé producteur source iMedia] Le nom d’un comédien est proposé aux deux candidats de ce jeu cinéphilique. Ceux-ci doivent citer tour à tour le plus grand nombre de films dans lesquels ce comédien tient un rôle principal ou secondaire. Deux personnalités du 7ème art, le plus souvent des acteurs, assistent chaque candidat. … » 4 – Entretiens et portraits A la télévision Thèmes et variations du cinéma, 2ème chaine 1966-1970, 25 documents L’émission est constituée d’extraits de films et d’interviews réunis autour d’un thème et déclinés à partir d’une œuvre ou d’un cinéaste. La collection est produite par Armand Panigel. Sujets Les docteurs Mabuse 29/05/1967, Adapter Emile Zola 29/04/1968, Ceux de 14-18 vus par le cinéma 18/11/1968, L’enfance au cinéma 19/05/1969, Roméo et Juliette 10/11/1969 Le Petit cinéma de Georges de Caunes, 2ème chaine 1970, 5 documents Série de cinq émissions d’entretiens avec des actrices françaises, interviewées par Georges de Caunes Marie-France Pisier, Marthe Keller, Catherine Jourdan, Elisabeth Wiener, Cathy Rosier. Des extraits de films accompagnent la conversation. Vive le cinéma, 2ème chaine 1972-1973, 11 documents Produite par Janine Bazin et André Labarthe, l’émission reçoit chaque mois une ou plusieurs personnalités du cinéma. Invités François Truffaut, Michel Serrault, Jean-Claude Brialy 13/02/1972, Jeanne Moreau 26/03/1972, Lucien Bodart Remo Forlani 28/01/1973, etc. Cinéma cinémas, 82 épisodes, Antenne 2, pro Anne Andreu, pro Michel Boujut, pro Claude Ventura, magazine, 1 heure Magazine cinématographique composé de plusieurs séquences sans plateau à l’éclectisme résolu entretiens, hommages, extraits de films, tournages, documents d’archives, lettres de cinéastes. Périodicité mensuelle, le mardi au début, puis le dimanche, et enfin le samedi pour les quatre dernières, toujours en deuxième partie de soirée. La série s’achève après 82 numéros en juin 1990 et renaît en novembre de la même année sous le titre de Cinéma Cinémas deuxième. Cinéma de notre temps, Arte 1993-2003, réa Janine Bazin, André Sylvain Labarthe, documentaire, portraits, série, 56 documents Série de portraits à base d’entretiens et montages d’archives de cinéastes ou réalisateurs Pasolini l’enragé 09/04/1993, The Scorsese machine 31/10/1993, Imamura le libre penseur 12/04/1995, Dialogue entre Fritz Lang et Jean-Luc Godard 11/01/1995, Melville portrait en neuf poses 28/06/1996, Bresson ni vu ni connu 23/04/1997, Ari Kaurismaki l’irréductible 18/07/2001, etc. Remontage de “Cinéastes de notre temps“ 100 ans de cinéma, Arte 1995, documentaire, portraits, série, 25 documents Collection produite à l’occasion du centenaire du cinéma, se situant entre le documentaire et le portrait. Le principe un cinéaste fait découvrir le cinéma de son pays. Thèmes Tipically British le cinéma britannique par Stephen Frears 14/04/1995, Le cinéma japonais par Nagisa Oshima 21/04/1995, Le cinéma allemand par Edgar Reitz 30/04/1995, Un voyage avec Martin Scorsese à travers le cinéma américain 29/05/1995 etc.. Rencontres de cinéma, Rencontres, Canal +, pré Laurent Weil, 18 minutes Laurent Weil interview des personnalités qui font l’actualité cinématographique. Alternent avec l’interview des extraits de films et de bande annonce. A la radio Des idées et des hommes, Chaîne nationale 1949-1959 , 363 documents dont 9 consacrés au cinéma Jean Amouche s’entretient avec différents invités René-Georges Clouzot 25/02/1950, Edgar Morin pour Le Cinéma et l’homme du XXème siècle 01/12/1956, Vittorio De Sica 31/03/1951, Robert Bresson 10/06/1950, La Filmologie 21/10/1950, etc. Entretiens Rencontre avec René Clair, Chaîne nationale 1951, 13 documents Série d’entretiens avec le cinéaste René Clair produite par René Charensol et Roger Régent, avec la participation de Gérard Philippe, François Perrier… Le Cinéma des cinéastes, France Culture 1976-1985, 452 documents Produite et présentée par Claude-Jean Philippe, l’émission est constituée d’entretiens ou de portraits de cinéastes et de figures marquantes du milieu du cinéma François Truffaut 01/02/1976, Jacques Demy 22/02/1976, Benoît Jacquot 25/04/1976, Jean-Luc Godard 11/07/1976, Henri Langlois 23/01/1977, Jacques Tati 17/04/1977, Jean Rouch 26/03/1978, Eric Rohmer 25/02/1979, Maurice Pialat 09/09/1979, etc. Le Bon plaisir, France Culture 1984-2003, 100 documents consacrés à des personnalités du cinéma Entretiens-portraits de cinéastes, auteurs, comédiens, réalisateurs, etc. Exemples René Clément 17/05/1997, Roman Polanski 07/12/1996, Youssef Chahine 22/11/1997, Anna Karina 31/01/1998, Jean Rochefort 12/12/1998, Olivier Assayas et Catherine Deneuve 15/05/1999, Bertrand Blier 14/07/2003, etc. Les Nuits magnétiques, France Culture 1988-2005. Environ 50 documents reliés au thème du cinéma Collection documentaire. Des spécialistes apportent des éléments de réflexion et d’explications sur un thème décliné en plusieurs épisodes. Thèmes Les salles de cinéma mai 1989, Fellini Mondo mai 1990, Le jeune cinéma français mai 1991, Le cinéma des premiers temps juillet 1995, La Victorine en nuit américaine mai 1999, etc. Microfilms, France Culture 1985-1990, 312 documents Emission produite et présentée par Serge Daney, qui s’entretient avec des cinéastes invités à expliquer leur démarche, leur travail, leurs œuvres, leurs influences etc. Barbet Schroeder, Eric Rohmer, Jean-Pierre Mocky, Otar Iosseliani…, etc. Le cinéma retrouvé, France Culture 1994, 26 documents Série produite et présentée par Michel Boujut, qui s’entretient avec des personnalités du cinéma aux sujets de films inachevés, de projets cinématographiques rêvés, avortés, censurés ou inaboutis Autour du projet de L’Enfer » de Clouzot 09/08/1994, Autour du projet Air pur » de René Clair 18/08/1994, Autour du projet Jésus de Nazareth » de Carl Dreyer 29/08/1994, etc. Ca commence comme ça, France Inter 1999, 6 documents Portraits-entretiens produits par Michel Boujut et diffusée durant l’été 1999. Chaque numéro s’intéresse à la vie et l’oeuvre d’un réalisateur Bertrand Blier, Jacques Tati, Jean-Luc Godard, Bertrand Tavernier, Jacques Becker et Claude Sautet. Alfred Hitchcock avec François Truffaut, France Culture 1999, 23 documents Série proposée par Serge Toubiana et Nicolas Saada consacrée aux entretiens qu’Alfred Hitchcock a partagé pendant une semaine avec François Truffaut en août 1962, alors qu’il achevait son 48ème film Les Oiseaux. Le cinéaste américain évoque toute son œuvre et sa carrière avec son confrère. Bandes à part, France Culture 2001-2003, 17 documents Magazine mensuel produit par Serge Toubiana, consacré au cinéma et construit à base d’archives et d’entretiens. Il s’agit la plupart du temps de dresser un portrait-documentaire de réalisateurs ou, quelquefois, d’aborder un thème plus large, moins personnalisé sur un auteur particulier. Sujets Comment Eric Rohmer filme l’Histoire 16/09/2001, Qui êtes-vous Jacques Rozier ? 11/11/2001, Maurice Pialat 30/06/2002, Quand le cinéma s’expose 14/04/2002, Le Cinéma à l’heure du numérique 26/02/2003, Autour de Louis Malle 26/03/2003, etc. Ouvrez l’œil et le bon !, France Inter 2003, 39 documents Frédéric Bonnaud et Rebecca Manzoni consacrent une heure d’entretien à leur invité, personnalité ou professionnel discret ayant côtoyé une figure de la création cinématographique David Lynch, Serge Daney, Jean Eustache, Maurice Pialat, etc. Cinéma et dépendances, France Inter 2004-2007, 35 documents Série d’entretiens présentés d’abord sous la forme d’un dialogue entre un cinéaste et un technicien avec lequel il travaille Youssef Chahine, Tony Gatlif, Pierre Salvadori, Albert Dupontel, Alain Corneau… afin d’explorer l’univers de la fabrication d’un film son, montage, scénario, tournage…. On s’fait des films, France Inter, pro Guillemette Odicino, 2016-2018, 1h 56 minutes Guillemette Odicino reçoit des invités et discute de cinéma, utilisant des archives sonores et de films pour illustrer ses propos. Plan large, France Culture, pro Antoine Guillot, depuis septembre 2016, magazine, entretiens, 149 émissions, 59 min Décrite comme l’encyclopédie vivante du cinéma » dans le générique de l’émission, et comme une heure qui fait rimer la connaissance cinéphilique, et le plaisir de la découverte, pour les initiés comme pour les novices » dans la description qu’en fait France Culture. Ex B comme André Bazin, ; M comme Hayao Miyazaki, ; B comme John Boorman, le romantique ironiste, ; Filmer l’invisible, Mardis du cinéma, France Culture, pro Phillipe Garbit, réa Alexandra Malka, 1984-2019 325 épisodes, 1 heure 30 minutes Montage d’entretiens menés par Michel Cazenave ou un producteur différent, sur un thème ou un cinéaste précis, extraits de bandes-son de films, d’archives. BRÈVE CHRONOLOGIE DU CINÉMA EUROPÉEN ET AMÉRICAIN À TRAVERS LES FONDS DE L’INA Nous nous intéresserons ici aux grandes découvertes et évolutions techniques et esthétiques qui ont impacté le cinéma en Europe et aux Etats-Unis et qui sont traitées dans de nombreux sujets radiophoniques ou télévisuels consultables à l’INA. Nous démarrerons par les débuts du cinéma au moment du muet et nous terminerons avec les écoles et courants esthétiques. 1 – De la naissance du cinéma à l’arrivée du parlant 1895-1927 Les frères Lumière 1895 1895 projection du premier film de l’histoire du cinéma La Sortie de l’usine Lumière à Lyon Télévision et presse filmée La Mort d’Auguste Lumière à Lyon, Actualités françaises, presse filmée, 1minute 16’’ La mort d’Auguste Lumière est annoncée et pour l’occasion, des extraits de ses films sont montrés et on commente son activité et son importance dans le cinéma L’Arroseur arrosé, 1ère chaîne, pré Pierre Tchernia, sketch Emission de Pierre Tchernia sur le thème de l’arroseur arrosé et présentation d’une courte histoire de la naissance du cinéma suivie du fameux sketch des frères Lumière L’Arroseur arrosé. Ensuite sont présentés des sketchs sur le thème de l’arroseur arrosé pour rendre hommage aux frères Lumière. Les Films Lumière, réa Louis Lumière, Auguste Lumière, France 2, 1995, 391 courts métrages A l’occasion du centième anniversaire du cinéma, rétrospective des films du catalogue des “Vues pour cinématographe” d’Antoine Lumière et de ses fils. Chaque jour du 1er janvier au 31 décembre est diffusé un court métrage d’une minute environ, noir et blanc et muet, tourné à la fin du 19ème siècle. Ces films reflètent la vie de l’époque en France et à l’étranger. Un commentaire anecdotique et historique a été enregistré spécifiquement pour la diffusion. Cinéma des frères Lumière au Grand Palais, Entrée Libre, France 5, Rebecca Dreymann, reportage, 19 min A propos de l’exposition consacrée aux frères Lumière Visite guidée de l’exposition intitulée Et les Lumière furent ! au Grand Palais à Paris. Commentaire sur des images d’archives en alternance avec des images de l’exposition et des interviews de Thierry Fremaux, directeur de l’institut Lumière à Lyon, et de Jacques Gerber, commissaire de l’exposition. A la radio Naissance du cinéma, El cine frances, Radio France internationale, réa Jean Pierre Andréo, 30 minutes, langue espagnole Dans cette émission est racontée l’histoire des débuts du cinéma, notamment avec le récit des inventions des Frères Lumières. Y sont utilisées des archives INA des voix de Georges Méliès, René Dary, Musidora, Abel Gance, Henri Langlois La Naissance du cinéma, La Mémoire en chantant, France culture, pro Régis François Barbry, 20 min Émission autour de la mort de Louis Lumière le 6 juin 1948. Emission composée à base d’archives et de musique. Naissance du cinéma, Franck Ferrand, Europe 1, pré Franck Ferrand, portrait, entretien, 57 minutes Emission sur la Naissance du cinéma avec un entretien de Madeleine Malthête Méliès, la petite fille de Georges Méliès. Le cinéma des frères Lumières, Projection privée, pro Michel Ciment, France culture, 1 heure Emission autour de l’exposition Lumière ! le cinéma inventé qui a eu lieu au Grand Palais à Paris du 27 mars au 14 juin 2015. Sont invités Thierry Fremaux et Jacques Gerber, les commissaires de l’exposition. Cette exposition relate les diverses inventions qui précèdent et succèdent à l’invention du cinématographe des frères Lumière. À travers le récit de ces inventions notamment celles d’Edison et de Méliès, cette exposition relate l’Histoire du cinéma et de sa naissance. Il s’agit aussi de questionner l’enjeu de la restauration et de la conservation des films Dans les sources écrites Au pays des Lumière, Bernard Chardere, sous la coordination de Thierry Frémaux et Bertrand Tavernier, Edition Actes Sud, 1995, livre illustré de photos, 117 pages L’Institut Lumière est créé en 1982 et célèbre la Naissance du cinéma. L’éditeur cite Louis Lumière qui prononça à la fin de sa vie “Le cinéma amuse le monde entier. Que pouvions-nous faire de mieux et qui nous donne plus de fierté ?”. Ce livre retrace les premières inventions liées au cinéma, de l’invention du mouvement vers les premières projections de films, en passant par la Camera obscura, les lanternes magiques, Muybridge et Marey, les inventions des trois membres de la famille Lumière etc Les frères Lumière l’invention du cinéma, Jacques Rittaud-Hutinet, Edition Flammarion, 1995, 391 pages. Biographie des frères Lumière et de leur père dans laquelle est racontée leur tempérament, leur rythme de vie et comment ils ont été amenés à réaliser toutes ces inventions. Jacques Rittaud-Hutinet nous livre de véritables anecdotes et fascine le lecteur avec les inventions des frères Lumière en utilisant un certain suspens dans la narration de la vie de la famille Lumière. Méliès 1896-1923 1897 Création du studio Georges Méliès A la télévision Méliès l’enchanteur, Inf2 dimanche, 2ème chaîne, jou Roland Mehl, magazine, 34 minutes Méliès l’enchanteur, livre de Madeleine Malthête-Méliès, donne son nom à l’émission. Roland Mehl interviewe Madeleine Maltête Méliès, qui évoque les souvenirs qu’elle a de son grand père, Georges Méliès, les débuts du cinéma lorsque ce dernier inventait le spectacle cinématographique avec ses différents trucages. A l’appui de cette discussion, des extraits de petits films de Méliès sont montrés. On peut voir Le Magicien, La Dislocation extraordinaire, L’Homme-orchestre, L’Homme à la tête de caoutchouc, Le Brahmine et le papillon, Le Couronnement d’Edouard VII, La Fée carabosse, Le Chaudron infernal. Sont aussi montrés des photographies de Georges Méliès, des gravures du théâtre Robert Houdin, des dessins de Méliès, des photos de tournage, etc. Georges Méliès le premier magicien du cinéma, , Libre court, France 3, pro Eric Lange, David Shepard, Serge Bromberg, courts métrages de fiction, 30min Série de courts métrages français en noir et blanc et en couleurs, réalisés par Georges Méliès Le Royaume des fées, en 1903 ; Le Chevalier mystère, 1899 ; L’Antre des esprits, 1901 ; Le Tonnerre de Jupiter, 1903 ; Les Cartes vivante, 1905 ; Le Chaudron infernal, 1903. Illustration le Royaume des fées de Le Voyage dans la lune, ARTE, réa Georges Méliès, court-métrage, fiction, version restaurée couleur, 15 minutes Le professeur Barbenfouillis entreprend d’effectuer un voyage dans la lune. Après avoir présenté le chantier de ce projet, il se rend dans la Lune accompagné de 6 savants. Là-bas, il rencontre d’étranges habitants qu’on appelle les Sélénites. A la radio Archives sonore de la voix de Méliès, dans Archive Georges Méliès à propos de l’invention des frères Lumière, chaine non déterminée, 1945, 3 min Georges Méliès explique sa rencontre avec Louis Lumière, comment ce dernier vient le croiser dans les escaliers alors qu’il était directeur du théâtre Robert Houdin. Louis Lumière se rendait voir Clément Maurice qui sera plus tard son opérateur. Il demande à Méliès d’assister à la projection, supposant que le spectacle devrait plaire à quelqu’un qui aime les trucages et qui aime étonner le public. C’est ainsi que Méliès assista à la naissance du cinéma. Documents prêtés par Madeleine Malthete Méliès. A la rencontre de Georges Méliès avec Madeleine Malthète Méliès, , Emmenez-moi, France Inter, jou Brigitte Patient, 5 min Résumé producteur [Site internet] Guillaume Apollinaire disait de Méliès, l’inventeur du spectacle cinématographique “Monsieur Méliès et moi faisons à peu près le même métier nous enchantons la matière vulgaire“. Une assertion que ne renierait certainement pas la petite fille du réalisateur de génie, Madeleine Malthête-Méliès qui consacre à son ancêtre tout un livre Méliès, l’enchanteur ed. La Tour Verte. Car Madeleine Méliès a vécu auprès du réalisateur entre ses cinq et quinze ans. C’est lui qui l’a élevée, avec l’ancienne actrice Jehanne d’Alcy, sa seconde femme. Collaboratrice d’Henri Langlois de 1943 à 1945 à la Cinémathèque française, dont elle est membre fondatrice, elle anime l’association des Amis de Georges Méliès ». Hugo Cabret, Canal +, réa Martin Scorcese, long métrage, 2 heures 1 min Un orphelin vivant à la gare Montparnasse se lie d’amitié avec un vieil homme dont il découvrira qu’il s’agit de Georges Méliès, premier cinéaste de fiction du monde, tombé dans l’oubli. Dans les sources écrites Les apprentis sorciers d’Edison à Méliès », Georges Sadoul, La Revue du cinéma, 1er Octobre 1946, édition Gallimard José Corti, 1946 Georges Sadoul est spécialiste de l’histoire du cinéma, il est connu pour son Histoire Générale du cinéma et a beaucoup écrit sur Méliès et sur les frères Lumière Georges Méliès en 1961 et Lumière et Méliès en 1985. Cet ouvrage est préfacé par Jean Paul le Chanois et Doniol-Valcroze. Méliès et la naissance du spectacle cinématographique, Colloque de Cerisy, dirigé et préfacé par Madeleine Malthête Méliès, 1984 Résumé éditeur Georges Méliès 1861-1938 apparaît, dans les dernières années du XIXe siècle, comme l’une des figures les plus étonnantes du cinéma naissant. Tour à tour peintre, sculpteur, caricaturiste, prestidigitateur, directeur du théâtre Robert-Houdin à Paris, Méliès apporte au cinéma son