Ilpeine à rencontrer le succÚs à la fin des années 1970 sans David Bowie mais ce dernier sort au sommet de sa gloire des morceaux coécrits avec Iggy Pop. Grùce aux royalties, il rembourse
Au-delĂ  des classiques “Five Years”, “Starman”, ou encore “Life on Mars”, l’album Ziggy Stardust, paru il y a cinquante ans, a permis Ă  David Bowie de dĂ©coller en se crĂ©ant un double, jalon dĂ©cisif de sa personnalitĂ© camĂ©lĂ©on.“Jusqu’ici, il Ă©choue dans tout ce qu’il entreprend depuis le dĂ©but de sa carriĂšre”, raconte Ă  l’AFP JĂ©rĂŽme Soligny, auteur de David Bowie Rainbowman, ouvrage rĂ©fĂ©rence paru en deux tomes Gallimard, objet de rééditions et de traductions internationales.“Space Oddity” sur l’album du mĂȘme nom, 1969 est son premier essai. InspirĂ© par 2001 L’OdyssĂ©e de l’espace de Stanley Kubrick, Bowie se met dans la peau d’un astronaute, dialoguant avec sa tour de contrĂŽle jusqu’à se perdre dans les profondeurs de l’espace. En 1972, voilĂ  que l’Anglais sort un disque au titre Ă  rallonge, The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars “L’Ascension et la Chute de Ziggy Stardust et les AraignĂ©es de Mars”, au parfum d’univers singulier qui, cette fois, ne passera pas morceau “Moonage Daydream” est une carte de visite cryptique de son double Ziggy Stardust “Je suis un alligator [
], je suis l’envahisseur de l’espace.” Toujours dans un univers liĂ© au cosmos, Bowie brouille un peu plus les cartes et suggĂšre sa bisexualitĂ© en lĂąchant dans la presse musicale qu’il est “gay”, alors qu’il vit avec femme et enfant. Le chanteur “frĂ©quente des lieux de nuit associĂ©s Ă  la culture gay, sans l’ĂȘtre fondamentalement lui-mĂȘme, il en aime l’imagerie”, prĂ©cise d’un homme “spĂ©cial”Jackpot. Les mĂ©dias s’intĂ©ressent Ă  lui, sans parvenir Ă  le cerner, entretenant son aura mystĂ©rieuse. À la tĂ©lĂ©, l’intervieweur est engoncĂ© dans un costume gris, lui paraĂźt cheveux teints en rouge avec une tenue Ă  paillettes. L’un est en noir et blanc, l’autre en couleurs. Bowie devient symbole de modernitĂ©, de monde d’ looks, plus iconiques et dĂ©calĂ©s les uns des autres, deviendront le symbole de cette nouvelle Ăšre. L’artiste s’impose mĂ©diatiquement en star alors qu’il ne l’est pas encore. Les premiers concerts estampillĂ©s “Ziggy” en banlieue de Londres ne rĂ©unissent alors que 150 personnes, dont un tiers d’invitĂ©s.“C’est une sorte de marketing avant l’heure, c’est sa plus belle crĂ©ature, qui lui a permis d’éclore, d’ĂȘtre autre chose qu’un secret bien gardĂ© d’une intelligentsia rock qui s’intĂ©resse Ă  lui depuis un an et demi”, analyse Soligny. Bowie s’ouvre les portes d’une tournĂ©e aux États-Unis. “Il rĂ©ussit Ă  imposer un personnage androgyne lĂ  oĂč Marc Bolan [leader de ndlr] a Ă©chouĂ©, c’est-Ă -dire aller jouer dans l’AmĂ©rique profonde, mĂȘme si, parfois, des gens furieux l’attendront Ă  la porte des loges”, Pop, Orange mĂ©caniqueComme le dit ce spĂ©cialiste, Bowie est “une Ă©ponge” et son Ziggy Stardust agglomĂšre plusieurs influences. Ziggy, c’est d’abord Iggy Pop. Bowie est fascinĂ© par le chanteur des Stooges, vu notamment sur une photo oĂč l’AmĂ©ricain marche littĂ©ralement sur le public en concert. Les deux musiciens deviendront proches. “Stardust” “PoussiĂšre d’étoile” vient du nom de scĂšne d’un chanteur country amĂ©ricain, The Legendary Stardust Cowboy, obnubilĂ© par le y a aussi Vince Taylor, rockeur anglais Ă  la carriĂšre chaotique, surtout connu en France. “Bowie le cĂŽtoie Ă  un moment, Taylor a l’impression qu’il va pouvoir sauver le rock, se prend pour un messie”, dĂ©taille Soligny. De quoi nourrir le personnage de Ziggy. Sur la pochette, Bowie pose façon voyou dans une rue avec des bottes rappelant celles portĂ©es par la bande de mauvais garçons du film Orange mĂ©canique de Stanley Kubrick. “Il a toujours rĂȘvĂ© d’ĂȘtre dans un gang, mais ce n’est jamais arrivĂ©, il Ă©tait super bien Ă©levĂ©â€, selon tous ces carburants, la machine est lancĂ©e. Il y aura ensuite Aladdin Sane, autre double pour l’album Ă©ponyme de 1973, et son cĂ©lĂšbre Ă©clair sur le visage. Mais Ziggy Stardust marque les esprits réédition en vinyle ce vendredi. Brian Molko, leader de Placebo, s’y rĂ©fĂšre. Et “Moonage Daydream” est devenu le titre d’un documentaire sur Bowie rĂ©alisĂ© par l’AmĂ©ricain Brett Morgen et prĂ©sentĂ© au dernier Festival de avec AFP