expérience multiple de scénographe, d’illusionniste, de régisseur, de machiniste et d’acteur. Homme-orchestre, homme-protée, cet artisan de génie a le mérite de concevoir le cinéma comme un spectacle original. Père des vues à transformations, des actualités reconstituées, des bandes publicitaires, des féeries en couleurs et du film de science-fiction, il réalise en 16 ans – de 1896 à 1912 – plus de 500 films dans ses deux ateliers de pose de Montreuil-sous-Bois. » Griffith et la forme narrative 1915 Naissance d’une nation, Griffith A la télévision DW Griffith Naissance du cinéma, titre original DW Griffith Father of film, réa Kevin Brownlow et David Gilles, La 25ème heure, documentaire, 2 heure 30 minutes Documentaire riche en extraits de films et en photos d’archives de Kevin Brownlow et David Gilles, diffusé dans la tranche horaire de la 25ème heure présentée par Jacques et Valentine Perrin. Télérama Les couche-tard très tard ! et surtout les magnétoscopeurs apprécieront ce travail encyclopédique et cyclopéen, à la rencontre du père fondateur du septième art, prince du muet, créateur génial de presque ! toutes les techniques classiques du cinéma. Jugez plutôt de 1908 à 1931, en quatre cents courts métrages, plus une brassée de superproductions, il invente de flash-back, étrenne le gros plan, le plan américian, impose l’usage des flous » et des surimpressions. … » Intolérance = Love’s Struggle Throughout the Ages, Le Muet du mois, ARTE, Réa David Wark Griffith, Long métrage, 2 h 56 min Griffith fait un film sur la cruauté de l’homme envers son prochain en une fresque de quatre épisodes montrant diverses formes d’intolérance et en réponse à Naissance d’une nation. Le Pauvre amour = True heart Susie, ARTE, Réa David Wark Griffith, Long métrage, Etats-Unis, 1919, 1 h 27 min Susie donne à William tout ce qu’elle a pour qu’il puisse faire ses études. Elle se dévoue en espérant obtenir en échange son amour. Bulletin de presse Arte Un hymne cinématographique à Miss Gish, rayonnante en amoureuse inébranlable, par son chantre le plus inspiré DW Griffith. … Quelques années après Naissance d’une nation et Intolérance, celui qui est alors le maitre incontesté du cinéma mondial, y rappelle son talent à émouvoir par la seule force de l’image ». Naissance d’une Nation, naissance d’une contestation, Histoire, réa Bestor Cram, documentaire, 1 heure Le long-métrage de DW Griffith, Naissance d’une nation, a marqué l’histoire du cinéma à la fois par ses innovations narratives et techniques mises au point dans ce film mais également par les vives polémiques qu’il a suscité étant un film raciste qui a d’ailleurs entraîné la radicalisation d’activistes noirs-américains. Griffith a ensuite fait Intolérance espérant échapper à ces critiques mais son film reste marqueur et témoin d’une période terrible pour les Etats-Unis. A la radio David Wark Griffith, pionnier de l’image, Les Mardis du cinéma, France culture, pro Marie Agnès Desplaces, documentaire, 1h30 min Cette émission est consacrée au cinéaste DW Griffith. Il est question des nombreuses innovations techniques et des nouveautés qu’il apporta à l’écriture. Deux de ses films sont utilisés Le Lys Brisé, 1919 et Naissance d’une nation 1915. Patrick Brion, historien du cinéma raconte la carrière de Griffith. Jean Mottet, professeur à Paris I analyse le montage alterné et la mise en scène dans Naissance d’une nation. Pierre Sorlin également reçu parle de la façon dont Griffith tente de donner une vision plus équilibrée de la guerre de sécession dans Naissance d’une nation et comment il crée dans ce film toute la narration cinématographique que l’on utilise aujourd’hui et à laquelle nous a souvent habitué le cinéma américain. Jean Loup Bourget enfin, explique les origines théâtrales du mélodrame cinématographique et notamment comment cela apparaît dans Le Lys brisé. Pourquoi Hollywood a mal à l’esclavage ?, Pendant les travaux, le cinéma reste ouvert, France inter, pro Stéphane Bou, pro Jean Baptiste Thoret, magazine, 54 minutes Résumé producteur [Source site internet de France Inter] … la question de l’esclavage et du traitement des Noirs a constitué pendant longtemps, un point aveugle, un sujet sensible pour l’Amérique et son cinéma. … Un petit rappel 1865, guerre de sécession et abolition de l’esclavage. Mais pour les Etats-Unis du Sud, les Noirs sont toujours ce qu’ils appellent des nègres, une sous-humanité brimée. Débute alors l’âge de la ségrégation et des tristes lois Jim Crow qui durera près de 80 ans … Pendant ce temps, que se passe-t-il à Hollywood ? Tout commence, sans doute, en 1915, avec Naissance d’une nation de Griffith, premier acte du grand cinéma américain et crime fondateur d’une Histoire qu’Hollywood mettra des décennies à remettre à l’endroit. … Dans les sources écrites Le cinéma américain 1895 – 1980 de Griffith à Cimino, Jean Loup Bourget, Le Monde anglophone, Presses universitaires de France, 1983, 263 pages. Jean Loup Bourget fait une histoire du cinéma de ses origines aux années 80 en passant par des réalisateurs célèbres comme Griffith au chapitre 2, King Vidor, Orson Welles mais aussi en énumérant certaines techniques cinématographiques comme l’arrivée du parlant, de la couleur. A travers cette chronologie du cinéma, Jean Loup Bourget aborde également la question du genre, de la comédie au film de genre en passant par le fantastique, le western et bien d’autres. Griffith nous en remontre », Devant la recrudescence des vols de sacs à main cinéma, télévision et information de 1988 à 1991, Serge Daney, 1991, 270 pages Résumé éditeur Ces textes ont été publiés entre 1988 et 1991 dans le quotidien Libération. L’auteur qui, longtemps, fut critique de cinéma puis salarié comme “zappeur” se demande d’abord à quoi ressemblent les films lorsqu’ils “passent à la télé”. D’où une chronique quotidienne intitulée les Fantômes du permanent. C’est le premier tour de la “navette” celle qui refuse de se satisfaire de la légende dorée du cinéma comme de la brutalité du pouvoir télévisuel. » Burlesque 1910-1940 1919 fondation de la United Artist À la télévision Tout sur mon père Max Linder, Le Documentaire culturel, ARTE, Jean Michel Meurice, documentaire, 53 min Portrait de l’acteur et réalisateur Max Linder, qui a beaucoup influencé Charlie Chaplin. Max Linder s’est suicidé après avoir tué sa femme, laissant sa fille de 16 mois. Pour cette raison, cette dernière n’a pas connu ses parents mais elle revient sur l’histoire de son père et de ses films. Ce documentaire est composé de commentaires d’images d’archives croisées avec l’interview de Maud Linder. Elle explique le travail qu’elle a effectué avec Henri Langlois pour restituer la mémoire de son père, longtemps restée dans l’ombre. Chaplin-Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu, Duels, France 5, Simon Backès, documentaire, 55 min Cette collection de 18 numéros en partenariat avec Une vie, une œuvre de France Culture, dresse ici le portrait de deux personnalités présentées comme amicalement rivales. Un épisode est consacré à Chaplin et Keaton. Dans cet épisode, on parle d’âge d’or du cinéma burlesque à travers ces deux importantes figures. Les spécialistes du cinéma Kevin Brownlow, Serge Bromberg, Adele Van Reeth et Jos Houben sont interviewés pour parler de ces cinéastes du burlesque. En alternance avec les interview sont projetés des extraits de films de Chaplin The Kid 1921, The Gold Rush 1942, Modern Times 1936, The Great Dictator 1940, Limelight 1952 ; et de Keaton The General 1926, The Butcher Boy 1917, The High Sign 1921, The Electric House 1922, Three Ages 1923, et bien d’autres. Buster Keaton, un génie brisé par Hollywood, ARTE, réa Jean Baptiste Pérétié, documentaire, 53 min Résumé producteur Un demi-siècle après la disparition de Buster Keaton, Robinson Stévenin raconte l’oeuvre de ce génie du cinéma, broyé par la machine hollywoodienne. Une face de glace’ au regard grave, un corps élastique se pliant avec grâce aux exploits physiques les plus fous, capable d’exprimer des émotions subtiles Buster Keaton, l’acrobate-poète, est presque né sur une scène de music-hall en 1895. Acteur, réalisateur, producteur, ingénieur, voltigeur dans son petit studio de cinéma, sa créativité se démultiplie à l’infini pour des petits miracles d’humour, d’élégance et de mélancolie. A la fin des années 20, le roi du muet est au sommet de sa gloire avant la chute, vertigineuse, quand il commet l’erreur de signer à la MGM, renonçant du même coup à sa liberté artistique. Robinson Stévenin conte cette tragédie au fil de l’oeuvre de Keaton, le florilège d’extraits de ses films dessinant le portrait bouleversant d’un romantique dans l’âme, derrière le voile délicat du burlesque » A la radio Les Nuits de France Culture Charlot – Chaplin », Les Chemins de la connaissance, France Culture, pro Françoise Estèbe, décembre 2002, 5 émissions, 25 min Episodes L’Immigré vagabond le ; le Schlemihl et le dandy le ; le Poète du burlesque le ; l’Homme mécanique le ; la Mort du schlemihl le Résumé des essayistes Petr Kral et Fabrice Revault d’Allones Comment un héros comique, un bouffon, mi-clown mi-vagabond, personnage persécuté, victime de toutes les avanies et de tous les quolibets, peut-il devenir un mythe ? Proche des fous, entre paria et poète, tel le personnage juif du “schlemihl”, décalé et chevaleresque, Charlot a l’innocence primordiale des victimes rédemptrices. Emouvant d’humanité, dans le rire tragique qu’il suscite, Charlot fait résonner une sensibilité collective. … » Philosopher avec Charlie Chaplin, Les Nouveaux chemins de la connaissance, France Culture, pro Adèle Van Reeth, magazine, 4 épisodes, 53 min Série de quatre émissions consacrées à Charlie Chaplin, ponctuées d’extraits musicaux et de commentaires de cinéastes. Chaplin contre Charlot , archives sonores, analyse esthétique et question du rapport au corps ; La Critique sociale d’un infatigable analyse d’un point de vue sociologique des films de Chaplin ; Keaton vs Chaplin, un monde meilleur est-il possible ? , comparaison entre les deux cinéastes ; Du corps à la parole, analyse des films de Chaplin et le passage qui est fait du muet au parlant. Dans les sources écrites Regards neufs sur le cinéma, dir. Jacques Chevallier, coordonné par Egly Max, Peuples et Culture, éditions du Seuil, 1963. Dans ce document apparaissent, entre autres, deux articles écrits par Charlie Chaplin intitulés Faire rire » et Appel aux hommes » Revue Positif du 1er juillet 1966. Différents articles sur le cinéma burlesque apparaissent également dans cette revue Le Regard de Buster Keaton » de Robert Benayoun ; L’Insolence de Harold Lloyd » de Raymond Borde, Déclarations » de Harold Lloyd et Entretien avec Mack Sennett » de Theodore Dreiser. Le Roman de Charlot, Claude-Jean Philippe, Fayard, 1987, 395 pages Claude Jean Philippe, présentateur du Ciné-Club d’Antenne 2 sur le plateau d’Apostrophes et critique de cinéma écrit un roman sur Charlie Chaplin. Grâce à des sources variées, il fait une reconstitution biographique de la vie de l’acteur. Charlie Chaplin La revue de Charlot », L’Art d’aimer, Jean Douchet, les Cahiers du cinéma, 1987, livre illustré de photos, 190 pages Ouvrage qui assemble plusieurs articles concernant Charlie Chaplin Résumé éditeur “La critique est l’art d’aimer.” Jean Douchet développe une haute conception de la critique, fondée sur le couple passion-lucidité, et appartenant au même titre que l’oeuvre dont elle traite au domaine de la création artistique. Il fait partie du groupe de jeunes critiques des Cahiers du cinéma et Arts autour de Godard, Rivette, Rohmer, Truffaut qui, dans les années 60, allaient imposer la Politique des Auteurs et donner naissance à la Nouvelle Vague. Il continue à propager sa passion comme enseignant, réalisateur d’émissions télévisées et essayiste. » Premier film documentaire 1922 1922 Nanouk l’Esquimau de Robert Flaherty Nanouk l’esquimau, ARTE, réa Robert Flaherty, long métrage, documentaire, version originale, muet, 1h18 min Robert Flaherty réalise le premier documentaire du cinéma en filmant la vie quotidienne d’une famille inuit, la pêche au saumon et la chasse à l’otarie, la construction d’igloo, dans l’Arctique canadien. Il commence à faire ce documentaire en 1910 mais doit le recommencer en raison d’un accident technique incendie de la pellicule et négatif égaré. Il se rend à nouveau au Nord du Canada, à l’été 1920 pour une période de quinze mois et le réalise en 1922. Nanouk l’esquimau est le résultat d’un long travail impacté par de dures épreuves qui a donné naissance au genre du documentaire. Saumialouk, le grand gaucher, ARTE, réa Claude Massot, auto Sébastien Regnier documentaire, 1h2min Sur les pas de Robert Flaherty, 65 ans plus tard, au printemps 1988, Claude Massot et Sébastien Regnier retournent sur les lieux où a été tourné le film Nanouk l’esquimau. A leur arrivée, ils invitent les Inuits à une projection du film de Flaherty. A la radio Robert Flaherty parle de sa vie, date d’enregistrement Plein feu sur les spectacles du monde, pro René Wilmet, 3 minutes, langue anglais Document d’archive dans lequel on peut entendre la voix de Robert Flaherty, parlant en anglais. Robert Flaherty parle de son statut d’explorateur et de la façon dont son film a été diffusé dans le monde. Robert Flaherty, prospecteur et cinéaste ou Le rêve d’un prince ; Atelier de création radiophonique, France Culture, pro Jean Daniel Lafond, création sonore en deux parties, 2 heures L’émission commence sur le bateau qui dessert les îles d’Aran, fond sonore de l’eau. On entend Jean Renoir évoquer les souvenirs qu’il a de Robert Flaherty. Cette émission multidiffusée de 1987 jusqu’en 2019 présente par fragments des morceaux de vie, des extraits d’interviews de Flaherty ou de cinéastes parlant de Flaherty. Robert Flaherty, Projection privée, France Culture, pro Michel Ciment, entretiens, 45 minutes Avec la participation de Richard Leacock documentariste et Patrick Leboutte, spécialiste du documentaire, Michel Ciment retrace la vie de Robert Flaherty, à l’occasion de la sortie d’un coffret DVD regroupant quatre de ses films. L’entretien est ponctué d’extraits de films et de différentes voix utilisées pour l’émission dont celle de Jean Rouch. Dans les sources écrites La Mise en scène documentaire Robert Flaherty, l’Homme d’Aran et le documentaire, Analyse filmique, Pierre Baudry et Gilles Delavaud, édition Ministère de l’éducation nationale et Ministère de la culture, 1994, 127 pages. Livre accompagné d’un CD expliquant la mise en scène documentaire en s’appuyant sur le documentaire de l’Homme d’Aran de Flaherty scénario et photographies. Arrivée du parlant 1927 1927 Le chanteur de Jazz, Alan Crosland Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait, Naissance du parlant 1927-1929, France 3, réa Armand Panigel, 1974 Résumé producteur En 1929, le cinéma parlant apparaît aux Etats Unis. En France, la polémique éclate entre les partisans et les détracteurs de ce nouveau procédé. Carne, Pagnol et Christian-Jaque sont enthousiastes alors que Gance, Clair et l’Herbier mettent en avant le caractère universel du muet. Cinéma parlant, Histoire d’un rêve, TF1, réa Paul Luciani, mini programme, 1 minute Présentation du Chrono-mégaphone, l’un des premiers appareils permettant au cinéma de devenir parlant. Brevet de cet appareil déposé par Léon Gaumont, il est présenté au public en 1910. A la radio Histoire du cinéma naissance du cinéma parlant, Heure de culture française, Programme National, par René Jeanne et Charles Ford, causerie, 8 min Causerie sur les débuts du cinéma parlant. Sont évoqués La Passion de Jeanne d’Arc de Carl Théodor Dreyer ; les propos de Charlie Chaplin et de René Clair sur le parlant ; les enjeux pour les studios et pour les auteurs. La Naissance du cinéma parlant, Chroniques sauvages, France Inter, pro Robert Arnaut, chronique, 57 minutes Entretien d’Emmanuelle Franc avec Denise Grey, Jean Pierre Jeancolas, Michel Chion et Michel Marie. Emission construite sur la base d’entretiens. Henri Poret parle des compositions de son père Julien Poret, qui a sonorisé le cinéma muet. Denise Grey, comédienne parle de l’émotion qu’elle a ressenti au début du cinéma parlant. Jean pierre Jeancolas, historien du cinéma décrit les procédés sonores utilisés au cinéma et analyse les effets de l’arrivée du parlant sur le cinéma. Michel Chion, enseignant et critique de cinéma décrit le premier matériel technique de son et témoigne des difficultés rencontrées par les ingénieurs du son lors des premiers tournages du cinéma parlant. Michel Marie, enseignant et historien du cinéma produit une analyse sur la bande sonore du film de Fritz Lang, M le maudit. Quand le cinéma prit la parole, Nuits magnétiques. Histoires et contre histoires du cinéma, France Culture, pro Robert Arnaut, documentaire, 1h18 min Différents enseignants sont interrogés sur la place du son Michel Chion, Michel Marie, Vincent Pinel, Noël Burch, mais aussi le pianiste et compositeur Jay Gottlieb et l’éditeur et enseignant Alain Masson. Sont discutés l’investissement de la Warner dans le cinéma parlant, les accompagnements musicaux des films muets, les grands musiciens qui se sont intéressés au cinéma muet, les problèmes techniques à l’arrivée du parlant, la réception du sonore par le spectateur, etc. Michel Chion, Du jour au lendemain, France Culture, pro Alain Veinstein, magazine, 40 minutes Entretien avec Michel Chion à l’occasion de la sortie de son essai Un art sonore, le cinéma histoire esthétique et poétique. Il est question de sa passion pour le son, et d’une analyse de l’histoire du cinéma à partir du son. La Voix au cinéma, Jusqu’au bout des voix, France Inter, pro Caroline Ostermann, Entretien, émission à base de disques, 54 minutes Dans cette émission à laquelle participent Dominique Besnehard, Jean Douchet, Michel Lonsdale, Pierre Lenoir et Agnès Varda, il est question de montrer le rôle qu’a joué la voix au cinéma avec l’arrivée du cinéma parlant. Ce changement fut une catastrophe pour certains acteurs muets qui avaient une voix inadaptée au parlant. Il est également question dans cette émission de la matérialisation du son chez Fritz Lang, de l’intérêt d’Orson Welles pour le son radiophonique, de la façon dont avec la voix, il est possible de cultiver des actions, créer des personnages. La Matinale culturelle Les ciné concerts », Le Dossier du jour, France Musique, Vincent Josse, 14 minutes Les cinés-concerts, des musiques originales improvisés sur des films muets ont donné naissance à la musique au cinéma. Jean-François Zygel, compositeur, pédagogue, homme de télé et de radio, pianiste improvisateur est un des spécialistes français de l’accompagnement de films muets en concert et explique comment cette passion lui est venue, et en quoi consiste cet art. Jean-Baptiste Urbain explique que pendant l’ère du cinéma muet, le cinéma était un ciné-concert sans le savoir, puisque ce qui se passait à l’écran était accompagné dans la salle par une musique un pianiste, quelques instrumentistes ou, dans les plus grandes salles, un orchestre. Au moment où arrive le cinéma parlant et la bande sonore du film, la musique jouée en direct disparaît. Dans les sources écrites Le Rôle du son dans le récit cinématographique, Etudes cinématographiques, aut Antoni Gryzik, 1984, n° 139 – 141, 123 p Résumé éditeur Dirigée par Michel Estève et publiée par Michel J. Minard la collection Étude cinématographiques assure la continuité des cahiers du même nom publiées par Astre et M. ESTÈVE depuis 1966 et qui faisaient eux-mêmes suite à la revue Étude cinématographiques fondée en 1960 par Henri AGEL et Georges-Albert Astre. … Il n’est pas question d’y publier des comptes rendus de films en relation étroite avec l’actualité mais, au contraire, d’approfondir certains aspects majeurs, certaines fonctions essentielles du cinéma en prenant à l’égard des oeuvres étudiées une indispensable distance, en multipliant les confrontations … ». Préfacé par Pierre Schaeffer, cet ouvrage interroge dans une approche esthétique, le rôle du son au cinéma commentant l’origine de la mise en scène du son de sa présence réelle et imaginaire au discours filmique, et aux musiques et effets sonores utilisés dans la scénographie. L’Audio-vision son et image au cinéma, Michel Chion, Armand Colin, 2013, 239 pages Résumé éditeur Ce que certains appellent la bande sonore dans l’audio-visuel n’est pas une simple couche rajoutée au cinéma tel qu’il était au temps du muet, c’est un remaniement de tout l’ensemble. Nous ne “voyons” pas un film sonore, un clip, une émission télévisée, mais nous les “audio-voyons” …. Traduit en plusieurs langues, cet ouvrage est, depuis sa première édition en 1990, devenu un texte de référence pour l’enseignement du son au cinéma dans le monde. Il est ici augmenté et réactualisé par une longue postface, remettant à jour les concepts proposés. Compositeur de musique concrète, réalisateur, enseignant à l’Esec, chercheur à l’IKKM Weimar et maître de conférences émérite à Paris 3, Michel Chion a publié une trentaine d’études et d’essais, dont plusieurs sont consacrés à son travail scientifique et historique sur le cinéma, la musique, et le son, qui reste le centre de ses recherches. Il a publié dans la même collection Le Son, traité d’acoulogie. » 2 – Quelques écoles ou courants esthétiques Montage soviétique, expressionisme allemand, réalisme poétique, néoréalisme italien, nouvelle vague française, nouvel Hollywood, Dogme 95 Les Grands cinéastes que je propose, 7e art, Henri Agel, Edition du Cerf, 1967, 236 pages, livre illustré avec photos Chapitres consacrés à différents cinéastes Louis Lumière, Georges Méliès, Louis Feuillade, David Wark Griffith, Thomas Ince, Mack Sennett, Victor Sjöström, Mauritz Stiller, Charles S. Chaplin, Buster Keaton, Eric von Stroheim, Robert Flaherty, Frank Borzage, F. W. Murnau, Fritz Lang, Carl T. Dreyer, Ernst Lubitsch, Josef von Sternberg, King Vidor, Jean Renoir, Jean Grémillon, Alfred Hitchcock, Alexandre Dovjenko, Mark Donskoï, Kenji Mizoguchi, Jean Vigo, Max Ophuls, Jean Cocteau, Luis Buñuel, Howard Hawks, George Cukor, Orson Welles, Joseph L. Mankiewicz, Otto Preminger, Nicholas Ray, Vicente Minnelli, Vittorio De Sica, Roberto Rossellini, Robert Bresson, Jacques Tati, Georges Franju. Les Grandes “écoles” esthétiques, Cinémaction, numéro 55, périodique Résumé éditeur Tout se passe comme si l’histoire du cinéma traversait, de temps en temps, des périodes d’intense ébriété créatrice » au cours desquelles des cinéastes se retrouvent, provisoirement, autour d’un programme esthétique ou thématique. Objectif, presque toujours rompre des lances avec le cinéma de papa », des commerçants ou des gouvernements, de l’académisme et de la convention, pour proposer une nouvelle vision du cinéma, du monde et de la vie. Trois petits tours et puis s’en vont la nouvelle école » dure en général, sinon ce que durent les roses, du moins rarement plus de cinq, dix, quinze ans. … Courant des montages soviétiques 1917-1929 Sergueï M. Eisenstein Thema. Russie le pouvoir et le cinéma, De Nicolas II à Staline, ARTE, pro Pierre André Boutang, tranche horaire, réa William Aldridge, documentaire, 1h Documentaire consacré au rapport entre le pouvoir et le cinéma en Russie du début du cinéma sous le régime tsariste aux premiers films de propagande sous Staline. Documentaire constitué d’alternance entre entretiens avec des historiens comme Litsov, extraits de films, contextualisation de l’époque d’Eisenstein, de Poudovkine, Koulechov, Vertov et bien d’autres. Ce documentaire explique comment est né le cinéma en Russie et dans quel contexte politique. Le Cuirassé Potemkine, réa Sergueï Eisenstein, Le Muet du mois, ARTE, produit en 1925, version restaurée 2005, noir et blanc, muet, long métrage, 50 min source Allociné Un épisode de la Révolution russe de 1905 l’équipage d’un cuirassé, brimé par ses officiers, se mutine et prend le contrôle du navire. Arrivés à Odessa, les marins sympathisent avec les habitants qui se font brutalement réprimer par l’armée tsariste… La Grève, Le Muet du mois, ARTE, réa Sergueï Eisenstein, long métrage, muet noir et blanc, 1h28 min produit en 1925. Après la mort d’un des leurs, les ouvriers d’une grande usine de la Russie tsariste se mettent en grève. L’armée tsariste la réprime de manière sanglante. Dans ce film, Eisenstein montre ses techniques cinématographiques pour lesquelles il sera célèbre, notamment concernant les choix narratifs et le montage. Il choisit de filmer la masse plutôt qu’un personnage principal et refuse un montage narratif. Que viva Eisenstein, ARTE, réa Peter Greenaway, long métrage, fiction, 1h 41min Film réalisé en hommage à Eisenstein et au film qu’il a tourné à Mexico intitulé Que viva Mexico, biopic qui retrace ce tournage d’Eisenstein au Mexique. Résumé producteur [Source iMedia] En 1931, pendant dix jours, le cinéaste soviétique Sergueï Eisenstein se lance dans le tournage mouvementé de l’un de ses chefs-d’oeuvre, Que Viva Mexico!. Que Viva Mexico! est resté comme l’une des oeuvres maîtresses du grand Sergueï Eisenstein. En 1931, Hollywood ne veut pas du cinéaste soviétique. Au lieu de rentrer en URSS, le réalisateur du Cuirassé Potemkine et d’Octobre trouve refuge à Guanajuato, au Mexique… … A la radio A propos d’Eisenstein, Microfilms, France Culture, pro Serge Daney, magazine, 40 minutes Serge Daney s’entretient avec Jacques Aumont, historien du cinéma, au moment de la parution du livre d’Eisenstein, Mémoires, que Jacques Aumont a traduit. Grâce à ce livre, Jacques Aumont comprend la personnalité de ce cinéaste, son adhésion à la Révolution russe de 1917, son travail sur Ivan le terrible, l’image qu’il a du peuple russe, etc. Le Cinéma a cent ans Eisenstein, Les Mardis du cinéma, France Culture, pro Françoise Estebe et Jean Claude Loiseau, documentaire, 1h30 min Françoise Estebe a mené une série d’entretiens avec les enseignants, écrivains et critiques François Albera, Françoise Navailh, Charles Tesson et Dominique Fernandez. Dans ces entretiens, sont évoqués les débuts d’Eisenstein comme décorateur et metteur en scène de théâtre, son style et sa théorie sur le montage, son rapport avec le pouvoir et la façon dont cela s’exprime dans ses films. Une histoire du cinéma, France Culture, pro Jean Douchet et François Caunac, Causerie, 25 émissions, 29 minutes Eisenstein ; Vertov, épisode 6/25 Jean Douchet présente les cinéastes soviétiques Sergueï Eisenstein et Dziga Vertov, les notions de plans et de montage, leur appartenance à un cinéma révolutionnaire, etc. Dans les sources écrites La revue du cinéma, dir. Robert Aron, Jean Georges Auriol, Denise Tual ; librairie José Corti, n°14, 1 sept 1930 Situation du cinéma Soviétique » par Stefan Priacel, Le film soviétique, art primitif et savant », par Léon Pierre Quint ; Profession de foi d’un metteur en scène soviétique » par Alexandre Djovenko ; Le cuirassé Potemkine » par Jacques Spitz ; Turksib » par Cécile Pierrot ; Scénario de la ligne générale » par Eisenstein et Alexandroff. L’Esthétique du film, Jacques Aumont, Alain Bergala, Michel Marie, Marc Vernet, Nathan Cinéma, 2001, 238 pages Eisenstein et la ciné-dialectique », Le Calcul des réactions du spectateur Poudovkine, Eisenstein» au sujet d’Eisenstein. Livre qui fait le panorama de l’esthétique du cinéma, son langage qu’il crée par le montage et la mise en scène. Décrit par l’éditeur comme un ouvrage interdisciplinaire, s’appuyant sur l’histoire de l’art, la théorie littéraire, la sémiologie et la psychanalyse » Expressionisme allemand 1920-1930 1927 l’Aurore de Murnau et Métropolis de Fritz Lang À la télévision Nosferatu, Ciné regards, FR3, par, Herzog Werner ; par, Eisner Lotte, reportage, 16 minutes. Emission consacrée à Nosferatu Werner Herzog parle de son cinéma, et, une historienne du cinéma allemand, Lotte Eisner, du premier Nosferatu le vampire de Murnau. Elle compare le Nosferatu de Murnau et celui d’Herzog. L’Aurore, Murnau, Le Muet du mois, ARTE, réa Friedrich Wilhelm Murnau, long métrage, fiction, 1h 30 min Un paysan, séduit par une femme de la ville, tente de tuer sa femme qui vient de la campagne. Elle prend fuite, il l’a rattrape et voit leur amour re-naître. [Portrait du cinéaste Friedrich Wilhelm Murnau], Journal de la culture = Kultur, ARTE, jou Artem Demenok, reportage, 2 minutes Reportage Retour sur la vie du cinéaste Friedrich Wilhelm Murnau, en particulier sur son voyage à Bali où il tourna son dernier film, Tabou. Interview de Friedemann Beyer, directeur de la fondation Murnau, d’Enno Patalas, historien du cinéma. Alternance d’images factuelles, d’extraits de films et de photographies. Nosferatu le vampire, Ciné-club, ARTE, réa Friedrich Wilhelm Murnau, long métrage de fiction, 1h 35 minutes, version restaurée par Luciano Barriatua Nosferatu a été restauré par Luciano Barriatua en 2005/2006, à l’initiative de la fondation Murnau, à partir d’une copie nitrate teintée, avec intertitres français de 1922, notamment complétée d’une copie de la version distribuée en 1930. Résumé producteur [Source iMedia] Dans les montagnes de la région des Carpathes, en Transylvanie, un agent immobilier venu conclure une affaire rencontre un personnage mystérieux et inquiétant. En 1830, Hutter, commis d’un agent immobilier, est envoyé en Transylvanie dans la région des Carpathes, auprès du comte Orlock, intéressé par l’achat d’une maison à Brême. Malgré les mises en gardes des paysans, Hutter décide de passer la nuit dans le sinistre château du comte. Alors qu’il profite paisiblement de l’hospitalité d’Orlock, Hutter se coupe accidentellement le doigt. Il ne tarde pas à constater que le propriétaire des lieux a un certain goût pour le sang. Il comprend qu’il n’est pas en face d’un simple mortel mais bien d’un vampire. Pendant ce temps, le navire qui transporte les affaires personnelles d’Orlock accoste dans le port de Brême… À la radio L’Expressionnisme, Euphonia, France Culture, pro Cécile Gilly, – documentaire, 5 émissions, 1h ; L’expressionnisme 5ème émission, Documentaire dédié au mouvement de l’expressionisme. L’épisode 1 concerne l’origine du mouvement et son implication dans les arts, l’épisode 2 concerne la naissance de l’expressionisme dans la peinture, la musique et la littérature, l’épisode 3 concerne l’écriture expressionniste, l’épisode 4 concerne l’opéra expressionniste, et enfin l’épisode 5 concerne l’expressionnisme dans la musique et au cinéma. Bernard Eisenchitz et Alain Poirier dans ce dernier épisode font une définition du cinéma expressionniste apparu au début des années 20 en Allemagne, commentant la musique utilisée et comment elle a évolué. Murnau, Une Histoire du cinéma, France culture, pro Jean Douchet, François Caunac, Causerie, Episode 7/25, 29 min Jean Douchet parle des premiers films de Friedrich Wilhelm Murnau, la création esthétique de ce cinéaste et son inscription dans l’expressionisme allemand. Il analyse les caractéristiques de ce mouvement, la lumière, le rythme, le jeu d’acteur des personnages dans Nosferatu mais aussi l’Aurore, L’intruse et Tabou. Jean Douchet mène une analyse sur diverses thématiques, il traite par exemple du thème de la culpabilisation. Sources écrites Revue Positif, numéro 228, mars 1980, périodique Deux articles sont consacrés à Fritz Lang dans cette revue Le Nom de l’innommable Le Testament du docteur Mabuse » par Gérard Legrand et Fritz Lang ou la tentation du vide » par Philippe Leguay. Dans cette même revue, un article consacré à Murnau par Sylvain Exertier intitulé La Lettre oubliée de Nosferatu » Trois moments du cinéma allemand » coordonné par François Amy de la Bretèque et Pierre Guibbert, Les Cahiers de la Cinémathèque, Revue d’histoire du cinéma, mars 1981, numéro 32 Périodique consacré au cinéma allemand, de ses débuts aux années 80, passant donc également par Fritz Lang. L’Analyse des films, J. Aumont et Michel Marie, Nathan Université, 1988, 231 pages Dans ce livre méthodologique sur l’analyse de films, présentant la manière d’aborder cet axe d’étude, deux chapitres sont consacrés à l’analyse de deux films de Murnau. Plastique et rhétorique de l’image le cache et l’iris dans Nosferatu le vampire » ; L’image et la figure L’Aurore de Murnau ». Réalisme poétique 1930-1940 1937 La Grande illusion, Renoir ; 1939 Le jour se lève, Marcel Carné Vers le réalisme poétique 1936-1938, Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait, TF1, pro Armand Panigel, magazine, 48 minutes Armand Panigel interviewe Marcel Carné à l’occasion de la diffusion de son film Les Portes de la nuit sorti en 1946. Marcel Carné raconte la genèse du projet, l’implication de Jean Gabin et Marlene Dietrich, le scénario de Jacques Prévert. Il revient sur son erreur d’avoir choisi Yves Montand dans le rôle principal. Il revient également sur sa carrière, livrant quelques anecdotes et donne son avis sur le cinéma français. Thema. Marcel Carné, ARTE, tranche horaire, 4 heures Soirée thématique en hommage au cinéaste français Marcel Carné. Diffusion successive du film Les Portes de la nuit de Marcel Carné, du documentaire Carné, vous avez dit Carné et de la biographie Marcel Carné, ma vie à l’écran réalisés par Jean-Denis Bonan, et enfin d’un film réalisé pendant le tournage du documentaire de Nicolas Baulieu intitulé Fragments et anecdotes. À la radio Marcel Carné, 40 ans de cinéma, La Vie à Paris, France Inter, pro Claude Archambault, date d’enregistrement magazine, 30 minutes Entretien avec le réalisateur Marcel Carné qui évoque ses 40 ans de carrière. Il parle de son amour pour les grands acteurs et critique ceux qui sont trop égocentriques. Il parle de ses débuts comme assistant de Jacques Feyder et René Clair et de son article Quand le cinéma descendra dans la rue. Il évoque également l’atmosphère et les personnages qu’il crée et qui participent du réalisme poétique. Une Histoire du cinéma français 2ème émission, 1929-1939 De “Sous les toits de Paris” à “La règle du jeu”, France Culture, documentaire, 2 heures Résumé producteur De la tyrannie de l’ingénieur de son aux versions multiples. Du théâtre filmé à la crise de la production. Du réalisme poétique au Front Populaire. Des scénaristes aux auteurs. De la Cinémathèque à la guerre. Avec les voix de Jacques Feyder, Marcel Pagnol, Sacha Guitry, Julien Duvivier, Henri Jeanson, Jean Vigo, Henri Langlois, Marcel Dalio, Jean Gabin, Arletty, Louis Jouvet, Raimu, Eric Von Stroheim, Michel Simon, Fernandel, Jean Rouch, etc.. » Dans les sources écrites Histoire du cinéma, Cinémaction, numéro 73, Coordination René Predal, périodique Périodique qui fait l’histoire du cinéma, de ses origines et du muet jusqu’au cinéma d’auteur, en passant par le réalisme poétique. Une partie y est consacrée au chapitre XII. Néoréalisme italien 1943-1955 1945 Rome ville ouverte, Rossellini À la télévision Roberto Rossellini présente, Jean Marie Coldefy, janvier 1963, interview et entretiens, 11 épisodes, 3 min Compilation d’entretiens qui montrent Roberto Rossellini présentant chacun de ses longs métrages. Présentations qui devaient avoir lieu avant la diffusion de chacun des films Stromboli, Rome ville ouverte, India mère patrie, Allemagne année zéro, La Peur, Les Onze Fioretti de François d’assise, Jeanne au bûcher, L’Amore, Voyage en Italie, Paisa, Europe 51. Il était une fois, Rome ville ouverte, France 5, réa Marie Genin, documentaire, 52 minutes Marie Genin et Serge July s’intéressent à l’un des films qui a le plus marqué le néoréalisme italien Rome ville ouverte de Roberto Rossellini. Dans ce documentaire ils ancrent la narration du film dans sa réalité historique. Des extraits de films, des archives d’entretiens et d’actualités, alternent avec les témoignages des enfants de Rossellini. Participent à ces entretiens Isabella Rossellini, Vittorio Taviani, Carlo Lizzani, Père Virgilio Fantuzzi, Luca Magnani, Renzo Rossellini et Adriano Apra. À la