Lexposition « Bowie OdyssĂ©e » qui rassemble plus de 1.000 objets collectionnĂ©s par les fans de David Bowie Ă  pris place au sein du théùtre le Palace du 15 dĂ©cembre 2020 au 28 mars 2021 mais l’exposition reste actuellement fermĂ©e pour cause de Covid. Helena Mora. Photos avec l’aimable autorisation de Alain Lahana et Pierre Terrasson
Jazz’, Tokyo, 1968 © Sukita Sukita a le rock dans la peau », dit Joe Strummer, leader du lĂ©gendaire groupe de punk les Clash, qui a reconnu un rebelle dans Masayoshi Sukita. Bien que, de nos jours, le terme iconique » soit employĂ© Ă  tout va, on ne saurait qualifier autrement la sĂ©rie de photographies de David Bowie rĂ©alisĂ©e par le photographe japonais. En 50 ans, ces portraits sont devenus une rĂ©fĂ©rence incontournable aussi bien pour les artistes, les photographes, que les designers. J’ai pris ces photographies dans le feu de l’action », raconte Sukita Ă  propos de sa collaboration avec David Bowie, qui commence en 1972 lorsqu’il passe devant une affiche du jeune musicien annonçant le concert de charitĂ© Save the Whale » au Royal Festival Hall de Londres. IntriguĂ©, Masayoshi Sukita achĂšte aussitĂŽt un billet pour le concert, ce qui transformera le cours de sa vie. Untitled, RCA Studio, New York, 1973 Figure de proue Ă©mergente de l’avant-garde, David Bowie et son glam rock futuriste captent alors l’esprit d’une jeune gĂ©nĂ©ration marquĂ©e par les mouvements de libĂ©ration et la contre-culture des annĂ©es 1960. Bravant les restrictions imposĂ©es par les codes de la cisidentitĂ© hĂ©tĂ©rosexuelle, Bowie introduit le monde aux charmes de l’androgynie, avant que le non-conformisme en matiĂšre d’identitĂ© sexuelle n’entre dans les mƓurs. Le travail de Sukita joue un rĂŽle important dans la construction et la rĂ©ception de l’image de Bowie Ă  l’époque. RĂ©volutionnaire et classique Ă  la fois, avec panache, Bowie apparaĂźt comme une figure dĂ©rangeante quoique accessible, Ă  la fois Ă©trange et familiĂšre, tout en exerçant une attraction Ă©nigmatique. Mais ceci s’applique Ă©galement Ă  l’Ɠuvre entiĂšre de Sukita, qui reçoit enfin la reconnaissance qui lui est dĂ»e avec la parution de sa premiĂšre monographie, Sukita Eternity ACC Art Books. A l’est d’Eden New York Pop Festival, Downing Stadium, Randall’s Island, New York, 1970 © Sukita Originaire de la ville miniĂšre de Nogata, sur l’üle mĂ©ridionale de Kyushu, Masayoshi Sukita nait de parents commerçants, propriĂ©taires d’une quincaillerie et d’un magasin d’articles mĂ©nagers. Soldat durant la Seconde Guerre mondiale, son pĂšre meurt le 17 aoĂ»t 1945, deux jours aprĂšs la capitulation du Japon, et c’est la mĂȘme annĂ©e que le jeune Masayoshi entre Ă  l’école primaire. Dans les annĂ©es 1950, la culture pop amĂ©ricaine s’étend au monde entier, avec son mĂ©lange d’art, de musique, de mode et de cinĂ©ma. Hollywood et l’industrie de la musique s’emparent d’une jeunesse en crise comme dans La Fureur de vivre. Au sortir de l’adolescence, Sukita dĂ©veloppe une passion pour le jazz, le rock et les films qui mettent en vedette des icĂŽnes des annĂ©es 1950 telles que Marlon Brando ou James Dean, qui tous contribuent Ă  façonner sa sensibilitĂ© esthĂ©tique. Mother, Nogata, Fukuoka, 1957 © Sukita Sheena & The Rokkets – Main Songs’ album cover, Tokyo, 1985 © Sukita Quand j’ai eu18 ans », se souvient Sukita, ma mĂšre m’a