radio Entretien en français de Roberto Rossellini, Plein feu sur les spectacles du monde, Programme National, René Wilmet, date estimée probable de document enregistré entre 1947 et 1953, magazine, 2 min Le réalisateur parle de Rome, Ville ouverte et Païsa et de l’accueil du public français pour ces deux films. Il explique comment il filma alors que les Allemands étaient encore présents et parle de ses projets de nouveaux films. Roberto Rossellini, Radioscopie, France Inter, Jacques Chancel, entretien, 53 minutes Au micro de Jacques Chancel, Roberto Rossellini, âgé de presque 80 ans philosophe sur la vie, se pose des questions existentielles, questionnant le rôle du cinéma et de la télévision, la législation au cinéma, le néoréalisme italien, la nouvelle vague. François Truffaut ; Roberto Rossellini, Le Cinéma des cinéastes, France Culture, Claude Jean Philippe, 43 minutes Claude Jean Philippe s’entretient avec François Truffaut au sujet de la situation du cinéma face à la libération, les films qui ont déterminé sa vocation de cinéaste, sa rencontre avec André Bazin. S’ensuit d’une interview de Roberto Rossellini questionnant son intérêt pour l’élaboration de la pensée, le rapport entre la culture et le cinéma. Dans les sources écrites Cinéma et monde rural, Cinémaction, coordination Predal René, numéro 36, Ce périodique met à l’honneur le monde rural, souvent dévalorisé voire moqué dans les films. Le néoréalisme avait abordé cette ruralité sans la moquer et cela est étudié par Guiseppe de Santis dans un des chapitres de cet ouvrage. Nouvelle vague française années 1950-1960 1960 A bout de souffle, Godard À la télévision Alexandre Astruc Les Mauvaises rencontres, Le Critérium du film, 1ère chaine de l’ORTF, réa Colette Thiriet, pro Marcel Lherbier, 3 min 56 Marcel Lherbier parle d’Alexandre Astruc, qui disait qu’il fallait utiliser la caméra comme un stylo. Il interviewe l’actrice principale du film Les Mauvaises rencontres, afin de présenter le film qui va être diffusé. François Truffaut Les 400 Coups, Cinq colonnes à la une, 1ère chaîne de l’ORTF, Pierre Desgraupes, magazine, 7 minutes Présentation de trois extraits d’essais réalisés pour le casting des 400 coups de François Truffaut. On voit des duos d’enfants qui s’entraînent dont Jean Pierre Léaud. Cinéastes de notre temps, 2ème chaîne, pro Janine Bazin, pro André S. Labarthe, réa Robert Valey, documentaire La Nouvelle vague par elle-même 1ère partie, 1 heure 35 minutes ; La Nouvelle vague, remède ou poison 2ème partie, 38 minutes La collection Cinéastes de notre temps de 1964 à 1972 produite par André S. Labarthe et Janine Bazin, l’épouse d’André Bazin, propose de nombreuses émissions consacrées au cinéma et en particulier au cinéma de la Nouvelle Vague. Dans l’émission La Nouvelle vague par elle-même, Pierre Kast, Alexandre Astruc, Jacques Doniol Valcroze parlent de la Nouvelle Vague, de la critique, des cinéastes autodidactes, des principes de la Nouvelle Vague et comment elle est arrivée. Claude Chabrol, Jean Rouch, Agnès Varda, Jacques Rivette, François Truffaut, Jean luc Godard, Jacques Rozier, Jacques Demy, Georges Franju, Jacques Daniel Pollet, parlent de leurs films. L’émission est ponctuée de nombreuses archives et extraits de films. La deuxième partie est consacrée à l’aspect économique de la Nouvelle Vague. Sont interviewés dans cette deuxième partie Henri Langlois, Georges de Beauregard, Jules Borkon, Pierre Braunberger, Jacques Flaud, Pierre Kast et René Thevenet. Cette collection est reprise ensuite par Arte sous la direction d’André Labarthe de 1990 à 2003, sous le nom Cinéma de notre temps. Ciné club. Cycle le souffle des années 60 Les 400 coups, diffusé sur France 2 le rediffusé sur ARTE le réa François Truffaut, long métrage de fiction, 1h35 min Antoine Doinel fugue, fait l’école buissonnière pour aller au cinéma. Ce film considéré comme faisant l’autobiographie de son auteur marque les débuts du cinéma de la Nouvelle Vague avec Jean Pierre Léaud, âgé de 14 ans, souvent considéré comme le jumeau de François Truffaut. Nouvelle vague vue d’ailleurs, Cannes 2009, ARTE, réa Luc Lagier, documentaire, 50 minutes Résumé producteur Cinquante ans après, la Nouvelle Vague continue de déferler outre-Atlantique. Des réalisateurs américains Arthur Penn, James Gray, Paul Schrader… montrent combien cette révolution artistique a influencé le cinéma et leur travail. … » Documentaire ponctué d’archives, d’extraits de films et d’interviews. Le Redoutable, Canal +, réa Michel Hazanavicius, long métrage de fiction, 1h 44 min Résumé producteur [Source iMedia] En 1968, un jeune cinéaste adulé et marié avec une femme de vingt ans sa cadette remet son art en question quand éclate la révolte estudiantine de Mai 1968. En 1967, Jean-Luc Godard est déjà considéré comme un maître, avec ses chefs-d’oeuvre Le Mépris, Pierrot le fou et A bout de souffle. Mais le cinéaste est en pleine remise en question de son art, qu’il trouve vain et qu’il s’apprête à tuer, tandis qu’éclate la révolte étudiante de mai 1968. Il se passionne pour la révolution et les discours maoïstes et marxistes qu’il soutient. Il vit avec Anne Wiazemsky, de vingt ans sa cadette et qu’il ne traite pas très bien. Egocentrique et égoïste, il empêche sa femme de vivre… » À la radio Le Jeune cinéma français, Adelin Trinon, France vivante, France Culture, débat Table ronde de jeunes Belges, Suisses et Canadiens étudiants dans une école de cinéma de Bruxelles. Ils questionnent ensemble l’apport de la Nouvelle Vague, l’influence de Godard, la nécessité de se tourner vers des films réalistes, et donnent leur opinion sur Chabrol, Truffaut et Lelouch. Biographie Agnès Varda, pro Jean Daive, pro Alain Veinstein, Nuits magnétiques, France Culture, magazine, 1h21 min Agnès Varda, interviewée par Jean Daive parle de son enfance morne, son éducation, son professeur Gaston Bachelard, ses reportages photographiques, la réalisation de son premier film La Pointe courte, la nouvelle vague, les difficultés de son métiers, de la diffusion de certains de ses films, son itinéraire en tant que femme. La Nouvelle Vague, El Cine frances, jou Ignacio Ramonet, Radio France internationale, 30 minutes, langue espagnole La Nouvelle Vague et le phénomène Vadim-Bardot avec Et dieu créa la femme. Il est aussi question de Louis Malle, Melville, Truffaut, Godard et Chabrol avec des extraits de leurs films. Claude Chabrol, pré Monique Desbarbat, pré Claude Villiers, Le Tribunal des flagrants délires, France Inter, 58 minutes Emission humoristique conçue comme un tribunal dans lequel l’invité du jour doit comparaitre. Claude Chabrol y est invité et est accusé de haute trahison à l’esprit de la Nouvelle Vague et d’incitation à la surconsommation au vu de ses nombreuses déclarations concernant la gastronomie. Cinémathèque en liberté, Nuits magnétiques, Les Nuits de France Culture, France Culture, pro Chantal de Béchade, 5 émissions, décembre 2017, documentaire, 1h 25 min La Nouvelle vague, les pavés, la plage », troisième volet d’un documentaire en cinq parties sur l’histoire de la Cinémathèque française. Episode sur l’importance de la cinémathèque pour les cinéastes de la Nouvelle Vague et de l’influence de ces derniers sur le cinéma mondial. Pour Henri Langlois, fondateur de la cinémathèque, la nouvelle vague c’est l’autodidacte, l’art contre les gens qui pensent que la création artistique s’apprend dans les écoles. Chantale de Béchade, elle, explique le rôle important qu’a joué la cinémathèque dans l’apparition de la Nouvelle Vague. Dans les sources écrites Les Cahiers du cinéma, Editions de l’Etoile,1951-2020, périodique, critique Cette revue de critique de film a été fondée par Jacques Doniol-Valcroze, Joseph-Marie Lo Duca, André Bazin et Léonide Keigel. Parmi les premiers rédacteurs, on compte de nombreux cinéastes que l’on va rattacher au courant de la Nouvelle Vague comme Eric Rohmer ses premiers articles sont signés de son vrai nom Maurice Schérer, Claude Chabrol, Hans Lucas alias Jean Luc Godard, Truffaut, Jacques Rivette. Cette revue se compose généralement d’entretiens ou d’articles critiques qui revendiquent un certain cinéma. On peut relever des articles phares comme Une certaine tendance du cinéma français » et la Politique des auteurs » de François Truffaut. La revue va être reprise par Serge Daney, Serge Toubiana puis Antoine de Baecque, Charles Tesson et bien d’autres. Elle est aujourd’hui dirigée par Stéphane Delorme. Nouvelle vague, Jacques Siclier, 7e art, Edition du Cerf, 1961, 132 pages Ce petit livre retrace la naissance de la nouvelle vague, le contexte de création dans une crise économique du cinéma, qui donne une place importante à la critique, et créé un univers à part. La Nouvelle Vague version Godard, Travail universitaire, mémoire, sous la direction de Dana Jorge, 1985, 55 pages Mémoire de diplôme en information et communication de l’IFP, Université Paris II, soutenu par Anne Gillet sous la direction de Jorge Dana. Mémoire qui trace l’avènement de la Nouvelle vague dans le cinéma français, sa situation historique et ses principes. Questionne également la place et la vision de Godard dans la Nouvelle Vague. Les Cahiers du cinéma histoire d’une revue, Antoine De Baecque, Cahier du cinéma, 1991, 316 pages, livre illustré Tome 1 à l’assaut du cinéma de 1951 à 1959 Résumé éditeur Avril 1951. Dans un petit bureau des Champs-Elysées, Jacques Doniol- Valcroze, Lo Duca et Léonide Keigel feuillettent les premiers exemplaires d’une nouvelle revue voulue par André Bazin les Cahiers du cinéma. La couverture du premier numéro est déjà jaune, et sera longtemps un signe de ralliement des cinéphiles. Mai 1959. Les Quatre Cents Coups triomphe au Festival de Cannes. Derrière François Truffaut, c’est toute une génération de critiques – de Claude Chabrol à Jean-Luc Godard, Jacques Rivette ou Eric Rohmer.…. L’histoire des Cahiers du cinéma est celle d’une génération enthousiaste et injuste, brillante et provocatrice, conviviale et divisée, qui va donner naissance à la Nouvelle Vague. La figure centrale de ce noyau de moralistes du cinéma est incontestablement André Bazin qui, selon le mot de Truffaut, fut un homme célèbre par sa bonté » … La Nouvelle Vague et le cinéma d’auteur socio analyse d’une révolution artistique, Mary Philippe, Editions Du Seuil, 2006, 211 pages. Résumé éditeur De Truffaut à Godard ou Resnais, de Chabrol à Rivette ou Varda, le jeune cinéma» de la Nouvelle Vague marque, au début des années 1960, un tournant. Au cinéma de la Qualité, celui de Carné et Prévert, de Gabin et Jouvet, des maîtres du décor et de la lumière, des professionnels de la profession», se substitue un cinéma d’auteur», libéré de son carcan technicien, indépendant des impératifs économiques et du vedettariat et capable de confronter», selon le mot de Godard, des idées vagues avec des images claires» L’ambition de ce livre est de proposer une socio-analyse de cette révolution artistique» cerner les règles professionnelles, les hiérarchies sociales ou les tendances de la critique qui caractérisent le cinéma français. » Nouvel Hollywood années 60-80 Dennis Hopper, Francis For Coppola, Brian De Palma, George Lucas, Martin Scorcese, Michael Cimino, Steven Spielberg À la télévision Scarface de Brian De Palma, Etoiles et toiles, TF1, réa Adrian Maben, par Al Pacino et Brian De Palma, 1 heure Brian De Palma et Al Pacino sont interviewés au moment de la sortie de Scarface de Brian De Palma, remake du Scarface d’Howard Hawks. Des extraits des films sont présentés, Al Pacino est interviewé sur son rôle d’acteur et Brian de Palma sur l’emploi de la violence dans ses films. The Scorsese machine, Cinéma, de notre temps = Kino unsere Zeit, ARTE, pro André Sylvain Labarthe, pro Janine Bazin, documentaire, 1h14 min L’équipe de Cinéma de notre temps a filmé Martin Scorsese, à New York au mois de novembre 1988, dans ses bureaux, parmi ses principaux collaborateurs. Plus que d’un entretien traditionnel, il s’agit d’une présentation “de l’intérieur” du “système Scorsese”. Documentaire qui se déroule de manière chronologique, la date et l’heure apparaissent à chaque séquences à l’écran. On voit Scorsese dans son bureau, recevant des collaborateurs. On voit même Scorsese discuter avec Brian De Palma, en repas de famille avec ses parents. En alternance avec ces séquences de vie quotidienne, Scorsese s’adresse à la caméra pour raconter les films qui ont marqué son enfance, parle du montage etc. Story Easy Rider, Personne ne bouge, ARTE, jou Frédéric Bonnaud, 15. 11. 2015, 8 minutes En 1969, Easy Rider donne naissance à un renouveau du cinéma ce qui va entamer la période du Nouvel Hollywood. Jean Baptiste Thoret et Bruno Isher reviennent sur sa création. Wasn’t Born to Follow, Sur les traces d’Easy Rider, Pop culture, ARTE, réa Simon Witter, réa Hannes Rossacher, 52 minutes Ce documentaire fait partie d’une série de quatre, consacrés au film Easy Rider Dennis Hopper, 1969. Résumé producteur [Source iMedia] Sur un texte dit par Gérard Lanvin, les documentaristes poursuivent leur route d’Easy Rider avec, dans cet épisode, la drogue comme fil conducteur. La drogue est au centre de ce troisième épisode, qui confronte le tournage du film à un état des lieux plus de quarante ans après. Outre Peter Fonda et Dennis Hopper – décédé en mai 2010 -, Guy Lawson, journaliste au magazine Rolling Stone, et deux spécialistes des drogues interviennent. La drogue faisait partie de notre processus créatif », se souvient Dennis Hopper. Les documentaristes se penchent également sur les relations d’amour-haine entre bikers et hippies, rapprochés par certaines valeurs – le rejet des normes bourgeoises et l’envie de nomadisme. Le LSD les avait réunis une fois en 1967, lors d’un happening géant à San Francisco, où les 40 000 hippies présents furent encadrés par les Hell’s Angels. » Summer of scandals Hollywood Confidential, les égouts du paradis, ARTE, réa Jérôme Korkikian, documentaire, 57 minutes Résumé producteur [Source iMedia] Le cinéaste Peter Bogdanovich et l’historien Peter Biskind détaillent un siècle de scandales hollywoodiens. Ils illustrent leur propos d’extraits de films. Des films emblématiques comme Scarface de Howard Hawks, La Mort aux trousses et Psychose d’Alfred Hitchcock, L’Homme au bras d’or d’Otto Preminger, Orange mécanique de Stanley Kubrick et Taxi Driver de Martin Scorsese complètent leur propos. L’exemple de Judy Garland, dont la toxicomanie fut cyniquement instrumentalisée par les studios, illustre à merveille le contexte qui régnait à Hollywood. Après la période de censure du code Hayes souffle une ère de liberté, suivie par l’avènement des blockbusters. » A la radio Le Nouvel Hollywood, Programme musical, France Musique, pré Olivier Le Borgne, émission à base de disques, 1 heure Panorama des musiques des films mythiques de la période du Nouvel Hollywood, qui ont marqué leur époque. Elles sont écoutées dans cette émission. Peter Biskind, Charivari, France Inter, pro Frédéric Bonnaud, 42 minutes Frédéric Bonnaud reçoit Peter Biskin, auteur de Le Nouvel Hollywood paru en 2003 et Sexe, mensonges et Hollywood paru en 2004 Résumé producteur … Il y a quatre ans, le journaliste américain Peter Biskind avait publié Le Nouvel Hollywood, ou comment la génération sex, drugs- and-rock’n’roll » a sauvé Hollywood. Dans ce livre, Peter Biskind racontait comment des cinéastes tels que Martin Scorsese, Francis Ford Coppola, George Lucas et Steven Spielberg avaient pris le pouvoir et fait seulement les films qu’ils voulaient faire, des films très personnels, sans se soumettre aux ordres des grands studios. Les années 70 resteront comme de grandes années pour le cinéma américain, tant la liberté et l’inspiration étaient alors au pouvoir. … Dans un nouveau livre, intitulé Sexe, mensonges et Hollywood et toujours publié au Cherche-midi, Peter Biskind raconte les années 80 et 90, avec le succès du concept assez discutable de cinéma indépendant, la création du fameux Festival de Sundance par Robert Redford, et l’ascension de Miramax, la maison de production des frères Weinstein. Les cinéastes de ces années-là s’appellent Steven Soderbergh ou Quentin Tarantino, et Martin Scorsese y fait figure de grand survivant des seventies. … Sur la route de Dennis Hopper, Surpris par la nuit, France Culture, pro Frédéric Bas, pro Alain Veinstein, , documentaire, 1h 14 min Documentaire sur le réalisateur et acteur Dennis Hopper à l’occasion de l’exposition à la cinémathèque de Paris. Sont interviewés Brice Matthieussent, J. F. Rauger, Serge Toubiana, Matthieu Orleans, Jean Baptiste Thoret, P. Edelman et Dennis Hopper. Ils évoquent les débuts de Dennis Hopper, la réalisation de Easy Rider, sa rencontre avec James Dean, et l’émergence du road movie. Résumé producteur Ceux qui ont vu L’Ami américain de Wim Wenders 1977 n’ont pas oublié son ouverture un homme avec un chapeau de cow-boy arrive en taxi à Hambourg c’est Dennis Hopper dans le rôle de Ripley. Il vient rendre visite à son vieil ami, le peintre Pogash interprété par Nicholas Ray, le premier grand cinéaste qui a fait jouer l’acteur Hopper dans les années 1950. … Acteur-icône qui a traversé l’histoire du cinéma hollywoodien en accompagnant les métamorphoses de l’Amérique depuis l’émergence du Rebelle dans les fifties La Fureur de vivre, Géant jusqu’au Freak bordeline des années 1980 et 1990 Blue velvet, Speed, Dennis Hopper a explosé en donnant une incarnation définitive à la contre-culture américaine post-beat generation. … » Autour du Nouvel Hollywood, Cinéma song, France Musique, pro Thierry Jousse, 2 émissions, et 1h30 min Cette émission de la collection Cinéma song, consacrée à la musique de films, s’intéresse à la bande son des films du Nouvel Hollywood. Dans les sources écrites Télérama [du 22 au 28 octobre 1977], Télérama, numéro 1449, François de Closets, Daniel Karlin, périodique Article sur le Nouvel Hollywood dans lequel différents zooms sont faits sur des réalisateurs emblématiques sur Francis Ford Coppola auteur non précisé, William Friedkin auteur non précisé, George Lucas auteur Gilbert Salachas, Steven Spielberg auteur Alain Remond Positif [février 1985], numéro 288, périodique Chapitre consacré à Francis Ford Coppola la comédie des masques » sur Cotton Club de Jean. A. Gili ; Y a-t-il un spectateur dans la salle ? » Sur Cotton Club de Vincent Amiel ; Stormy weather Histoire d’une production de Hubert Niogret ; La saga du Parrain » de Michel Cieutat. L’art du film, une introduction, Arts et cinéma, David Bordwell, Kristin Thompson, De Boeck Université, 2000, 637 pages. Ouvrage qui s’intéresse aux questions de l’esthétique du film, analyse de séquence et propos sur des théories du cinéma. Ce livre finit sur un chapitre consacré au Nouvel Hollywood 5 pages à ce propos, de la page 578 à 583. Dogme95 depuis 95 Initié par Lars Von Trier et Thomas Vinterberg À la télévision Les Idiots, Canal +, réa Lars von Trier, long métrage, fiction, 1h 50 min En 1998, Lars Von Trier réalise Les Idiots, deuxième volet de sa trilogie cœur en or » qui contient en premier Breaking the wave 1996 et en dernier Dancer in the Dark 2000. Le films suit des adultes anti-bourgeois qui se comportent comme des idiots pour provoquer le politiquement correct ». Kinociné [programme du 23 Octobre 2000], ARTE, tranche horaire, 4 heures Soirée consacrée à Dogme 95 avec Breaking the waves, film long métrage de Lars von Trier suivi du documentaire de 27 minutes Lars von Trier reflets dans un cœur d’or de Xavier Villetard qui dresse un portrait du cinéaste. S’ensuit Free Dogme, un documentaire de 52 minutes de Marie Berthelius et Roger Narbonne sur le principe du débat-tournage » dans lequel sont interviewés par téléphone Lars von trier, Jean Marc Barr, Lone Scherfig et Wim Wenders. Ils se filment en même temps qu’ils s’appelent mais ne se voient pas. Enfin, un vidéoclip Lars Von Trier & the Idiot All star interprètent You’re a lady ». Festen – Fête de famille, ARTE, réa Thomas Vinterberg, long métrage, fiction, 1h 40 min En 1998, Thomas Vinterberg réalise Festen, l’histoire d’un dîner de famille lourd en révélations. Ce film réalisé au début du mouvement Dogme95 en annonce les principes. Le Nouveau cinéma scandinave, Le Documentaire culturel spécial Cannes, ARTE, Stéphane Bergouhnioux, 53 minutes Longtemps après Ingmar Bergman et après le Dogme 95 incarné par Lars von Trier Palme d’or en 2000 et en compétition l’année dernière à Cannes, une nouvelle génération d’auteurs issue des écoles de cinéma scandinaves voit le jour. Avec talent et succès, et grâce à un système de production inter-pays propre à l’Europe du Nord, ces jeunes cinéastes développent une écriture formelle et des thématiques originales, entre goût de la transgression et préoccupations sociales et morales. En parcourant les paysages naturels et urbains de la Scandinavie, partie intégrante de ce cinéma, les réalisateurs du documentaire vont à la rencontre de ces jeunes cinéastes, pour comprendre avec eux ce qui fait leur identité. Décryptage Lars Von Trier, Spécial pays nordiques, Court-circuit, ARTE, 6 minutes Reportage dans lequel Martin Hanse Strange et Peter Schepelern s’expriment au sujet de Lars Von Trier. Martin Hanse Strange, réalisateur, commente l’influence du cinéaste Lars Von Trier et de son mouvement Dogme 95 sur le cinéma danois. Peter Schepelern, enseignant en étude cinématographiques et maître de conférence narre le parcours et la formation de Lars Von Trier qu’il eût en tant qu’élève. À la radio Lars von Trier, le passager de l’Europe, Ciné club, Les Nuits de France Culture, France Culture, Catherine Paoletti, documentaire, 1h 25 min Résumé producteur Le cinéma du Danois Lars von Trier, dont la personnalité énigmatique n’exclut pas un sérieux sens de l’humour, se caractérise par une exploration systématique des genres cinématographiques thriller, historique, mystique, comédie musicale, qu’il se réapproprie et qu’il réinvestit tout à fait singulièrement en les traduisant au gré de ses obsessions et de son imaginaire personnel. Sa quête inlassable de l’origine du mal, de ce fléau très singulier qui un jour, fit basculer l’Europe dans l’horreur, est interrogé sans relâche. … Avec Jean-Marc Barr, comédien dans les films Europa et Breaking the waves ; Claude Darras, plasticien ; Carole Desbarats, directrice de la Fémis ; Wolfgang Ernst, historien à l’Ecole supérieure des arts et médias de Cologne ; Jean Max Mejean critique à la revue Cinéma Action ; la voix de Lars von Trier. » Thomas Vinterberg, Boomerang, France Inter, pro Augustin Trapenard, 28 minutes Le film La Communauté de Thomas Vinterberg narre une période qu’il regrette qui est la période de la communauté qu’il a connu, y ayant vécu. Il questionne ici l’individu dans le collectif. Résumé producteur [Source site internet de France Inter] Près de vingt ans après son cultissime Festen, son nouveau film La Communauté sort aujourd’hui et c’est un évènement ! Thomas Vinterberg est l’invité d’Augustin Trapenard. Son cinéma nous parle des espoirs, des limites et des errances de la communauté. Dans ses films il en explore aussi bien les travers que les joies et les promesses. Son nouveau film, La Communauté, est donc à l’image de son oeuvre prolifique. Le cinéaste danois nous y raconte l’histoire d’une utopie collective, mise à l’épreuve par les lois impitoyables du désir. » Dans les sources écrites Positif [février 1985], numéro 288, février 1985, Périodique Chapitre consacré à Lars Von Trier. L’Europe après la pluie sur Element of Crime de Emmanuel Carrère ; Entretien avec Lars Von Trier de Michel Ciment et Hubert Niogret. Cinéma 26, Fonds Arte Cinéma, diapositives et photos Photos de tournages de Fête de famille Titre original Festen, réalisé par Thomas Vinterberg en 1998, interprété par Ulrich Thomsen, Henning Moritzen, Thomas Bo Larsen, Paprika Steen, Birthe Neumann. 3 – Quelques films internationaux à voir ou revoir des années 1980-2020 Suède Fanny et Alexandre, ARTE, réa Ingmar Bergman, version 3 heures, long métrage de fiction, VF Long métrage original d’une durée de 5h et 26 minutes Résumé producteur [Source iMedia] Après la mort tragique de leur père acteur, deux enfants souffrent du désastreux remariage de leur mère avec un évêque puritain de l’Eglise de Suède. En Suède, au début du XXe siècle. Helena Ekdahl, propriétaire du théâtre d’Uppsala, a invité sa famille et ses amis pour de somptueuses festivités de Noël. Ses trois fils sont présents, Oscar, comédien médiocre, Gustav Adolf, éternel coureur de jupons, et Carl, un professeur alcoolique. Parmi les petits-enfants qui prennent joyeusement part à la fête, Fanny et Alexandre. Au cours d’une répétition, leur père, Oscar, est victime d’une hémorragie cérébrale. Sa mort soudaine jette la consternation dans la famille Ekdahl. L’évêque Edvard Vergerus célèbre les funérailles. Il séduit Emilie, la jeune veuve, et bientôt l’épouse, au grand effroi des enfants, qui redoutent son puritanisme obsessionnel… » Récompensé de quatre oscars et un césar. Canada Videodrome, Nuit Cronenberg, Canal +, réa David Cronenberg, 1 heure 23 minutes, long métrage, fiction, VF Le patron d’une chaîne TV érotique capte un programme-pirate qui provoque des hallucinations et l’amène à se comporter de manière étrange. Récompensé du prix du meilleur film de sciences fiction au festival international de film fantastique de Bruxelles. David Cronenberg remporte également le prix Génie du meilleur réalisateur et est nommé dans 7 autres catégories de ce prix. France, Royaume Uni, Etats-Unis Paris, Texas, ARTE, réa Wim Wenders, première diffusion, Rediffusé le long métrage, fiction, 2 heure 19 minutes Un homme, Travis, erre dans le désert, sans famille. Son frère vient à sa rencontre et renoue avec lui. Ces retrouvailles permettent à Travis de renouer avec son fils avec lequel il part à la recherche de sa mère. Espagne Femmes au bord de la crise de nerf, France 2, réa Pedro Almodovar, long métrage, fiction, 1 heure 25 minutes, VF Ivan et Pepa, deux comédiens de doublage sont amants depuis plusieurs années. Subitement Ivan délaisse Pepa et elle comprend qu’il mène une double vie… Il remporte de très nombreuses récompenses dont cinq Goyas, un Oscar, un Golden Globes et un BAFTA. Hong Kong Chungking express , Mon cinéclub, Canal +, réa Wong Kar-wai, 1 heure 40 minutes, long métrage de fiction, VOSTFR Deux policiers noient parallèlement leur chagrin d’amour… Ce film remporte de nombreuses récompenses au Hong Kong film Awards, Faye Wong remporte le prix de la meilleure actrice au Festival du film de Stockholm et l’acteur Tony Leung Chiu-wai remporte le prix du meilleur acteur au Golden Horse Film Festival Taïwan, Hong Kong, Etats-Unis, Chine Tigre et dragon Titre original Crouching tiger hidden dragon, Canal +, réa Ang Lee, long métrage, fiction, 1 heure 55 minutes Dans la Chine du XIXème siècle, Li Mu Bai possède une épée magique nommée Destinée », elle est l’objet de nombreuses convoitises. Il la confie à une guerrière en lui donnant l’objectif de la remettre au seigneur Té mais une fois la nuit tombée, un voleur vient la lui dérober… Ce film reçoit d’innombrables récompenses mais on peut cependant relever quatre oscars, deux Golden Globes, quatre BAFTA Awards et huit Hong Kong film Awards France, Allemagne Le fabuleux destin d’Amélie Poulain, Canal +, réa Jean Pierre Jeunet et Marc Caro, long métrage, fiction, 1 heure 56 minutes. Amélie est pleine d’imagination. Elle vit dans Paris et se plait à observer la vie des gens autour d’elle. Elle se fixe l’objectif de rendre les gens autour d’elle heureux et va alors faire de nombreuses rencontres. Ce long métrage remporte également de nombreuses récompenses et nous n’en nommerons que quelques unes 4 césars, 2 BAFTA et 3 prix Lumières. Etats-Unis, France Mulholland Drive, Canal +, réa David Lynch, long métrage, fiction, 2 heures 20 minutes, VF Une jeune actrice, Betty, tente de faire carrière à Hollywood. Parallèlement, une femme perd la mémoire dans un accident de voiture. Elle se réfugie alors chez Betty qui va l’aider à retrouver sa mémoire ainsi que son identité. Ce film est récompensé du prix de la meilleure mise en scène au festival de Cannes, ex-aequo avec The Barber. Il remporte également le César du meilleur film étranger et le BAFTA du meilleur montage pour Mary Sweeney. Etats-Unis Kill Bill volume 1, Canal +, réa Quentin Tarantino, long métrage, fiction, 1 heure 46 minutes, public + 16 ans, VF Le jour de ses noces, une femme est laissée pour morte, au milieu de ses convives, morts. Quatre ans plus tard, elle sort du coma et décide de venger la mort de ses proches. Ce film remporte entre autres, le prix du public au festival international de films de Catalogne. Il est nominé aux Golden Globes et au BAFTA Awards. Brésil La Cité des hommes = Cidade dos homens, Mardi découverte, Canal +, réa Paulo Morelli, 1 heure 46 minutes, long métrage de fiction Acerola et Laranjinha, deux amis âgés de 18 ans, vivent dans les favelas de Rio de Janeiro. Ils voient une guerre des gangs éclater… En prolongement de la série du même nom, Paulo Morelli raconte les favelas, questionnant les problématiques de gangs, de violences. Ce film est nominé au Cinema Brazil Grand Prize Mauritanie, France Timbuktu, Coup de cœur, Canal +, réa Abderrahmane Sissako, Long métrage de fiction, 1 heure 31 minutes Des djihadistes imposent leurs lois dans un village non loin de Tombouctou. Face à eux, les habitants tentent de se rebeller mais les djihadistes imposent la charia et des sentences à ceux qui ne respecteraient pas leurs lois. Reçoit de nombreuses récompenses dont 7 prix aux Césars, le prix du jury du Festival de Cannes ainsi que le Globes de Cristal. Etats-Unis The Revenant, Canal +, réa Alejandro Gonzalez Inarritu, long métrage, fiction, 2 h27 min, VF Résumé producteur [Source iMedia] Au debut du XIXe siècle, un trappeur, attaqué par un ours et affaibli par ses blessures, parcourt 300 kilomètres pour retrouver l’assassin de son fils. Au début du XIXe siècle, Hugh Glass, un trappeur accompagné par son fils, un Indien métis, guide des colons. Le convoi est attaqué par des Indiens et tente de leur échapper par les montagnes. Grièvement blessé par un ours, Glass est confié à John Fitzgerald, qui le déteste, et au jeune et innocent Jim Bridger. Fitzgerald tue le fils de Glass, ment à Bridger et le convainc d’enterrer le trappeur. Mais Glass parvient à s’extirper de sa tombe, bien décidé à retrouver celui qui lui a enlevé son fils. Affaibli par ses blessures, il peut compter sur sa soif de vengeance pour parcourir les 300 kilomètres qui le séparent de son pire ennemi… » Récompensé de divers prix dont 3 Golden Globes et 3 Oscars. France, Allemagne, Turquie, Qatar Mustang, Coup de cœur, Canal +, réa Deniz Gamze Ergüven Long métrage de fiction, 1 heure 33 minutes Résumé producteur [Source iMedia] Dans un village turc, cinq jeunes filles sont confrontées aux traditions rigoristes de leur entourage. Elles sont bientôt enfermées dans la maison familiale. C’est le dernier jour de l’année scolaire dans un village reculé de Turquie. Lale et ses quatre soeurs rentrent de cours et jouent à la plage avec des garçons. Mais leurs jeux innocents font grand bruit dans le village très conservateur et leur grand-mère, outrée par ce qu’elle estime être de l’impudeur, les sanctionne dès leur retour à la maison. Entre les jeunes filles et les adultes, c’est le début d’une confrontation faite d’incompréhension. Peu à peu, la maison familiale se transforme en prison pour les jeunes filles qui ne rêvent que de liberté et se rebellent contre les traditions… » Ce film remporte de nombreuses récompenses dont le prix Label Europea Cinema de la Quinzaine des réalisateurs, le duc d’or du meilleur film au festival international de films d’Odessa, 4 prix Lumières, 4 Césars. Royaume Uni, France Moi, Daniel Blake, Canal +, réa Ken Loach, long métrage, fiction, 1 heure 36 minutes, VF Résumé producteur [Source iMedia] Alors qu’il se bat pour avoir une allocation, un menuisier de 60 ans, cardiaque, croise la route d’une mère de deux enfants qui peine à survivre. Atteint d’une maladie cardiaque, Daniel Blake, menuisier, ne peut plus travailler. Or, l’administration ne l’entend pas de cette oreille il doit rechercher un emploi sous peine de sanction. Alors que, âgé de 59 ans, il doit apprendre à se débrouiller avec un ordinateur pour faire ses démarches, il croise le chemin de Katie, une femme célibataire mère de deux enfants. Elle a dû quitter sa ville natale pour ne pas être placée dans un foyer d’accueil. Ensemble, ils vont se serrer les coudes. Daniel finit par décrocher un emploi mais doit renoncer à cause de ses problèmes de santé. Il engage alors une bataille contre l’administration et ses aberrations… » Récompensé de la Palme d’Or au festival de Cannes, ainsi que du César pour le meilleur film étranger et 4 BAFTA Corée du sud Mademoiselle, Canal +, réa Park Chan-Wook, long métrage de fiction, 2 heures 16 minutes Dans les années 1930, en Corée, une femme riche vit recluse dans un manoir avec son oncle tyrannique. Un escroc qu’on nomme le Comte » engage une pickpocket qu’il place comme servante chez la riche femme. Remporte le prix Vulcain de l’artiste technicien à la Compétition officielle du Festival de Cannes, pour Ryu Seong-hie, directeur artistique et le Boston Online Film Critics Association Awards pour le meilleur film en langue étrangère, parmi d’autres prix. Sources écrites L’année du cinéma, aut Isabelle Danel, aut Danièle Heymann, aut Pierre Murat, édition Calmann-Lévy, livre illustré de photos, 253 pages Collection qui recense entre 1977 et 2004 les films sortis à l’année. Exemple L’année du cinéma 2000 » ; L’année du cinéma 1983 » etc. Des chapitres sont consacrés au films phares » et aux festivals. Pendant les travaux, le cinéma reste ouvert, Thierry Jousse, Cahiers du cinéma, Edition de l’étoile, 2003, 248 pages, Résumé éditeur L’ambition de ce livre est de tracer le portrait d’un moment clé du cinéma, les années 90, où les mutations économiques, esthétiques, technologiques ont obligé le cinéma à s’interroger sur lui-même et à penser son avenir sur fond de prolifération d’autres images. Ce livre s’ouvre sur une réinterprétation de la Nouvelle Vague, période qui a façonné l’auteur dans ses racines de spectateur de cinéma , et s’achève sur les interrogations les plus contemporaines autour de l’image, du côté des événements du 11 septembre 2002 et de la télé réalité. Entre les deux, le livre suit l’évolution du cinéma français contemporain et ses auteurs importants Brisseau, Desplechin, Claire Denis, Catherine Breillat…, explore certaines voies majeures du cinéma européen Monteiro, Lars von Trier, Kusturica…, analyse la vision contemporaine de l’œuvre de grands cinéastes modernes Nicholas Ray, Antonioni, Bunuel, Eastwood, Debord…, évoque l’irruption du cinéma asiatique Kitano, WongKar wai, Hou Hsiao hsien…, les métamorphoses du cinéma américain Kubrick, Lynch, Tim Burton, les frères Coen, Jarmusch… et s’arrête sur l’éclatement du cinéma touché par le clip, les séries TV, les nouveaux modes de consommation de l’image avec quelques paris pour l’avenir … Le cinéma français face aux genres, auteurs Jean Pierre Esquenazi , Christophe Gauthier, Laurent le Forestier, Jacqueline Nacache, Laurence Schifano, Geneviève Sellier, Pierre Sorlin, Guillaume Soulez, Francis Vanoye, Laurent Véray, Ginette Vincendeau, Raphaëlle Moine, Presses de l’AFHRC, 2005, 319 pages Ce livre préfacé par Michel Marie questionne la place du cinéma français dans le genre. Il s’agit de construire une nouvelle approche du cinéma français à travers une analyse générique. CLOSE UP SUR LES THÉMATIQUES Cinéma et arts A la télévision Les Peintres et le cinéma, Un certain regard, 1ère chaine, pro Jean Loup Ferrier, pro Monique Lepeuve, série documentaire, 33 minutes Une émission qui questionne les liens entre la peinture et le phénomène cinématographique à travers des interviews de différents peintres que sont Max Ernst, Salvador Dali, Fernand Léger ainsi que deux peintres devenus cinéastes Robert Lapoujade et Robert Bresson. Ces interviews alternent avec des vues de peintures, des collages, et des extraits de films. Le Mystère Picasso, ARTE, réa Henri Georges Clouzot, long métrage documentaire, 1 heure 14 minutes Résumé producteur Pour savoir ce qui se passe dans la tête d’un peintre, il suffit de suivre sa main.” Suivre la main du peintre, c’est la démarche choisie par Henri-Georges Clouzot pour rendre compte de l’oeuvre de Pablo Picasso. En 1955, Picasso se prête au jeu de Clouzot la caméra le filme alors qu’il peint au gré de son inspiration. Mais, la main de l’artiste est invisible. Placée derrière le chevalet, la caméra filme par transparence. Comme par magie, les traits, les formes, les personnages apparaissent progressivement à l’écran. Les esquisses se succèdent, d’abord à l’encre noire, puis en couleur, le tout orchestré par des musiques de Georges Auric. … » Cinéma Our city dreams de Chiara Clemente], Culture, France 24, reportage, 3 min Reportage sur le film Our city dreams de Chiara Clemente. Documentaire qui s’intéresse aux femmes artistes à New York. Renoir, une histoire de famille, Entrée libre [émission du 16 novembre 2018], France 5, jou Killian Mourcou, reportage, 5 minutes Reportage consacré à l’exposition Renoir, père et fils. Peinture et cinéma qui a lieu au Musée d’Orsay à Paris. Retour sur les parcours d’Auguste Renoir, peintre et son fils Jean Renoir, cinéaste, et, sur leur influence mutuelle. Jean Renoir a posé à de nombreuses reprises pour son père et épouse l’une de ses modèles, Catherine Hessling. Elle devient par la suite une actrice récurrente de ses films. Ce reportage analyse le parcours du cinéaste et les points communs entre ses œuvres et celles de son père. Commentaire sur images factuelles, iconographies et extraits de films en alternance avec les interviews de Sylvie Patry, commissaire de l’exposition et Matthieu Orlean, collaborateur artistique de la Cinémathèque française. La Passion Van Gogh Titre original Loving Vincent, Arte cinéma, ARTE, réa Dorota Kobiela, réa Hugh Welchman, long métrage d’animation, 1h29 minutes Ce long métrage qui retrace la vie de Van Gogh et mène une enquête concernant sa mort est réalisé uniquement avec une animation de toiles peintes à la fois par Van Gogh et par d’autres artistes qui se sont inspirés de l’esthétique du peintre. 