achetĂ© un Ricohflex, un appareil de marque japonaise de qualitĂ© convenable. Pour me faire plaisir, je photographiais ma famille, mes amis, et prenais des clichĂ©s ici et lĂ . Plus tard, lorsque je suis devenu photographe professionnel, j’ai rĂ©alisĂ© que la photographie, c’est le temps Ă©ternel’ ». Au tout dĂ©but de sa carriĂšre, Masayoshi Sukita va dĂ©couvrir la capacitĂ© de l’appareil Ă  prĂ©server l’éphĂ©mĂšre, l’instant qui passe, et Ă  le transformer en un objet de contemplation qui transcende son contexte originel. Alors qu’il fait ses Ă©tudes dans le dĂ©partement de photographie commerciale de Shasen, Ă  l’Institut japonais de photographie et de cinĂ©ma, Sukita dĂ©couvre des photos prises par son pĂšre, de lui-mĂȘme et de ses amis, en Chine durant la guerre. Ces instantanĂ©s rĂ©vĂšlent des moments de repos, au calme, entre des combats oĂč les soldats risquent leur vie. Ces scĂšnes oĂč son pĂšre et ses compagnons prennent le soleil, installĂ©s dans un baril de pĂ©trole, reprĂ©sentent plus qu’un simple souvenir d’un jour d’étĂ© elles sont une porte vers l’éternitĂ©. Ce que permet la photographie. Space Oddity En 1965, Masayoshi s’installe Ă  Tokyo oĂč il est employĂ© chez Delta Monde Production, une entreprise rĂ©alisant des campagnes publicitaires dans le domaine de la mode et de la beautĂ©. En collaboration avec JAZZ, une marque de mode masculine, Masayoshi Sukita rĂ©alise une sĂ©rie d’images surrĂ©alistes inspirĂ©es des peintures de RenĂ© Magritte, oĂč l’on pressent dĂ©jĂ  l’esprit de son premier travail sur le rock. En 1970, il devient freelance et se rend Ă  New York pour suivre la derniĂšre tournĂ©e de Jimi Hendrix aux Etats-Unis. Il assiste Ă©galement Ă  un concert de Lou Reed et The Velvet Underground Ă  la discothĂšque Max’s Kansas City, et dĂ©couvre la Factory d’Andy Warhol. Deux ans plus tard, Sukita est Ă  Londres en compagnie de Yasuko “Yacco” Takahashi, un styliste qui l’a mis en relation avec les pionniers du glam rock, T. Rex & Marc Bolan. Les six mois suivants, il accompagne le groupe dans sa tournĂ©e mondiale, et c’est ainsi qu’il tombe par hasard sur une affiche de Bowie alors qu’il arpente les rues de Londres. Untitled wearing Kansai Yamamoto costume, RCA Studio, New York, 1973 © Sukita Untitled, RCA Studio, New York, 1973 © Sukita Dans le livre, Sukita Ă©voque Bowie comme quelqu’un de radicalement diffĂ©rent, novateur, prodigieux et incroyable ; cela m’a profondĂ©ment marquĂ© [
]. Bowie n’était pas seulement un musicien. C’était aussi un performer “underground”. Son jeu sur scĂšne, ses mouvements et son “expression corporelle” Ă©taient trĂšs diffĂ©rents de ceux des autres artistes. » A cette Ă©poque, le manager de Bowie, Tony Defries, n’autorise que Mick Rock et Lee Black Childers Ă  photographier la star naissante. Mais les images de Sukita pour JAZZ le fait changer d’avis et le 13 juillet 1972, Sukita rĂ©alise une sĂ©ance photo de deux heures avec Bowie, qui se passe Ă  merveille. La premiĂšre sĂ©ance s’est faite dans une ambiance trĂšs dĂ©tendue », se souvient le photographe. J’avais apportĂ© une bouteille d’un vin qu’aimait David. Il buvait pendant les prises de vue, et semblait Ă  l’aise. L’une des photos de cette sĂ©ance a Ă©tĂ© accrochĂ©e dans le hall du Rainbow Theater oĂč avait lieu son concert. Non seulement il Ă©tait beau, mais il Ă©voluait de façon remarquable, comme s’il effectuait une pantomime. C’est ce qui a retenu mon attention. » Golden Years The B-52’s, Tokyo, 1979 © Sukita C’est le dĂ©but d’une belle amitiĂ©. De cette collaboration de 40 ans entre Masayoshi Sukita et David Bowie sont nĂ©es les images les plus emblĂ©matiques du musicien, notamment la couverture de l’album Heroes de 1971, que Bowie rĂ©interprĂštera lui-mĂȘme dans un post Instagram de 2014, en se coiffant d’un casque des Daft Punk. Cette photo marque la fin d’une