120 tableaux de Van Gogh apparaissent dans ce long métrage. Résumé producteur [Source iMedia] Devant remettre une lettre au frère de Van Gogh qui vient de se suicider, le fils d’un facteur part à la découverte de l’oeuvre et des fêlures du peintre. Vincent van Gogh vient de se suicider. Avant de commettre son geste fatal, il a écrit une lettre à son frère Théo qu’il a remise au facteur Joseph Roulin. Celui-ci charge son fils Armand de livrer la missive. Jaloux de la relation entre son père et le peintre, le jeune homme renâcle à accomplir cette mission. A Paris, il ne parvient pas à retrouver Théo, anéanti par la disparition de son frère. Armand se rend à Auvers-sur-Oise, où Van Gogh a passé les derniers mois de sa vie, pour tenter de comprendre les tourments du génial artiste… A la radio Collection L’Art et la vie, Programme National, pro Georges Charensol, pro Jean Dalevèze 1948-1963, magazine, 25 minutes Collection de magazine de l’actualité des arts plastiques produite et présentée par Georges Charensol. L’émission est composée de plusieurs sujets, avec entretiens, reportages, chronique. Chaque séquence est séparée de la suivante par une plage musicale. Jean Dalevèze anime la chronique des expositions. Le magazine devient “L’Art vivant” en 1963 sur France Culture L’Art et la vie émission du 2 juillet 1948, pré Georges Charensol 20 minutes Emission sur l’actualité artistique présentée par Georges Charensol dans laquelle il est question du premier congrès du film sur l’art qui s’est tenu à Paris. Luciano Emmer, auteur italien d’un film sur Giotto explique sa conception d’un film sur l’art ; Henri Storck, réalisateur belge dit que la matière cinématographique vient avant la peinture ; un critique d’art dit que la technique de la critique d’art va évoluer avec les méthodes cinématographiques d’analyse d’une œuvre. Enfin, Gaston Diehl parle de la naissance de la fédération internationale du film sur l’art regroupant des réalisateurs et des conservateurs de musées. L’art et la vie émission du 21 septembre 1950, pré Jean Dalevèze, 25 minutes 157ème émission de ce magazine, ici consacrée aux fouilles archéologiques en France, à l’exposition d’horlogerie, aux films sur l’art et au nouveau musée arménien. Jean Dalevèze réunit pour un débat, entre autres, René Lucot qui parle de son film sur Bourdelle ; Robert Hessens qui parle de Van Gogh et Guernica avec Alain Resnais. Qu’est ce que l’art en 1969 ?, Heure de culture française, France Culture, pro Jean Jacques Lévêque, entretien, 28 minutes Jean-Jacques Lévêque s’entretient avec le peintre Charles Lapicque et le cinéaste François Reichenbach à propos des liens entre le cinéma et la peinture. Charles Lapicque s’exprime à propos des rapports du peintre au cinéma et dit également que la peinture est plus rapide que le cinéma pour représenter car elle n’a pas besoin de déroulement. François Reichenbach évoque les différences entre la peinture et le cinéma et dit de Lapicque qu’il est le plus cinématographique des peintres. Cinéma et peinture, Mardis du cinéma, France Culture, pro Jean-Pierre Pagliano, documentaire, 1h 30 minutes Résumé producteur Robert Bresson, peintre et cinéaste, définit le film comme une surface à couvrir et constate que “tout finit sur un rectangle de toile blanche suspendu à un mur”. Les relations qui unissent le cinéma et la peinture sont multiples. On évoquera la perfection plastique atteinte par le muet à son apogée, les références explicite du 7e Art aux écoles picturales, les biographies de peintres à l’écran les Van Gogh de Resnais, Minnelli, Altman et, bientôt, de Maurice Pialat ancien peintre lui aussi. De Man Ray et Fernand Léger à Christian Boltanski, les plasticiens des différentes avant-gardes ont aussi expérimenté par le film et aujourd’hui la vidéo. Quant aux techniques de l’animation synthèse du cinéma et des arts graphiques, elles ont permis à Len Lye et à Mc Laren de peindre et graver directement sur la pellicule, à Robert Lapoujade et à Yves Charnay de réaliser des peintures animées image par image. Tous ces thèmes seront abordés dans l’émission, qui privilégiera cependant un autre aspect de la question comment filmer la peinture ? Des réalisateurs de documentaires, des peintres et des spécialistes du film d’art analyseront ce genre cinématographique.» L’impressionnisme et la naissance du cinématographe, Peinture fraîche, France Culture, pro Jean Daive, magazine, 58 minutes Résumé producteur [Site Internet de France Culture] L’impressionnisme et la naissance du cinématographe. Cette exposition, à travers des comparaisons documentées sur les relations entre ces trois supports de création artistique peinture, photographie et cinéma se propose de mieux faire comprendre comment s’est construit un des arts majeurs de notre civilisation de l’image et de la communication. La dette du cinéma naissant vis-à-vis des partis techniques des peintres impressionnistes apparaît tout à fait évidente notamment à travers les œuvres de Claude Monet, Toulouse-Lautrec, Camille Pissarro ou Auguste Renoir, lui-même père de l’un des plus importants cinéastes français. » L’Art et le film 1ère émission, Surpris par la nuit, France Culture, pro Simone Douek, pro Alain Veinstein, 2 émissions, magazine, 1h15 minutes Émissions consacrées à l’art de filmer l’art, à ce que le cinéma a apporté à l’art et vice versa. Cette émission est composée de récits de réalisateurs concernant leurs manières de filmer, mais aussi d’analyses de théoriciens qui questionnent comment certains artistes sont devenus, par exemple, des cinéastes expérimentaux. La première partie est consacrée à l’art de filmer les artistes. François Levy-Kuentz parle de la réalisation de son film sur Calder, Gisèle Breteau Skira commente le film Henri Matisse de François Campaux, Alain Bergala et Alain Fleisher parlent de l’apport du cinéma à la peinture… Peinture et cinéma, Projection privée, France Culture, pro Michel Ciment, 1h Emission présentée par Michel Ciment, consacrée aux rapports entre peinture et cinéma. 4 écrivains sont invités Laurent Darbellay auteur de Luchino Visconti et la peinture. Les effets picturaux de l’image cinématographique ; Joëlle Moulin, autrice de Cinéma et peinture et Biographie de peintres à l’écran et enfin Alain Bonfand pour Le cinéma saturé. Essai sur les relations de la peinture et des images en mouvement. Les invités expliquent le point de départ et le développement de leur thèse sur l’étude de la relation entre peinture et cinéma. Dans les sources écrites La Revue du cinéma [automne 1949], numéro 19/20, dir. de publication Robert Aron, Jean Georges Auriol, Denise Tual, Article d’André Bazin le Cinéma et la peinture », à propos de Van Gogh et Rubens. Cette étude de Bazin sur les liens entre cinéma et peinture paraît dans Qu’est ce que le cinéma d’André Bazin en 2002 avec un chapitre intitulé Peinture et cinéma ». Trucages et effets spéciaux au cinéma A la télévision Fantastique et cinéma, Estivales, FR3, réa Marielle Larriaga, réa Bernard Vasseur 55 minutes Emission qui tente de définir ce qu’est le fantastique au cinéma. Composée d’interviews de critiques, metteurs en scène, réalisateurs David Lynch, Cronenberg, Verhoeven, Alan Parker et bien d’autres et d’extraits de films fantastiques, cette émission se propose d’étudier la partie inconsciente de l’imaginaire transcrite sur grand écran. Phil Tippett, génie des effets spéciaux, Tracks, ARTE, 8 minutes Reportage consacré à Phil Tippett, grand spécialiste des effets spéciaux qui s’est fait connaître pour avoir fait le stop motion dans Star Wars, et l’un des précurseur du Go motion. A partir de l’interview de Phil Tippett, l’émission retrace l’évolution des effets numériques, du stop motion vers le go motion, à partir des extraits de divers films. Les Robots au cinéma, Ciné star, TF1, réa Pierre Desfons, pré Michel Denisot, 1h4 minutes Michel Denisot présente un magazine consacré aux robots mais surtout à celui du film de Robocop. Jacques Gastineau, réalisateur d’effets spéciaux montre un robot gorille télécommandé en action et explique sa fabrication. Différents cinéastes sont interviewés dont Paul Verhoeven et Phill Tippett. D’autres cinéastes encore viennent présenter leur machines et certaines analyses d’extraits sont faites sur quelques films présentés au festival d’Avoriaz A la radio Robots et androïdes, Ciné club, France Culture, Françoise Estebe, 1h25 min Résumé producteur De tout temps, dans ses phantasmes démiurgiques, l’homme a rêvé de reproduire les mécanismes du vivant, d’animer des créatures artificielles, voire de recréer la vie même. La magie du cinéma a enfanté sa cosmologie où se croisent robots, androïdes, pantins articulés, dinosaures, automates, hommes-machines, extraterrestres… Utilisant trucages, maquettes articulées, effets spéciaux et aujourd’hui images de synthèse, le cinéma fantastique suit l’évolution de la science et des techniques jusqu’aux développements actuels de la génétique et de la robotique. Avec Philippe-Alain Michaud, responsable de la programmation du cycle de films “Ex Machina, la fabrique des corps animés” au printemps dernier à l’auditorium du Louvre ; Jackie Borne, journaliste à France 2. » Les Effets spéciaux, La Tête au carré, France Inter, pro Mathieu Vidard, 54 minutes Réjane Hamus-Vallée, maître de conférence en sociologie visuelle, spécialiste des effets spéciaux et Julien Pettre, chercheur en informatique et en sciences du numérique à l’INRIA sont interviewés. Emission consacrée à l’exposition Effets spéciaux, crevez l’écran ! », exposition consacrée à comprendre les effets spéciaux, explication de ce qu’est la performance capture, le fond vert etc … Effets spéciaux numériques capturez-les tous !, La Méthode scientifique, France Culture, pro Nicolas Martin, 59 minutes Pascal Pinteau et Christophe Guillon, spécialistes des effets spéciaux viennent expliquer les trucages et effets spéciaux, mais surtout le trucage numérique et comment il est devenu omniprésent dans la superproduction. Dans les sources écrites Trucages et effets spéciaux au cinéma, Alan Mc Kenzie et Derek Ware, 1987, livre illustré de photos 167 pages Résumé éditeur … sans les trucages et les effets spéciaux, Hollywood ne serait pas tout à fait ce qu’il est une formidable usine à sensations qui, depuis les débuts du cinéma, fait palpiter le coeur des publics les plus divers. Films catastrophes ou de science-fiction, films de guerre, thrillers ou peplums tous font appel aux trucages. Effets spéciaux, cascades, maquillages sont devenus indispensables aux réalisateurs à succès, comme en attestent E. T. l’extra-terrestre, Indiana Jones et le temple maudit ou La Guerre des étoiles. Pour la première fois, ce livre place en haut de l’affiche cascadeurs et maquilleurs, décorateurs et réalisateurs de deuxième équipe, les Keystone Cops de Mack Sennett, Yakima Canutt, Ralph Hammeras, Rob Bottin, Carlo Rambaldi… ces hommes de la production qui ont permis au septième art de réaliser l’impossible. … Effets spéciaux 2, Fonds Jean Jacques Ledos, numéro 11, Jean Jacques Ledos, versement en 2010, Archives écrites Unité regroupant divers documents réunis par Jean Jacques Ledos pour les besoins d’une recherche sur l’évolution des effets spéciaux au cinéma et à la télévision. Cinéma d’animation Histoires d’images 1987 – Animation [1ère partie], Prix Pixel-INA. Montages spécifiques, Imagina 1987, Divers fonds vidéo, 1h57 min Première partie de la compilation Histoires d’images 1987 – Animation, qui présente des courts métrages d’animation en montrant différentes techniques d’animation. Cette compilation a été réalisée et produite par l’INA et projetée lors du festival Imagina de 1987. Le programme Histoires d’images 1987 est composé de trois thèmes Texture, Animation et Métamorphoses, chaque thème ayant donné lieu à une compilation de courts métrages en images de synthèse ou en animation traditionnelle. Cinéma, French touch, MCM, réa Véronique Trouillet, 48 minutes Un reportage qui tente de définir ce qu’est la french touch en comparant les productions françaises et états-uniennes de films d’animation. Résumé producteur [Source iMedia] Une enquête entre la France et les Etats-Unis, avec les interviews de Moebius, Pitof, Jean-Jacques Annaud et les Français des studios ILM et Dreamworks. » Les Enfants de Méliès, MCM, réa Marc Tiphaine, documentaire, 1 heure Résumé producteur [Source iMedia] Gros plan sur les technologies nouvelles et les effets spéciaux qui transforment l’économie du cinéma. » Zoom Les Gobelins, Court circuit le magazine, Court Circuit n°358, ARTE, jou Frédéric Temps, jou Fédérico Vitali, Reportage consacré à la formation au cinéma d’animation de l’école des Gobelins, à Paris. Les responsables insistent sur la nécessaire ouverture professionnelle de l’animation. Des extraits de films d’animation Chronos 10 ; Burning safari ; Anima Facta Est ; Voodoo ; Cocotte minute alternent avec les interviews de Marie France Zumofen, responsable du département animation ; Eric Riewer, responsable des relations internationales ; Fred Nagorny, enseignant en cinéma d’animation ; Ludovic Bouancheau, étudiant promo 2007. Le voyage de Chihiro , Canal + Family, réa Hayao Miyazaki, 2 heures, long métrage de fiction Résumé producteur [Source iMedia] Une petite fille, dont les parents ont été changés en cochons, doit accomplir certaines tâches afin de leur faire retrouver une apparence humaine. La petite Chihiro accompagne ses parents dans une promenade sylvestre qui doit les conduire vers leur nouvelle maison en banlieue. Mais, alors qu’elle prend un raccourci à travers un tunnel peu emprunté, la petite famille se retrouve soudain en territoire inconnu. Le temps de retrouver leur chemin, ils font une halte dans un gigantesque restaurant en plein air, totalement déserté. Affamés, les parents de Chihiro commencent à goûter les plats proposés dans les diverses échoppes, ce que la jeune fille, intimidée par le lieu, se refuse à faire. Hypnotisés par les plats succulents, ses parents s’empiffrent à une vitesse inquiétante avant de se changer, sous les yeux d’une Chihiro horrifiée, en énormes cochons… » L’Ambouba, Sud, côté court, TV5MONDE, réa Nadia Rais, Court métrage, animation, 10 minutes Ce court métrage tunisien questionne l’oubli et le rapport que l’on a à l’amnésie et au temps. Making of Le crépuscule, Court circuit le magazine, n°360, ARTE, jou Antoine Voituriez, reportage, 5 minutes Résumé producteur [Source site internet d’ARTE] Retour sur l’étonnante fabrication de ce film, avec Nicolas Pasquet, l’un des 4 réalisateurs de Nobrain. Nobrain est un collectif de réalisateurs réputés pour leur capacité à mélanger les techniques. En pleine phase de bruitage et de post-synchronisation, Nicolas Pasquet, l’un des 4 réalisateurs du film, évoque leur processus de fabrication complexe. Miniyamba walking blues, ARTE, réa Luc Perez, 13 minutes, court-métrage d’animation Résumé producteur [Source iMedia] Du fleuve Niger aux barbelés de l’enclave de Ceuta, les rêves d’un jeune malien se confrontent à la dure réalité des migrants. » Coup de coeur [Ma Vie de courgette], Canal +, jou Laurie Cholewa, 4 minutes Le réalisateur de Ma Vie de courgette, Claude Barras et la scénariste de ce film d’animation Céline Sciamma s’entretiennent avec Laurie Cholewa au sujet du scénario et des techniques d’animation de Ma vie de Courgette. Leurs interviews sont entrecoupées d’extraits du film. Ma Vie de Courgette, Canal +, réa Claude Barras, long métrage de fiction, 1 heure Icare préfère qu’on l’appelle Courgette. Il n’a plus de parents et se retrouve dans un foyer avec des enfants qui ont eût un parcours difficile. Ensemble, ils vont trouver goût à la vie et voir les choses autrement, et, ce n’est pas sans compter l’arrivée de la petite Camille dont Courgette va tomber amoureux… L’enfance au cinéma Festivals Cannes, FESPACO, FIFF, Festival d’Annecy, Festival premiers plans Angers 1952-1967 Reflets de Cannes, 1ère chaine, pré François Chalais, 1952-1967, entretien, reportage, 18 minutes De 1953 à 1968, François Chalais a suivi le Festival International du film de Cannes. Au fil des années, l’émission s’organise et dispose de moyens plus importants. Le studio d’enregistrement où François Chalais reçoit comédiens et réalisateurs est installé dans la réserve de l’Hôtel Miramar. Dans ses premières années Reflets de Cannes est une chronique quotidienne du Festival, puis elle passe d’une moyenne de six émissions en 1957 à une seule et dernière émission en 1967. 