Ăšre, le punk occupant dĂ©sormais le devant de la scĂšne, et l’objectif de Sukita se tourne alors vers des artistes tels que Iggy Pop, Joe Strummer, Madness, Culture Club ou encore David Byrne, pour ne nommer qu’eux. AgĂ© aujourd’hui de 83 ans, Masayoshi Sukita s’est consacrĂ©, l’an dernier, Ă  revisiter ses archives, et Ă  redĂ©couvrir une quantitĂ© impressionnante de photographies qu’il avait, pour certaines, complĂštement oubliĂ©es. Au fil des pages de la monographie, on ressent clairement combien Sukita a comptĂ© pour Bowie, Ă  la fois esthĂ©tiquement et dans sa vie. Je n’aurais jamais cru que Sukita-san avait pris tant de photos durant toutes ces annĂ©es », rapporte Bowie dans le livre. Les dĂ©buts de Ziggy, notamment mon concert bien connu au Rainbow, Ă  Londres, les promenades sur les marchĂ©s de Tokyo, les temples de Kyoto, et mĂȘme les aventures dans le mĂ©tro, il semble que Sukita-san ait enregistrĂ© tout cela. » Par Miss Rosen Miss Rosen est une journaliste basĂ©e Ă  New York. Elle Ă©crit sur l’art, la photographie et la culture. Son travail a Ă©tĂ© publiĂ© dans des livres, des magazines, notamment Time, Vogue, Aperture, et Vice. Sukita Eternity, ACC Art Books, ÂŁ Jordan Pamela Rooke, London, 1977 © Sukita Untitled, Shibuya, Tokyo, 2010 © Sukita
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AccueilArtsIl a immortalisĂ© les vies de David Bowie, Iggy Pop, Blondie, Daft Punk, Queen, Snoop Dogg ou encore Lou photographe britannique Mick Rock, connu pour avoir immortalisĂ© nombre de lĂ©gendes et surnommĂ© “le photographe des annĂ©es 1970”, est mort, selon une annonce publiĂ©e sur son compte Twitter. “C’est avec le cƓur lourd que nous annonçons que notre bien-aimĂ© renĂ©gat psychĂ©dĂ©lique Mick Rock a fait le voyage jungien vers l’autre cĂŽtĂ©â€, indique cette dĂ©claration, en rĂ©fĂ©rence au psychanalyste Carl Jung.“Ceux qui ont eu le plaisir de vivre dans son orbite savent que Mick Ă©tait bien plus que l’homme qui a photographiĂ© les annĂ©es 1970â€Č”, son surnom, selon la mĂȘme source. “C’était un poĂšte de la photographie, une vĂ©ritable force de la nature qui passait ses journĂ©es Ă  faire exactement ce qu’il aimait, toujours Ă  sa façon dĂ©licieusement outrageuse.” Les circonstances de la mort du photographe, qui Ă©tait nĂ© Ă  Londres en 1948, n’ont pas Ă©tĂ© du twitt...Photographe emblĂ©matique de la scĂšne rock, Mick Rock, auteur de cĂ©lĂšbres portraits de Lou Reed, Iggy Pop, les Sex Pistols ou Blondie, s’est fait connaĂźtre au dĂ©but des annĂ©es 1970 avec les tout premiers portraits de David Bowie. Pendant prĂšs de deux ans, il avait Ă©tĂ© le photographe officiel du chanteur britannique, pour qui il avait rĂ©alisĂ© les pochettes de disques, les affiches ou encore les vidĂ©os de “Life on Mars” et “Space Oddity”.Mick Rock s’était fait aussi le chroniqueur de l’existence du flamboyant et dĂ©cadent Ziggy Stardust, alter ego “glam” de David Bowie entre 1972 et 1973, qui avait croisĂ© la route de Lou Reed, Iggy Pop, Roxy Music ou Marianne Faithfull. On lui doit de nombreuses pochettes d’albums, dont celle, trĂšs connue, de l’album Queen II du lĂ©gendaire groupe la variĂ©tĂ© d’artistes qu’il avait immortalisĂ©e Ă©tait bien plus large, avec notamment Snoop Dogg, Daft Punk ou Ozzy Osbourne. “Ce n’est qu’un au revoir mon ami et camarade Mick Rock. Le poĂšte visionnaire”, a tweetĂ© Johnny Marr, guitariste du groupe anglais The Smiths, avec une photo de lui se faisant tirer le portrait par le en langues mĂ©diĂ©vales et modernes de la prestigieuse universitĂ© de Cambridge, Mick Rock avait dĂ©veloppĂ© un intĂ©rĂȘt pour la photographie durant ses Ă©tudes, prenant des clichĂ©s de la scĂšne rock arts avec AFPÀ voir aussi sur Konbini
En1977 paraissent “The Idiot”, d’Iggy Pop, et “Low”, de David Bowie, disques cruciaux enregistrĂ©s par un Français jamais crĂ©ditĂ© pour son travail.

Cet article date de plus de neuf ans. Un film est en prĂ©paration sur les annĂ©es berlinoises de David Bowie et Iggy Pop. BaptisĂ© "Lust for Life", du nom d'un album d'Iggy produit par Bowie, il devrait ĂȘtre dirigĂ© par le rĂ©alisateur britannique Gabriel Range, connu pour son film sur la mort de George "Death of a president". Article rĂ©digĂ© par France TĂ©lĂ©visions RĂ©daction Culture PubliĂ© le 09/02/2013 1454 Mis Ă  jour le 12/02/2013 1217 Temps de lecture 1 min. "Ce n'est pas un biopic rock traditionnel parce que personne ne meurt Ă  la fin", explique le producteur Egoli Tossell au Hollywood Reporter. Le film explorera la pĂ©riode de la fin des annĂ©es soixante-dix durant laquelle David Bowie et Iggy Pop s'Ă©taient installĂ©s Ă  Berlin Ouest. Encore divisĂ©e Ă  l'Ă©poque, la ville Ă©tait dĂ©jĂ  particuliĂšrement stimulante au plan artistique, et Berlin sera justement le "personnage principal du long mĂ©trage" selon Tossell. Cette pĂ©riode est considĂ©rĂ©e comme riche en terme de crĂ©ativitĂ© pour les deux icĂŽnes du rock. Leur collaboration a en effet donnĂ© lieu Ă  l'album "Low" de Bowie et aux deux premiers albums solo d'Iggy, "The Idiot" et "Lust for Life". Cette pĂ©riode berlinoise est revenue rĂ©cemment au premier plan avec la sortie du single surprise de Bowie "Where Are We Now?". Cette premiĂšre chanson publiĂ©e depuis dix ans est une ballade nostalgique sur le Berlin de ces annĂ©es-lĂ . "Je navais pas ressenti depuis des annĂ©e une telle joie de vivre", racontait David Bowie en 2001 Ă  propos de ses annĂ©es berlinoises dans Uncut citĂ© par le Guardian. "Certains jours, nous sautions dans la voiture et conduisions comme des dingues jusqu'en Allemagne de l'Est vers la ForĂȘt noire... Ou bien nous prenions de trĂšs longs dĂ©jeĂ»ners au Wannsee les jours d'hiver... La nuit, nous trainions avec les intellectuels au restaurant Exile de Kreutzberg". Le scĂ©nario, signĂ© Robin French auteur de sitcoms pour la BBC, est largement inspirĂ© du livre "Open Up And Bleed" de Paul Trynka. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Rock

DavidBowie et Iggy Pop Mais comme vous pouvez le voir, c’est mauvais. La tĂȘte de Bowie a Ă©tĂ© volĂ©e lors d’une sĂ©ance photo en 1977 (pour son album « Heroes »). La photo originale d’Iggy Pop date de 1969, prĂšs de 10 ans avant qu’elle ne soit prise par Bowie. Qui sont les 2 artistes dans la photo originale ? David Bowie et Iggy
Origine Londres, Angleterre Royaume-Uni Date de naissance 8 janvier 1947 DĂ©cĂšs 10 janvier 2016 Groupes Tin Machine, The Konrads, David Jones and The King Bees, The Manish Boys, The Lower Third, The Buzz, Riot Squad Site Officiel CABINET DE CURIOSITES BUZZROCKS David Bowie 13 citations qui lui survivront Back in Time le jour oĂč David Bowie est venu au monde Back in Time le jour oĂč David Bowie a donnĂ© son premier concert en tant que Ziggy Stardust 15 artistes androgynes qui font avancer les mentalitĂ©s Attentats du 11 septembre un traumatisme aussi pour la musique 30 scandales capillaires qui piquent les yeux Les 15 bonnes façons de porter des jeans serrĂ©s quand on fait du rock 13 saisies semi-automatiques de Google qui posent les bonnes questions STREAMING David Bowie – Toy 2022 David Bowie – The Width Of A Circle 2021 David Bowie – Conversation Piece 2019 David Bowie – The Gouster David Bowie – No Plan EP David Bowie – Blackstar 2016 BIOGRAPHIE 1947 – 1966 ses tendres annĂ©es et des dĂ©buts difficiles David Jones, alias David Bowie, est nĂ© le 8 janvier 1947 Ă  Londres Angleterre dans le quartier de Brixton. En 1953, il emmĂ©nage avec sa famille dans la banlieue de Bromley oĂč il se distingue dans une chorale pour ses talents de mĂ©lomane. En 1956, son pĂšre lui achĂšte une collection de disques des Platters, Fats Domino, Elvis Presley ou encore Little Richard. L’annĂ©e suivante, David Jones s’initie au ukulĂ©lĂ© et au piano et se produit sur scĂšne dans son club de scoutisme. Son demi-frĂšre Terry Burns lui donne goĂ»t ensuite au modern jazz. Devant son enthousiasme, sa