1954 Ouverture du festival du cinéma à Cannes, Journal Les Actualités Françaises, 54-14 Rubrique “La semaine” presse filmée, 45 minutes Reportage consacré à l’ouverture du 7ème Festival international du film avec des images de nombreuses vedettes sur la Croisette ou lors de la montée des marches du palais Robert Mitchum, Edwige Feuillère, Jean Pierre Aumont, Michèle Morgan et Jean Cocteau. 1984 Cannes 84 le palmarès du 37ème festival, Antenne 2, Pierre Tchernia, 26 minutes Pierre Tchernia présente cette cérémonie présidée par Dirk Bogarde, et intégralement retransmise en eurovision Helen Mirren, absente, obtient le prix de la meilleure interprétation féminine pour Cal de Pat O’ Connor qui reçoit le prix à sa place ; Nathalie Baye remet un double Prix d’interprétation masculine à Alfredo Landa et Francisco Rabal pour Les Saints innocents ; Faye Dunaway remet la Palme d’Or à Wim Wenders pour Paris Texas. Si Cannes m’était conté, La soirée du cinquantième anniversaire, Canal +, réa Jean Pierre Devilliers, documentaire, 28 minutes Ce documentaire raconte les 50 années du Festival de Cannes en démarrant sur un extrait du film Gilda avec Rita Hayworth. Le premier festival a eu lieu en 1946, les suivants ont été annulés en raison de la guerre. Les années 50 sont représentatives de l’époque “glamour” du festival, les années 60 de la Nouvelle vague » et des cinéastes français, de jean Pierre Léaud, François Truffaut, Jacques Demy. Le festival est annulé lors de l’année 68 en raison des évènements politiques de mai 68, quant aux années 70, La Grande bouffe provoque un scandale. Les années 80 marquent le début de la surmédiatisation et de la starisation du festival mais elles sont aussi la récompense de talents américains comme Scorcese ou Coppola. Enfin, le documentaire présente les dernières palmes des années 90 et montre Jane Campion, première femme à avoir reçu la Palme d’or. Festival Cannes 39, Kinorama, ARTE, réa Daniel Coche, Magazine, 4 minutes Rétrospective à base d’archives et de photos d’archives et d’extraits de films sur le premier festival de Cannes qui devait s’ouvrir le 1er septembre 1939 mais qui fût annulé à cause de la déclaration de la guerre. Voir aussi Cannes 1939 le festival n’aura pas lieu, France 5, réa Julien Ouguergouz, documentaire, 52 minutes Le Journal du Festival, Canal +, 1995-2018, réa Antoine Slodre, magazine, 5-20 minutes Magazine composite à structure variable consacré à l’actualité du Festival international du Film de Cannes et présentant les films en compétition. Cette émission a pour but de rendre compte de l’atmosphère générale du festival ainsi que du déroulement des projections et des impressions suscitées par les films. A la radio Petit festival de Cannes, France Inter, pro Jean Chérasse, pré Richard Dembo, 1971, Interview, 10-15 minutes Interviews au sujet d’un film diffusé à Cannes, on demande au réalisateur de présenter son film. Le Festival empêché Cannes septembre 1939, La Marche de l’histoire, France Inter, Jean Lebrun, documentaire, 27 minutes Résumé producteur [Source site internet de France Inter] Dans le bunker de Cannes qui a été baptisé Palais des Festivals, une plaque a été vissée dans le béton – puis assez vite escamotée, d’ailleurs Jean Zay y était honoré comme le créateur du Festival international du film. Le ministre, rescapé en 1939 de l’équipe du Front populaire de 1936, avait mené l’affaire à marches forcées. Il s’agissait de contrer la Mostra de Venise qui, de rendez-vous international du cinéma, devenait un outil pour Goebbels et, après les funestes accords de Munich, de mener face à l’Axe, par la culture, une diplomatie enfin offensive. … Cannes 39, festival antifasciste, s’annonçait aussi comme une vitrine pour le cinéma US qui fournissait le tiers de la sélection. … La municipalité et les hôteliers de Cannes se réjouissaient de pouvoir prolonger leur saison d’été cette première édition était prévue pour le début de septembre. La déclaration de guerre l’empêcha d’avoir lieu. Alors, un festival avorté ? Plutôt un festival ajourné puisque, comme pour beaucoup d’idées de Jean Zay, la réalisation vint après la Libération. » 60 ans du festival de Cannes, 2000 ans d’histoire, France inter, pro Patrice Gélinet, 28 min Patrice Gelinet reçoit Jean Olle Laprune, spécialiste et historien du cinéma français, et fondateur de la chaîne Cinéclassic, à propos du 60ème Festival de Cannes. Leur entretien est illustré de sons d’archives. Fespaco, Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou A la télévision Fespaco, Espace francophone le magazine télévisé de la francophonie, France 3, réa Issouf Ouedraogo, 19 minutes Le FESPACO est l’occasion de présenter des films africains, et montrant les relations culturelles et économiques panafricaines. Différents cinéastes comme Souleymane Cisse, Gaston Kabore ou Merzak Allouache viennent expliquer leurs démarches et leurs films. Le Film arabe à Ouaga, France 3, Mona Makki, 26 minutes A Ouagadougou s’est tenue la 22ème édition du festival du film africain FESPACO. La programmation a fait grand place aux productions des pays arabes et plus particulièrement du Maghreb et de l’Egypte, annonciatrices des mouvements de révoltes qui eurent lieu au printemps. En alternance des commentaires sur images et extraits de films avec les interviews des cinéastes suivants Abdelkrim Bahloul, Daoud Aoulad Syad, Iman Kamel, Férid Boughedir et Mohamed Moufkatir. Résumé producteur [Source iMedia] Le cinéma égyptien et maghrébin a été largement représenté lors de la 22e édition du Festival du film africain qui s’est déroulé du 26 février au 5 mars 2011 à Ouagadougou, au Burkina Faso. Une dizaine de documentaires, courts et longs métrages attestent des prémices des bouleversements politiques et sociaux qui transforment le monde arabe. » Ouaga fait son cinéma, Espace francophone, France 3, réa Mona Makki, 25 minutes Résumé producteur [Source iMedia] Depuis près d’un demi-siècle, Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, accueille tous les deux ans le plus grand festival du film africain, le FESPACO. Le comédien Oyou, vedette de séries africaines, propose une visite de l’événement. » L’œil du cyclone, TV5MONDE, réa Sekou Traoré, long métrage fiction, 1h 43 minutes Étalon de bronze à la 24ème édition du FESPACO, en 2015 Résumé producteur [Source iMedia] Dans la capitale d’un pays africain, une avocate est chargée d’éviter la peine de mort à son client, un chef rebelle. Dans la capitale d’un pays africain, Blackshouam attend son procès. En prison, il ne cesse de subir de mauvais traitements ce qui révolte Maître Emma Tou, chargée de lui épargner la peine capitale que les autorités et l’opinion lui promettent. Par crainte et sur la demande de ses parents, elle avait d’abord refusé de défendre ce criminel de guerre, lieutenant du Front de libération et responsable de la mort de milliers de personnes, de pillages, de viols et autres exactions. Mais, elle découvre que son client a lui-même été enrôlé en tant que soldat quand il était enfant… » A la radio Ouagadougou fait son cinéma petit journal du fespaco, Nuits magnétiques, France Culture, pro Caroline Bourguine, pro Pierre Goëtschel, pro Colette Fellous, mai 1995, documentaire, 1h 18 minutes, 2 émissions Actualités du festival du FESPACO, ambiance du festival, extraits de films et extraits de discours. Spécial 25ème Fespaco, Tous les cinémas du monde, Radio France Internationale, pro Elisabeth Lequeret, pro Sophie Torlotin, magazine, 50 minutes L’émission est consacrée au festival du cinéma FESPACO qui se déroule à Ouagadougou Burkina Faso. Il réunit des films de cinéma, de télévision, des courts-métrages, des séries, etc. Dans la première partie de l’émission, les journalistes s’entretiennent avec Alain Gomis dont le film Félicité est en compétition et avec Daouda Coulibaly pour son film Wùlu, également en compétition. Dans la deuxième partie de l’émission, il est question des vingt films en compétition pour cette 25ème édition. Festival international du Film de femmes de Créteil Photo Agnieszka Holland Les Leçons de cinéma, Fonds Festival International de Films de Femmes, Divers fonds vidéo, Jackie Buet, depuis – entretiens Jackie Buet, directrice du Festival International du Film de Femmes interview des professionnelles du cinéma, à l’occasion du FIFF de Créteil qui a lieu tous les ans depuis 1979. Ces entretiens permettent de mettre en mémoire différents parcours de cinéastes et questionnent l’existence ou non d’un cinéma de femmes », Résumé producteur [Source jaquette DVD “Les Leçons de cinéma -1”] inaugurées en 1998, les “Lecons de cinéma” permettent une rencontre privilégiée avec des réalisatrices. En petit comité, dans l’ambiance feutrée d’un studio spécialement aménagé, les réalisatrices invitées au Festival International de Films de Femmes de Créteil disposent d’un libre temps de parole pour s’exprimer sur leur cinéma. D’où l’idée de leur poser trois questions essentielles, afin de cerner ce qui est important pour elles, ce qu’elles regardent et ce qu’elles “fixent” sur la pellicule. . Pouvez-vous nous parler de votre parcours et de votre rencontre avec le cinéma ? . Avez-vous une formation cinématographique, ou êtes-vous arrivée au cinéma par d’autres chemins ? . Pouvez-vous nous décrire votre méthode de travail, votre manière de faire du cinéma ? » Invisible, ARTE, réa Aviad Michal, long métrage de fiction, 1h 28 minutes Résumé producteur [Source iMedia] Le parcours de reconstruction de deux femmes, victimes d’un même violeur, est émaillé de scènes de confrontation entre soldats israéliens et palestiniens. Nira, monteuse à la télévision et mère célibataire, et Lily, une militante de gauche qui aide les Palestiniens à la cueillette des olives, victimes d’un même violeur en série il y a vingt ans, se rencontrent par hasard. Ensemble, elles tentent d’exorciser leur peur. Leur parcours difficile est émaillé de scènes de confrontation entre soldats israéliens et palestiniens… » Grand Prix du jury en 2012 Te doy mis ojos, titre français Ne dis rien, Canal +, réa Iciar Bollain, fiction, long métrage Au sujet du combat d’une femme pour sortir de la violence conjugale. Grand prix du jury en 2004 A la radio Qu’est-ce donc qu’un film de femme ?, Le Petit salon, France Culture, pro Lucile Commeaux, 11 minutes Résumé producteur [Source site internet France Culture] Alors que va se tenir à Créteil la 39e édition du Festival International du Film de Femmes à quoi donc correspond une telle dénomination ? Un festival qui se tient après la sortie de divers rapports en ce début d’années 2017, concernant la condition féminine dans le milieu du cinéma, et notamment un rapport du Centre National du Cinéma paru le 23 février dernier…. Il montre une évolution en faveur de la parité et de l’égalité, mais qui reste largement insatisfaisante. Surtout il donne indirectement des informations sur ce qu’on appelle un “film de femme”. C’est d’abord dans l’esprit de beaucoup un film réalisé par une femme, c’est d’ailleurs le sens du Festival de Créteil qui affirme dans sa charte “favoriser un cinéma réalisé par des femmes”.… Un “film de femme” c’est encore un film moins vu, peu de films réalisés par des femmes dépassent le million d’entrées. … Dernière hypothèse, sans doute la plus problématique mais en même temps la plus intéressante, est-ce qu’un “film de femme” est un film sur les femmes, ou encore autre chose un film féminin, est-ce qu’il possède dans sa manière, dans les thèmes qu’il aborde, quelque chose de genré. Là on touche à des questions délicates et esthétiques … que le Festival de Créteil assume tout à fait, j’ai l’impression qu’il faut entendre dans son titre toute la polysémie de l’expression “film de femme”. … » Festival d’Annecy A la télévision Le Festival d Annecy 1979, Cinémania, Antenne 2, réa Gabriel Cotto, 30 minutes Différents extraits de films du festival d’animation d’Annecy sont montrés et des réalisateurs parlent de leurs films, expliquant la difficulté du cinéma d’animation à se déployer à cette période. Ils montrent aussi de manière technique comment ils procèdent pour animer. Spécial Festival d’Annecy [1ère partie], Mickrociné, Canal + Cinéma, 30 minutes Émission consacrée à trois courts métrages Jeu de l’inconscient titre original Subconscious Password de Chris Landreth, un court métrage canadien qui propose un parcours dans la mémoire du personnage. Ce court métrage reçoit le Cristal d’or du meilleur court métrage à Annecy en 2013. Le deuxième court métrage, Tempête sur anorak de Paul Cabon, est un court métrage français dans lequel des scientifiques sont pris dans une tempête sur les côtes bretonnes. Enfin, L’étrange disparition de monsieur Walter Werner de Caroline Murrell, un autre court métrage français traitant du dédoublement de la personnalité. Image Tempête sur anorak de Paul Cabon A la radio Projection privée, France Culture, pro Michel Ciment, magazine, entretien, 40 minutes Michel Ciment s’entretien avec Jean-Luc Xiberras, le délégué général du Festival de Cinéma d’Animation d’Annecy. Ils discutent de l’histoire du festival d’Annecy qui est issu des Journées du Cinéma d’animation du Festival de Cannes, ils expliquent les différentes sections du festival, l’organisation de la sélection, le marché du film d’animation. Ils évoquent également le cinéaste japonais Hayao Miyasaki dont le film Porco Rosso était présenté. Projection privée, France Culture, pro Michel Ciment, magazine, entretien, 40 minutes A l’occasion du festival du cinéma d’animation d’Annecy, Michel Ciment s’entretient avec deux cinéastes d’animation qui ont été primés lors de ce festival Michel Ocelot, pour sa série Le Manteau de la vieille dame et Jacques Colombat pour son long métrage Robinson et compagnie. Ils parlent de leur formation respective, des raisons pour lesquelles ils sont devenus cinéastes d’animation et leurs projets à venir. Ils commentent également la situation du cinéma d’animation en France, le fait qu’il y ait peu de production de courts et longs métrages d’animation mais qu’un débouché soit possible par le biais de la série télévisée. Festival Premiers plans, Angers Spécial Premier Plan d’Angers, Court circuit, ARTE, réa Jérôme Barthélémy, réa Daniel Sauvage, 57 minutes Emission consacrée à la 31ème édition du festival d’Angers, Festival Premiers Plans qui avait lieu du 25 janvier 2019 au 3 février 2019. À cette occasion, Court Circuit diffuse trois courts métrages qui ont été diffusés Beautiful Looser de Maxime Roy, Bloomstreet 11 de Nienke Deutz et Vilaine fille de Ayce Kartal, en alternance avec des interviews de réalisateurs. Les Frères Dardenne, Les masterclasses, France Culture, pro Arnaud Laporte, 59 minutes Résumé producteur [Source site internet de France Culture] Les Frères Dardenne “On croit beaucoup aux vertus de la répétition car plus on répète plus on s’oublie, on laisse de la place aux personnages”. Lors de cette Masterclasse enregistrée au festival Premiers Plans d’Angers, les réalisateurs et producteurs Jean-Pierre et Luc Dardenne reviennent sur leurs pratiques de cinéma, partant de l’idée initiale à la sortie de leurs œuvres en salle. … » Bandes annonces de films A la télévision Les Films du dimanche, 1ère chaine, pré François Chalais, 1953-1956 Brève présentation sous forme de bancs-titres du ou des films programmés le dimanche après-midi et soirée. Des photographies et des dessins peuvent illustrer le thème du film. Les Accords du Diable, La Cinq, pré Catherine Falgayrac, 1988-1989, bande annonce, 5 minutes Brève présentation du film d’horreur hebdomadaire Cinésix 1999-2017, M6, bande annonce – magazine, 7 minutes Court magazine qui présente les films et leur bande annonce sous un œil critique. Mercredi C sorties, France 3, réa Jean Christophe Chapotot, réa Antoine Heidler, 2004-2010 magazine, bande annonce, 6 minutes Ce magazine hebdomadaire de format court sans plateaux est programmé le mercredi, jour des sorties cinématographiques. Il présente les bandes annonces d’une sélection de films diffusés en France. Avis de sorties, 2005-2020, France 5, red Donatella Lombardini, magazine, 7 minutes Magazine court hebdomadaire présentant en voix-off les sorties cinéma de la semaine y compris les reprises. Ce magazine présente surtout les sorties françaises et européennes La BA de François, Canal +, François Berland, bande annonce, 2 minutes En voix off est présentée une bande annonce du film qui va être diffusé juste après, dans l’hebdo cinéma de Canal + Ciné sorties de la semaine, France 2, red Nicolas Rieux, 2018-2020, magazine, bande annonce, 7 minutes Magazine cinématographique consacré à la sortie en salle des nouveaux films. Dans les sources écrites Les bandes annonces de films sur notre écran quotidien, mémoire, Natacha Nunge, DR Guillaume Soulez, 2001, 115 pages Mémoire sur la bande annonce sous la direction de Guillaume Soulez ayant pour