mĂšre lui offre un saxophone alto en 1961. L’annĂ©e suivante, David Jones est griĂšvement blessĂ© Ă  l’oeil gauche aprĂšs qu’un camarade de classe lui a donnĂ© un coup de poing au visage avec une bague. Pendant quatre mois, il est Ă©cartĂ© de l’école pour subir des opĂ©rations. Cet incident lui laissera une pupille perpĂ©tuellement dilatĂ©e. Pour la petite histoire, son assaillant George Underwood rĂ©alisera les pochettes des premiers albums de David Bowie. A 15 ans, David Jones fonde son premier groupe The Konrads. En 1963, il quitte la Bromley Technical High School pour se consacrer Ă  la musique. Il rejoint alors la formation The King Bees et dĂ©croche un contrat de management avec Leslie Conn. David Jones and The King Bees sort rapidement un premier single baptisĂ© Liza Jane qui ne rencontre pas le succĂšs escomptĂ©. Le mois suivant, David Jones quitte le groupe et rejoint The Manish Boys avec qui il signe le single I Pity the Fool. Il intĂšgre ensuite The Lower Third et sort sans succĂšs le single You’ve Got a Habit of Leaving. Il se sĂ©pare alors de Leslie Conn pour ĂȘtre managĂ© par Ralph Horton. David Jones Ă©volue ensuite dans The Buzz et Riot Squad. 1967 – 1971 David Bowie, Space Oddity, The Man Who Sold the World et Hunky Dory Alors que sa carriĂšre ne dĂ©colle toujours pas, l’artiste enrĂŽle Ken Pitt comme manager et prend le pseudonyme de David Bowie. Le 1er juin 1967, il sort un premier album solo Ă©ponyme dans l’indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale. Il fait alors la connaissance de Lindsay Kemp qui l’aide Ă  se forger un nouveau personnage. Pendant sa mĂ©tamorphose, David Bowie tourne dans une publicitĂ© pour la glace Lyons Maid. En avril 1969, il rencontre Angela Barnett qu’il Ă©pouse en moins d’un an. Le 11 juillet 1969, il sort le single Space Oddity, cinq jours avant le dĂ©collage de la navette Appolo 11. Ce titre connaĂźt enfin le succĂšs. Le 4 novembre 1969, David Bowie sort un deuxiĂšme album Ă©ponyme avec lequel sa carriĂšre dĂ©colle enfin. Pour l’accompagner, David Bowie monte le groupe The Hype avec John Cambridge batterie, Tony Visconti basse et Mick Ronson guitare. Lors des sessions d’enregistrement de son album suivant, John Cambridge est remplacĂ© par Mick Woodmansey batterie. David Bowie congĂ©die Ken Pitt et engage Tony Defries comme manager. Le 4 novembre 1970, il livre son troisiĂšme opus The Man Who Sold the World sur la pochette duquel il joue Ă  fond la carte de l’androgynie. L’annĂ©e suivante, emballĂ© par les artistes Iggy Pop et Lou Reed, il dĂ©cide de crĂ©er le personnage de Ziggy Stardust. Le 30 mai 1971, David Bowie devient papa d’un petit Duncan Zowie Haywood. Le 17 dĂ©cembre 1971, l’artiste sort son quatriĂšme album Hunky Dory. 1972 – 1973 The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars et Aladdin Sane Le 10 fĂ©vrier 1972, David Bowie se produit pour la premiĂšre fois sous l’apparence de son personnage Ziggy Stardust au pub Toby Jug de Tolworth Angleterre. Ce spectacle remporte un Ă©norme succĂšs en Angleterre oĂč se dĂ©veloppe un vĂ©ritable culte Bowie. Le single Starman devient un hit. Le 6 juin 1972, il signe son cinquiĂšme opus The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars. Le mois suivant, il se produit Ă  l’émission musicale britannique Top of the Pops. Suit une tournĂ©e amĂ©ricaine. ParallĂšlement, David Bowie co-produit avec Mick Ronson l’album solo de Lou Reed Transformer. Le 13 avril 1973, David Bowie revient avec son sixiĂšme opus Aladdin Sane, le premier Ă  atteindre le sommet des charts britanniques emmenĂ© par les singles The Jean Genie et Drive-In Saturday. ParallĂšlement, il poursuit une tournĂ©e avec son personnage de Ziggy Stardust. Le 3 juillet 1973, il met fin Ă  son alter ego au cours d’un concert donnĂ© Ă  l’Hammersmith Odeon de Londres Angleterre. 1973 voit la rĂ©-Ă©dition de ses premiers albums et la parution de la compilation de reprises Pin Ups. Cette annĂ©e-lĂ , David Bowie est l’artiste qui vend le plus de disques au Royaume-Uni. 1974 – 1976 Diamond Dogs, Young Americans et Station to Station En 1974, David Bowie s’installe aux Etats-Unis, d’abord Ă  New York puis Ă  Los Angeles Californie. Le 24 avril 1974, il livre son huitiĂšme album Diamond Dogs. Entre juin et dĂ©cembre 1974, il tourne aux Etats-Unis avec un spectacle chorĂ©graphiĂ© par Toni Basil. ParallĂšlement, David Bowie devient dĂ©pendant Ă  la cocaĂŻne. Le 29 octobre 1974, paraĂźt l’album live David Live qui assoit son statut de superstar mondiale. Le 7 mars 1975, il signe son neuviĂšme opus Young Americans. Le single Fame co-Ă©crit avec John Lennon est le premier titre de l’artiste Ă  se classer numĂ©ro 1 des ventes aux Etats-Unis. David Bowie est alors un des premiers artistes blancs Ă  se produire sur le plateau de l’émission amĂ©ricaine Soul Train. Il congĂ©die Tony Defries et engage Michael Lippman comme manager. Le 23 janvier 1976, David Bowie sort son dixiĂšme album Station to Station, l’occasion pour lui de prĂ©senter le personnage du Thin White Duke, que l’on retrouve Ă©galement dans le film The Man Who Fell to Earth sorti la mĂȘme annĂ©e. La tournĂ©e qui suit est un succĂšs mais suscite la polĂ©mique. A la frontiĂšre entre la Pologne et la Russie, il est arrĂȘtĂ© pour possession d’objets nazis. A son arrivĂ©e Ă  Londres dans une Mercedes dĂ©capotable, il est pris en photo par le NME en train de saluer la foule Ă  la maniĂšre des Nazis. Il dĂ©clarera plus tard ĂȘtre totalement sous l’emprise de son personnage de Thin White Duke et de la drogue Ă  cette Ă©poque. 1977 – 1979 Low, Heroes et Lodger David Bowie s’installe ensuite dans un chalet en Suisse et s’intĂ©resse Ă  la peinture et Ă  la sculpture post-moderniste. A la fin de l’annĂ©e, il rejoint Berlin Ouest RĂ©publique FĂ©dĂ©rale d’Allemagne oĂč il partage un appartement avec Iggy Pop et s’intĂ©resse Ă  la musique minimaliste et ambient en compagnie du producteur Tony Visconti. Au cours de cette pĂ©riode, il co-Ă©crit les deux premiers albums solo d’Iggy Pop The Idiot et Lust for Life. Le 14 janvier 1977, David Bowie signe son onziĂšme album Low. Suit Heroes le 14 octobre 1977. En 1978, il part en tournĂ©e et donne 70 concerts dans 12 pays devant un million de spectateurs. Cette tournĂ©e coĂŻncide avec la fin de son addiction Ă  la cocaĂŻne. Elle est immortalisĂ©e par l’album live Stage. Le 18 mai 1979, David Bowie signe son treiziĂšme opus Lodger qui clĂŽt sa trilogie berlinoise. 1980 – 1986 Scary Monsters, Let’s Dance et Tonight DĂ©but 1980, David Bowie se sĂ©pare de sa femme Angela. Le 12 septembre 1980, il revient avec son quatorziĂšme album Scary Monsters et le hit Ashes to Ashes. Pete Townshend The Who et Tom Verlaine Television participent Ă  l’enregistrement de ce disque. Dans la foulĂ©e, David Bowie joue Ă  Broadway dans la comĂ©die musicale The Elephant Man. En 1981, il s’associe Ă  Queen sur le single Under Pressure. Le 14 avril 1983, il signe son quinziĂšme opus Let’s Dance co-produit par Nile Rodgers Chic dont la chanson titre et les singles Modern Love et China Girl deviennent des tubes internationaux. La tournĂ©e mondiale Serious Moonlight Tour dure six mois. Le 1er septembre 1984, David Bowie poursuit son virage dansant avec son seiziĂšme opus Tonight auquel participe Tina Turner et Iggy Pop. L’annĂ©e suivante, son single Dancing in the Street en duo avec Mick Jagger connaĂźt le succĂšs. En 1986, David Bowie joue dans les films Absolute Beginners et Labyrinth. 1987 – 1991 Never Let Me Down et la parenthĂšse Tin Machine Le 27 avril 1987, David Bowie sort son dix-septiĂšme opus Never Let Me Down entre rock, indus et techno. Sur la tournĂ©e qui suit baptisĂ©e Glass Spider Tour, il engage le guitariste Peter Frampton. En 1989, il s’investit dans le groupe Tin Machine aux cĂŽtĂ©s de Reeves Gabrels guitare, Tony Sales basse et Hunt Sales batterie. Le quatuor sort son premier album Ă©ponyme le 23 mai 1989. Ce disque marche bien mais aucun single ne connaĂźt le succĂšs. En dĂ©saccord avec son label EMI, David Bowie claque la porte et se concentre Ă  nouveau sur sa carriĂšre solo. Il lance la tournĂ©e Sound+Vision Tour pendant laquelle il reprend ses succĂšs passĂ©s. Le 2 septembre 1991, Tin Machine sort son deuxiĂšme album Tin Machine II. AprĂšs une nouvelle tournĂ©e, le groupe dĂ©cide de se sĂ©parer. 