problématique “quelle est la part des promesses des chaînes dans les bandes annonces de films diffusés à la télévision par comparaison avec les bandes annonces de cinéma ?” Les films annonces de fiction sémiotique d’un discours médiatique, thèse, Sylvie Perineau, DR Jacques Fontanille, 2007, 348 pages Résumé éditeur Ce travail interroge le film-annonce de film de fiction comme genre paratextuel du discours promotionnel. Le film-annonce allie une visée paratextuelle consistant à présenter et à représenter le film à des ambitions pragmatiques tournées vers la plus grande efficience possible. Si, par ses modes de captation, sa tendance à l’hyperbole et au spectaculaire ou encore par ses recours habituels au discours épidictique, aux promesses et à l’ethos, le genre ne diffère guère des autres formes médiatiques de la communication promotionnelle, c’est en tant que paratexte qu’il se singularise. À partir d’une rhétorique constitutive créant des écarts par rapport au film, le film-annonce s’assume comme forme médiatique programmatique communiquant le film. … Musique et cinéma à la radio Musique et cinéma, France Culture 1971-1972 Série documentaire composée d’entretiens, d’interprétations musicales et d’archives explorant les relations entre musique et cinéma autour de thèmes ou figures différentes L’Iran 16/11/1971, Maurice Thiriet 23/11/1971, Jacques Ibert 08/02/1972, etc. Visconti, la passion de la musique, France Culture 1981, 5 documents Série documentaire en cinq épisodes, produite par Martine Cadieu et Francis Rousseau, réalisée à base d’archives et consacrée à Visconti et à la relation entre ses films et la musique, aux influences lyriques du cinéastes etc. Le Jazz du cinéma, France Culture 1995, 25 documents Série documentaire produite par Yvan Amar et Gérard Tourtrol, explorant, à partir d’archives, les rapports entre le jazz et le cinéma. Thèmes Les Musiciens à l’écran , Films noirs, suspense et tension , La Musique comme personnage, Les Burlesques, etc. Opus, France Culture 1988-1999, 15 documents liés au cinéma Série documentaire consacrée à l’univers musical et réalisée à base d’extraits de disques et d’archives. Certains thèmes relient la musique au cinéma Marcel L’Herbier et la musique 16/01/1988, Jean Wiener 28/04/1990, Lalo Schifrin 21/07/1990, Georges Delerue 04/01/1992, etc. Carnet de notes, France Culture 2000-2002, 59 documents liés au thème du cinéma Emission produite par Philippe Langlois consacrée à l’univers sonore et musical, constituée d’extraits. Plusieurs numéros relient la musique au cinéma La Musique d’Andrei Tarkovski 03/12/2001, Les Métiers du son au cinéma 17/12/2001, L’Univers sonore de Jacques Tati 15/02/2002, Le Corps comme instrument de musique dans la comédie musicale 15/04/2002, La Chanson dans les films de Rohmer 15/07/2002, etc. L’Embobineur, France Musique, pro Charles Pierre Valliere, 8 minutes Chronique hebdomadaire diffusée le mercredi soir dans l’émission Par ici les sorties en direct depuis les studios de la Maison de la Radio France, L’embobineur est présentée par Charles-Pierre Vallière qui propose la bande-originale de musique d’un film lié ou non à l’actualité des sorties cinématographiques du jour. Après une brève présentation du film et de sa bande-originale de musique, Charles-Pierre Vallière présente le compositeur et analyse son style. Commentaire sur alternance de commentaires et d’extraits d’œuvres musicales. Ciné qui chante, France Inter, pro Laurent Delmas, 2017 – 49 minutes Résumé site internet de France Inter Chaque jour, une balade enchantée au pays du cinéma extraits de films, chansons et archives seront au rendez-vous, présentés et racontés par Laurent Delmas avec tous les jours un invité actrice, acteur, cinéaste, chanteuse ou chanteur qui proposera aux auditeurs sa programmation de chansons sur grand écran. Métiers du cinéma Les Hommes derrière l’écran, Chaine parisienne 1960 7 documents Série consacrée aux métiers du cinéma. Le producteur et présentateur Youri aborde en compagnie de professionnels un métier par épisode les producteurs, le directeur de production et distribution, le chef opérateur, le monteur, le décorateur et accessoiriste, l’équipe. Connaître le cinéma, France III Nationale, pro Jean Mitry, 1962-1970 153 épisodes, 40 minutes Emission sur un thème, avec discussion sur un film le plus souvent projeté ; présentation d’un métier du cinéma Micros et caméras, 1ère chaine 1965-1972 202 documents Magazine consacré aux métiers de l’image et du son, produit et réalisé par Jacques Locquin. Thèmes Le Décorateur de studio 29/01/1966, Le Cinéaste reporter 09/07/1966, Le Cinémascope à la télévision 13/05/1967, Ponctuation sonore de l’image 24/02/1969, Le Cinéma et la télévision 22/04/1972, etc. Georges Rouquier, artisan cinéaste, Vocation d’un homme, 1ère chaine, réa Leïla Senati Rencontre avec Georges Rouquier, cinéaste et auteur notamment de Farrebique et Biquefarre qu’il tournera 38 ans plus tard, qui raconte sa passion pour un certain cinéma. Ecoutez voir, France Inter 2003-2004 43 documents Collections d’entretiens produits et conduits par Rébécca Manzoni, qui fait parler des artistes et des professionnels de la culture sur leur métier. Invités Alain Chabat, Tony Gatliff, Rithy Panh, Ariane Ascaride, Michael Haneke, Denis Podalydès, Marin Karmitz, Amos Gitaï, Wim Wenders, Manuel Poirier, Pierre Salvadori, etc. CLOSE UP SUR SUR QUELQUES CINÉASTES Alfred Hitchcock, Xavier Dolan, Yasujiro Ozu Alfred Hitchcock Ses fictions Mais qui a tué Harry ? réa Alfred Hitchcock, Thema. Alfred Hitchcock, ARTE, rediffusé le long métrage de fiction, 1 heure 34 minutes Fenêtre sur cour, réa Alfred Hitchcock, France 3, rediffusé, 1 heure 47 minutes, long métrage de fiction Documentaires et portraits Un Printemps pour Hitchcock, Laurence Drummond, France Culture, documentaire à base d’archives, 1 heure 30 minutes Entretien de Laurence Drummond avec Jean Douchet. Entretien entrecoupé d’archives de cinéma. Résumé producteur Né à Londres le 13 août 1899, mort à Los Angeles le 9 avril 1980, Alfred Hitchcock continue de faire peur, de faire rire et réfléchir Autrement dit, d’être grave et énigmatique. Avec Jean Douchet, nous interrogeons le climat des entretiens que François Truffaut eut avec Hitchcock dans les années 60 Le Cinéma selon Hitchcock Ed. Seghers Comment le maître du suspense s’est-il mis en scène au fil des questions ? De quelle nature sont ses questions ? De quelle nature sont ses réponses, a-t-il expliqué le choix de ses thèmes ? Ces thèmes Jean Douchet analyse leur originalité, leur force d’expression de film en film. Peu à peu s’esquisse l’homme Hitchcock tel que Jean Douchet l’a rencontré et pressenti L’homme qui en savait trop sur les pièges du conscient et de l’inconscient ; sur leurs lois frustrantes ou salvatrices. » Alfred Hitchcock avec François Truffaut, France Culture, Serge Toubiana, Nicolas Saada, 1999, 25 émissions, Entretiens, 25 minutes Série proposée par Serge Toubiana et Nicolas Saada qui fait entendre la série d’entretiens entre Alfred Hitchcock, François Truffaut et, Helen Scott la traductrice, enregistrée dans les années soixante, série qui a permis à Truffaut de publier son célèbre ouvrage Hitchcock/Truffaut. Hitchcock et la télévision Raccords L’oeil domestique Alfred Hitchcock et la télévision, Jean François Rauger, Rouge Profond, 2014, 166 pages Résumé éditeur Entre 1956 et 1962, Alfred Hitchcock a réalisé vingt films pour la télévision, la plupart dans le cadre des séries qu’il produisait, Alfred Hitchcock présente et The Alfred Hitchcock Hour. Quoique peu commentés jusqu’alors, ceux-ci constituent un fragment essentiel de sa filmographie. Pas seulement parce qu’ils ont contribué à la construction d’un personnage devenu une véritable image de marque et étendu la popularité planétaire du Maître du suspense, mais surtout parce qu’ils ont déployé l’art et les obsessions du cinéaste au coeur d’un médium dont il a su saisir la singularité profonde. Entre la continuation par d’autres moyens de son cinéma et l’invention d’une forme, la télévision de Hitchcock ouvre de nouvelles perspectives au suspense et à la vision du monde et de l’homme qu’il signifie. Phénomène industriel et médiatique, l’ensemble de ces téléfilms mérite une analyse détaillée. Elle fera surgir l’existence d’une véritable théorie hitchcockienne de la télévision. L’oeil du voyeur deviendra un oeil domestique. Cinéma cinémas, Antenne 2, pro Anne Andreu, pro Michel Boujut, pro Claude Ventura,1982-1990, 82 épisodes dont une vingtaine consacrés à Hitchcock, 1 heure Analyse de films et esthétique hitchcockienne Le Suspense au cinéma, Cinémaction, coordination Jean Bessalel et André Gardies, Centre national du Livre, Corlet, Télérama, numéro 71, 1994 Ce livre consacre un chapitre à Hitchcock par le prisme du suspense, en questionnant la qualification d’Hitchcock de maître du suspense. Pourquoi aime-t-on avoir peur ? Nous ne sommes pas des anges, Canal +, réa Jean Louis Cap, jou Jean François Kervean, magazine, 1 heure Chronique de Jean François Kervean autour d’Alfred Hitchcock, son enfance et ce qui l’a porté vers le suspense. Analyse d’une séquence de Jeune et innocent du point de vue de l’installation du suspense. S’ensuit d’un débat en présence de Christophe André, intitulé Pourquoi aime-t-on avoir peur ? » Philosopher avec Hitchcock, Les Chemins de la philosophie, France Culture, Adèle Van Reeth, 4 émissions, Interview, entretien, 58 minutes Quatre émissions consacrées aux films d’Alfred Hitchcock. La première émission avec la participation de Carole Desbarats porte sur La Mort aux trousses, La deuxième avec la participation de Laurent Van Eynde porte sur Sueurs froides, la troisième avec la participation de Jean Loup Bourget sur Rebecca et la quatrième avec Nicolas Saada porte sur Psychose, questionnant le tournage du film et la maîtrise de la technique pour créer la peur. Des lectures d’archives sonores ponctuent l’entretien. IMAGES ET SON RARES 1938 – Radio Louis Lumière, inventeur du diaphragme du phonogramme, explique en détail son invention à la radio. 1938 – Radio Le cinéaste Jean Renoir raconte une anecdote lors d’une séance à Ciné liberté pendant qu’il expliquait au public l’idée de son prochain film sur la Révolution, des ouvriers métallurgistes lui ont proposé de chanter La Marseillaise avec la chorale de l’usine et de jouer les volontaires de la bataille de Valmy. 1945 – Radio Archives du cinéma Henri Langlois En 1945, Henri Langlois est interviewé pour parler de la cinémathèque, on entend aussi Georges Sadoul et Max Bonnet, l’opérateur de Méliès 1er janvier 1955 -Télévision, 1ère chaîne La télévision diffuse un mimodrame de Marcel Marceau réalisé par Paul Paviot, Un jardin public, qui propose en noir et plan et dans un registre poétique une galerie de portraits et des scènes de vie. L’action se déroule dans un square enfants, marchand de ballons, gardiens, promeneurs sont intrigués par une statue de soldat à la baillonnette, jouée par le mime Marceau. 1959 – Radio, Chaine nationale René Clair, Michelangelo Antonioni, Abel Gance ou Marcel Lherbier sont quelques-uns des invités de Roger Régent, au micro de l’émission Culture Française Le cinéma dans le monde. 17 avril 1977 – Radio, France Culture Claude-Jean Philippe, le présentateur du Cinéma des cinéastes reçoit Jacques Tati. 3 juin 1996 – Télévision, Arte Arte diffuse un court-métrage inédit d’Eric Rohmer Pauline et son steack, dans lequel Jean-Luc Godard, Stéphane Audran et Anna Karina prêtent leurs voix. 02 avril 1996 – Télévision, Arte Arte diffuse A la recherche des films perdus », dans Thema , Mémoire du cinéma, sur la neccessité de créer des cinémathèques pour conserver les films, ce documentaire présente des extraits rares de pellicules retrouvées. 5 janvier 1998- Télévision, Arte Arte diffuse le premier court-métrage de Mathieu Kassovitz, Fierro le Pou. En noir et blanc, le film du jeune cinéaste aborde le thème de la séduction en relatant l’histoire d’une rencontre entre une jeune métisse et un jeune blanc sur un terrain de basket. Été 1999 – Radio, France Culture France Culture diffuse une série documentaire consacrée aux entretiens qu’Alfred Hitchcock a partagé pendant une semaine avec François Truffaut, en août 1962, alors qu’il achevait le tournage des Oiseaux. QUELQUES FONDS D’ARCHIVES ÉCRITES Une importante documentation textuelle se rapporte à la thématique cinéma » 3000 références de monographies et d’articles de périodiques, ainsi qu’une centaine d’unités d’archives écrites versées par des institutions et/ou des professionnels du secteur audiovisuel, complètent et enrichissent les collections de films et d’émissions disponibles à la consultation. Voici quelques exemples de documents écrits sur la thématique du cinéma français et étranger et la diffusion des films cinématographiques sur les chaînes de télévision françaises. Fonds des périodiques L’Ina conserve de nombreuses collections de revues, magazines et périodiques sur ou autour du cinéma, dont certaines numérisées Cahiers du cinéma 1951-2… CinémAction 1978-2… Ciné Revue 1955-1982 Cinémathèque 1991-1996 Écran total 1993-2… Film échange 1978-1992 Le film français 1961-2… Positif 1959-1985 Revue du cinéma 1946-1988 Synopsis 1998-2005 Le technicien du film 1958-2… Mais aussi … American cinematographer 1963-2001 American film 1980-1986 Sight and soud 1959-1994 Variety 1978-2000 etc. Fonds privés particuliers Fonds Pierre Peytavi 55 cartons Fonds d’archives versé à l’Inathèque en juillet 2005 par Pierre Peytavi, chef décorateur pour la télévision. Affecté dans les années 1950 au Service Cinéma des Armées au Fort d’Ivry, il participe à de nombreux films, dont le film d’Alain Bombart Survie en mer. Il se familiarise ainsi aux techniques de cinéma et met en pratique son expérience au service de la télévision en réalisant les décors de nombreuses dramatiques et les adaptations de pièces de théâtre dans les années 1960. Les dossiers contiennent principalement des plans, des croquis, des fiches de production, des plannings de tournage des devis et des commandes de matériel. Certains sont complétés par des photos de repérages, des scénarios ou des correspondances. Fonds Maurice Valay 56 cartons Fonds d’archives versé à l’Inathèque en novembre 2000 par Maurice Valay, chef décorateur pour la télévision. Les dossiers contiennent principalement des documents relatifs au travail préparatoire d’émissions tournées aux studios des Buttes Chaumont, Joinville, Cognacq Jay, Gaumont, Pathé… et diffusées de 1959 à 1978 plans, croquis, fiches de production, plannings de tournage devis et commandes de matériel, photos de repérages et de plateaux. Fonds André Gillois 43 cartons Contient des scénarios, dialogues et documents de travail de films, téléfilms et adaptations de pièces de théâtre, des projets de films, etc. de l’écrivain et scénariste André Gillois, qui a notamment travaillé avec René Clair et Gilles Grangier 125, rue Montmartre en 1959. Fonds Scénarios 3681 documents Le fonds est constitué de scénarios de plus de 3000 émissions télévisées diffusées entre le début des années soixante jusqu’à la fin des années quatre vingt dix, dont l’Institut national de l’audiovisuel détient les droits d’expolitation. Il s’agit de fictions téléfilms, séries et feuilletons, œuvres originales ou adaptations d’œuvres littéraires ou théatrales, dont certaines sont plus connues dans leur version cinématographique. Fonds SFP 339 cartons Versé par la Société française de production, ce fonds est constitué de dossiers réalisés par le service de presse de la SFP autour des fictions en production ou coproduction pour la télévision et le cinéma ; on y trouve des synopsis, des plans de tournage, des listes artistiques et techniques, des photographies et des articles de presse. Mais aussi des documents relatifs aux festivals de cinéma Cannes …, aux plateaux de tournage la Victorine, les Studios de Bry, aux émissions télévisées consacrées au grand écran Cinéma 16 et une collection de la Lettre interne de la SFP 1989-1998, etc. Fonds CSA 675 cartons Contient des bilans, des dossiers de presse, des brochures sur l’industrie du cinéma, des études sur la relation entre cinéma et télévision financement, programmes…, les archives du Service d’Observation des Programmes et notamment des rapports et des analyses sur la place du cinéma à la télévision, etc. Fonds TF1, F2, France Culture, France Inter Dossiers relatifs à la diffusion, par chaque chaîne ou radio, d’émissions diverses, dont des films, téléfilms, magazines de cinéma, etc. Ces fonds comprennent selon les cas des articles de presse, des taux d’audience, des informations concernant les droits d’auteur, des documents de travail, des rapports de visionnage, etc. D’autres fonds peuvent contenir des documents reliés au cinéma L’ANALYSE DE FILMS AVEC L’OUTIL MÉDIASCOPE Consulter l’analyse complète >>
CharlieChaplin Informations. Studio Charles Chaplin Productions Les temps modernes. Comédie La ruée vers l'or. Comédie Le cirque. Comédie Les lumières de la ville. Comédie Films inclus dans Comédie Tout afficher Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? Comédie Sonic le Film 2 (Sonic the Hedgehog 2) Enfants et famille En corps. Comédie Permis de Construire. 06 Nov Publié par - Catégories Films et Dessins animés Chanson charabia, sur l'air de "Je cherche après Titine" Les paroles charabia de plusieurs langues Se bella ciu satore Je notre so cafore Je notre si cavore Je la tu, la ti, la tua La spinash o la busho Cigaretto porta bello Ce rakish spagaletto Si la tu, la ti, la tua Senora Pilasina Voulez vous le taximeter Le zionta sous la sita Tu la tu, la tu, la wa Se montya si la moora La sontya so gravora La zontya comme sora Je la poose a ti la tua Je notre so la mina Je notre so cosina Je le se tro savita Je la tuss a vi la tua Se motra so la sonta Chi vossa la travonta Les zosha si katonta Tra la la la, la la la ... . 319 109 351 153 88 359 32 8