1992 – 1999 Black Tie White Noise, Outside, Earthling et Hours Le 20 avril 1992, David Bowie se produit Ă  Wembley Londres pendant le concert hommage Ă  Freddie Mercury. Quelques jours plus tard, il Ă©pouse le mannequin Iman en Suisse. Le couple s’installe Ă  New York. La mĂȘme annĂ©e, il joue dans le film Twin Peaks de David Lynch. Le 5 avril 1993, l’artiste propose son dix-huitiĂšme album Black Tie White Noise produit par Nile Rodgers. Le 26 septembre 1995, il revient avec Outside produit par Brian Eno. Sur la tournĂ©e qui suit, David Bowie prend Nine Inch Nails comme premiĂšre partie. Le 17 janvier 1996, il entre au Rock and Roll Hall of Fame. Son succĂšs ne dĂ©semplit pas avec la parution de son vingtiĂšme album Earthling le 3 fĂ©vrier 1997 portĂ© par le single I’m Afraid of Americans. En 1999, David Bowie signe la bande originale du jeu vidĂ©o Omikron. Suit l’album Hours le 4 octobre 1999. 2000 – 2009 Heathen, Reality et semi-retraite En octobre 2001, David Bowie ouvre le concert de charitĂ© The Concert for New York City donnĂ© suite aux attentats du 11 septembre. Le 11 juin 2002, il sort son vingt-deuxiĂšme album Heathen produit par Tony Visconti et part Ă  nouveau en tournĂ©e en Europe et en AmĂ©rique du Nord. Le 15 aoĂ»t 2002, il devient papa d’une petite Alexandria Zahra. Le 16 septembre 2003, David Bowie signe son vingt-troisiĂšme album Reality qui s’accompagne de la tournĂ©e mondiale la plus lucrative de 2004. Il est forcĂ© d’écourter la fin de cette tournĂ©e suite Ă  un problĂšme d’artĂšre bouchĂ©e qui nĂ©cessite une opĂ©ration du coeur. Le 8 septembre 2005, David Bowie fait son retour sur scĂšne avec Arcade Fire Ă  l’occasion de l’évĂ©nement tĂ©lĂ©visĂ© Fashion Rocks. Il apparaĂźt sur l’album de TV on the Radio Return to Cookie Mountain et chante avec Lou Reed sur l’album de Kashmir No Balance Palace. Le 8 fĂ©vrier 2006, il reçoit un Grammy Award d’honneur pour l’ensemble de sa carriĂšre. Il annonce ensuite une annĂ©e sabbatique. En 2008, il apparaĂźt sur l’album de Scarlett Johansson Anywhere I Lay My Head. 2010 – 2016 The Next Day, Blackstar et dĂ©cĂšs En janvier 2010, paraĂźt l’album live A Reality Tour. En mars 2011, l’album inĂ©dit Toy enregistrĂ© en 2001 apparaĂźt sur la Toile. Le 11 mars 2013, David Bowie revient avec son vingt-quatriĂšme opus The Next Day produit par Tony Visconti. La mĂȘme annĂ©e, l’exposition David Bowie Is est lancĂ©e au Victoria and ALbert Museum de Londres Angleterre. Cette exposition sera par la suite montrĂ©e Ă  Toronto Ontario, Paris France, Chicago Illinois, Melbourne Australie et Groningen Pays-Bas. En 2014, David Bowie remporte le Brit Award du meilleur artiste masculin de l’annĂ©e. Le 18 novembre 2014, paraĂźt la compilation Nothing Has Changed. En novembre 2015, une nouvelle chanson est utilisĂ©e pour le gĂ©nĂ©rique de la sĂ©rie The Last Panthers. Le 8 janvier 2016, David Bowie revient avec son vingt-cinquiĂšme opus Blackstar co-produit avec Tony Visconti. Deux jours plus tard, il dĂ©cĂšde Ă  New York aprĂšs avoir luttĂ© pendant 18 mois contre le cancer. Sorties posthumes Le 23 septembre 2016, paraĂźt l’album The Gouster Ă  l’intĂ©rieur du coffret Who Can I Be Now? 1974–1976. Le 8 janvier 2017, paraĂźt l’EP posthume No Plan. Le 7 janvier 2022, Parlophone Records Ă©dite l’album Toy. Ce disque avait Ă©tĂ© enregistrĂ© de juillet Ă  octobre 2000 Ă  New York et comportait des rĂ©-enregistrements de chansons enregistrĂ©es par David Bowie entre 1964 et 1971 ainsi que quelques nouveaux morceaux. Mr. Grieves EN ECOUTE David Bowie David Jones and The King Bees The Buzz The Konrads The Lower Third The Manish Boys The Riot Squad Tin Machine . 359 315 258 345 414 420 390 202

cette photo de david bowie et iggy pop